Part I: The stock exchange and the organization of trades -­‐ Structure and reg

Part I: The stock exchange and the organization of trades -­‐ Structure and regulation: 1, Section 1&4 -­‐ Activity segments of an exchange operator: 1 Section 2 -­‐ Broker (agency) based market, dealer based markets and other market models: 2 -­‐ Liquidity: 3 Part II: Return and Risk -­‐ Indices and ETFs: 4 & 5 -­‐ Rate of return: 7 -­‐ Volatility of a single asset: 8 -­‐ Volatility of a portfolio: 10 -­‐ Bêta and diversiable risk : 11 -­‐ Attitude towards risk and risk premium 12 -­‐ Naïve diversification 13 -­‐ Optimal diversification/efficient frontier 14 -­‐Capital asset pricing model 15 Part I: The Stock Exchange and the organization of trades Chapter 1 Section 1: Architecture d’un marché 1.1 Intermédiation financière -­‐ passé obligatoirement par un membre qui est le seul habilité à placer des ordres sur le marché -­‐ PSI = Prestataires de Services d’Investissement = label européen pour les établissements de crédit et les entreprises d’investissement. -­‐ RELIT/RGV = automatisation des transmissions d’ordres et des opérations post-­‐marché, rendant possible le passage d’ordres avec exécution immédiate. -­‐ DMIF = Direction Marchés d’Instruments Financiers = MiFID, début novembre 2007, rend possible la concurrence entre lieux d’échanges de titres. L’intermédiaire doit informer ses clients et leur offrir la meilleure exécution possible (best execution). 1.2 Confrontation entre l’offre et la demande -­‐ permet de dégager un cours. Cotation assistée par ordinateur avec carnet d’ordres est la plus fréquente. 1.3 Post-­‐marché compensation et gestion des droits de propriété -­‐ Après la transaction, l’acheteur doit régler et le vendeur doit livrer. -­‐ nécessite de nombreuses opérations post-­‐marché (back-­‐office) -­‐ permet de dire que l’on fait affaire avec le marché et non avec Monsieur X -­‐ compensateur choisi par le marché -­‐ sur le marché de Francfort, la deutsche Börse a intégré son compensateur et son automate = organisation en silo. Sur LSE, le compensateur Euroclear n’est pas la propriété d’un marché unique mais opère sur plusieurs marchés 1.4 Réglementation, surveillance et sanctions -­‐ ESMA = European Securities and Markets Authorities : precise les modalities application des directives -­‐ EBA à Londres et EIOPA à Francfort. -­‐ En France, AMF définit les règlementations et les règles de bonne conduit pour les metiers, les entreprises d’investissement et les entreprises de marché. -­‐ Début 2010, Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP) adossé à la Banque de France. Indépendant de l’AMF. -­‐ ils s’occupent de la surveillance des transactions, des operations et des intermédiaires. Enquêtes et sanctions. -­‐ Aux Etats-­‐Unis, Securities and Exchange Commissions (SEC) et Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) -­‐ definition du tick par les marches en Europe, par la SEC aux USA. -­‐ DSI = Directive sur les Services d’Investissement. Définit les marches règlementés et les PSI. -­‐ DAM = Directive Abus de Marché. Réglemente les operations des dirigeants d’entreprise et normalise les rachahts d’actions. Les dirigeants d’entreprise ont l’obligation de déclater dans les 5 jours toute transaction sur les titres de la société qu’ils dirigent ou dont ils sont administrateurs. Les rachats d’actions ne sont admis qu’à condition d’une annulation des titres ou bien de l’abandonnement d’in programme de remunerations. -­‐ MiFID = met fin à l’obligation de concentration des orders et impose aux intermédiaires de proposer leurs cliens the best execution. Section 2: Les segments d’activité d’une entreprise de marché -­‐ cœur du métier = confrontation entre l’offre et la demande de titres et l’échange de titres. Donne lieu à une commission de transaction (transaction fee) -­‐ darkpools n’affichent pas les intentions des acheteurs et des vendeurs (meilleures limites de prix, prix de réserve). Bien pour les investisseurs cherchant la discrétion + économie de coûts de fonctionnement. -­‐ Marchés à prix importés ne déterminent pas le cours d’équilibre. Crossing networks. -­‐ décision sur le fait d’être présent sur le segment des produits dérivés. Deutsche Börse ne fait pratiquement que ça contrairement à Chi-­‐X très présent sur la négociation d’actions au comptant. -­‐ choix d’exercer une activité de marché primaire (= listage de titres). Euronext est le seul opérateur réalisant du listage à Paris. Bats aux US. Cela entraîne des coûts (mise en place des procédures de vérification contrôle, gestion des opérations…) mais aussi revenus (listing fees). -­‐ Compensation = service qui consiste à s’interposer entre les acheteurs et les vendeurs et qui permet de donner la même qualité et la même sécurité à n’importe quelle transaction. Souvent les marchés sous-­‐traitent cet aspect et répercutent une commission de transaction. Ou bien ils choisissent de développer cette activité ce qui dégage une marge. -­‐ Vente de données de marché est une source de revenu non négligeable. Celles diffusées en temps réel sont les plus chères. -­‐ Vente de technologie prend aussi une place importante. Moteurs de cotation, applications de routage d’ordres, de traitement et stockage des données. -­‐ Droits perçus auprès de certains investisseurs pour utiliser des produits sous licence (indice dont le nom est déposé comme une marque) ! Définition d’une stratégie de développement pour les entreprises de marché Section 4 : La MiDIF, et après ? Elle s’est impose début novembre 2007 et fait l’objet de nombreuses critiques. 4.1 DMIF entre 2007 et 2001 Aspects Positifs: -­‐ emergence d’un marché européen pour les actions. Plusieurs plateformes européennes (Chix-­‐Xm NYSE-­‐ARCA, NASDAQ-­‐OMX) mises en concurrence sur une liste des valeurs européennes les plus liquides. -­‐ Chi-­‐X = cheaper, faster, smarter. Réduction des frais et introduction de nouvelles formes de tarification pour les investisseurs institutionnels. -­‐ réduction des frictions. Le tick est déterminé librement par chaque plateforme européenne et il s’est resserré pour les titres sur plusieurs places en concurrence. -­‐ les plateformes se sont différenciées sur d’autres caractéristiques que l’aspect montant des coûts de transaction. Faster. Temps de latence (= temps mis par le marché pour répondre à une sollicitation) réduits en raison du progrès technique et sous la pression concurentielle. Se compte en microsecondes. Smarter. Offre plus sophistiquée dans les possibilités de soumission des ordres. Aspects Négatifs: -­‐ Multiplication des plateformes a généré une opacité. Difficulté à connaître l’ensemble des transactions réalisées sur un titre et au niveau des ordres proposés. Les autorités européennes misaient sur l’émergence de solutions privées réalisant le travail d’interconnexion et d’agrégation. -­‐ les gains sont en partie capturés par l’industrie et ne redescendent par forcément jusqu’à l’investisseur final. 4.2 Questions autour de la DMIF -­‐ La nouvelle organisation avec creation de multiples marches en concurrence ne fragmente t’elle pas la liquidité? N’est ce pas contraire aux interêts des actionnaires? ! Si la concurrence joue son rôle, les coûts de transactions baissent et induiront des flux de transaction supplémentaires donc plus de liquidité. Enhanced grâce à l’automatisation. Donc c’est dans l’intérêt des actionnaires. -­‐ Différence entre les marchés préexistants et les nouveaux dénommés MTF ? ! Les premiers sont réglementés, les deuxièmes ne le sont pas. Les deux peuvent avoir une activité de listage (cf le MTF AlterNext pour les petites et moyennes valeurs). Les deux font appel a la cotation assistée. Certains MTF peuvent être crossing networks ou darkpools. La transparence ne permet pas non plus à coup sûr de distinguer les deux même si les marchés réglementés sont plus homogènes sur ce critère. La plupart des MTF ont un accès réservé à certains investisseurs, souvent institutionnels. Mais on a aussi AlterNext pour les particuliers… -­‐ Quels sont les nouveaux marchés d’actions ? ! Premier marché européen est Chi-­‐X. -­‐ Tous les marchés fonctionnent-­‐ils suivant les mêmes principes ? ! MTF peut mettre en place un système de découverte des prix (comme Chi-­‐X) mais peut aussi faire un système de croisement d’ordre (crossing) sur la base de prix importés. Une internalisation est un exemple d’échange avec prix importés. L’internalisateur met en correspondance ses propres clients et l’exécution se fait sur la base d’un prix observé sur le marché de référence, Euronext par exemple pour les valeurs françaises. L’avantage pour l’intermédiaire est dans l’économie des redevances à payer au marché et à l’économie des coûts post-­‐marché. -­‐ A quoi correspond un MTF aux USA ? ! Il s’agit d’un ECN (Electronic Communication Network) = marché à cotation assitée, ou d’un ATS (Alternative Trading System) = englobe aussi les systèmes sans découverte de prix. Les marchés nationaux là bas ont un label SEC. Chapter 2 : La bourse et l’organisation des échanges 1. Marché d’agence -­‐ les intermédaires sont des courtiers, brokers, qui ne peuvent que transmettre les ordres de leurs clients et ont l’interdiction de prendre personnellement position sur le marché. Modèle exposé à partir d’UTP (Universal Trading Platform de NYSE Euronext) 1.1 Marché d’agence continu -­‐ Offre et demande exprimées sont affichées dans un carnet d’ordre. Le marché continu d’agence consiste à attirer de nouveaux investisseurs (offre et demandes latentes) de manière à ce qu’ils fassent affaire avec les premiers. -­‐ sont rangés par prix décroissants pour afficher le mieux disant : l’acheteur prêt à payer le plus cher, le vendeur prêt à vendre le plus bas. -­‐ construction de la courbe de demande de titres et le cumul des intentions de vente. Distance entre le prix de vente uploads/Finance/ revisions-bourse-et-portefeuille.pdf

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  • Publié le Sep 24, 2022
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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