Panorama du Daf Yomi Traité de Rosh Hashana. Daf 06 dafyomifr@gmail.com Ce feui

Panorama du Daf Yomi Traité de Rosh Hashana. Daf 06 dafyomifr@gmail.com Ce feuillet peut être également reçu sur simple inscription RÉSUMÉ DEVELOPPÉ Pas de faute pour sa femme La Guemara enseigne que celui qui tarde à apporter un Korban a commis un péché, mais cela ne sera pas un péché de sa femme. Rav Yohanan déclare que la femme d'un homme risque de mourir d'une mort prématurée si l’on lui demande de rembourser l'argent qu'il a volé et qu’il n'a pas l'argent pour rembourser. On aurait pu penser que sa femme va mourir pour le péché de retard aussi. La Torah nous enseigne que ce n'est pas le cas Procrastination La Guemara cite deux versets pour nous enseigner qu'il y a un commandement positif de remplir son vœu. Il y a aussi deux versets qui enseignent un commandement négatif de ne pas se soustraire à un vœu. Il y a deux versets nous enseignant que le Beth Din peut forcer une personne à accomplir son vœu. La Guemara s'interroge sur la nécessité de deux versets pour chacune de ces lois. La Guemara répond que les deux versets font référence à deux cas différents. Un verset discute d'un cas où l’on a fait un vœu d'offrir un korban mais l’on ne l'a pas désigné, et l'autre verset se réfère à un cas où l’on a désigné l'animal, mais on ne l'a pas encore offert en korban. La Guemara explique pourquoi les deux cas doivent être enseignés et pourquoi nous ne serions pas en mesure d'apprendre l’un de l’autre. La Guemara s’interroge sur cette explication en citant un Mishna dans Kinnim qui explique la différence entre un Neder et une Nedavah. Un Neder consiste à faire vœu d'apporter un Korban . Une Nedavah est le cas où l’on désigne un animal spécifique comme korban . Il y a une différence dans la Halacha , si , après la désignation , l'animal mourrait ou était volé Si l’on a fait un Neder , il sera nécessaire d'apporter un autre, mais si c'était une Nedavah , on ne sera pas obligé d’offrir un autre, puisque son vœu était que cet animal-ci soit un korban . Comment peut-on expliquer que l'un des versets fait référence à un cas où l’on a promis d'apporter un Korban mais que l’on n'a pas désigné un animal lorsque les deux versets écrivent explicitement le terme de « Nédavah » et que la Nédavah est le cas où l’on désigne l'animal ? Rava répond qu'il peut y avoir un cas de Nedavah où l’on ne désigne pas l'animal et c'est le cas où on a explicitement promis d'apporter un Korban (comme Néder a priori) mais avec la stipulation que l’on ne sera pas responsable s'il meurt ou s’il est volé . Ce vœu aura le statut d'une Nedavah . ( 6a ) Charité Rava statut que celui qui promet de donner la charité est soumis à l'interdiction de retarder instantanément, avant même le passage de l'une des fêtes. La raison donnée à cela est que les pauvres gens sont debout en face de nous et il est essentiel qu'ils reçoivent la charité immédiatement. Commandement Positif Rava statut que celui qui s'engage à apporter un Korban et ne l'a pas apporté après une fête a violé un commandement positif. La Guemara interroge cela à partir d'un témoignage de Rabbi Pepayes. Rabbi Yehoshua et Rabbi Pepayes ont statuté que si l'on consacre une vache enceinte pour un Shelamim ou si l’on consacre une vache pour un Shelamim et qu’elle devient par la suite enceinte, la progéniture devra être apportée comme un Shelamim. Rabbi Pepayes a témoigné qu'il a mangé un Shelamim à Pessa'h et sa progéniture à Soukkot . La Guemara comprend qu'il n'a pas apporté la progéniture comme un Shelamim à Pessa'h , car elle n’était pas assez âgée pour être un Korban à l'époque ( moins de huit jours cela est considéré comme prématuré), mais pourquoi ne l’a-t-il apportée comme Shelamim à Chavouot ? Retarder jusqu'à Soukkot violerait le commandement positif d'amener le korban lors de la première fête. Rav Zévid répond que la progéniture était malade à Shavouot. Rav Achi répond que lorsque la Guemara a déclaré qu'il a offert durant le « Hag », elle se réfère à Chavouot et non à Soukkot. Rava statut qu'une fois que les trois fêtes sont passées, on est responsable chaque jour pour l'interdiction de retarder l'offrande du korban . Une année sans trois fêtes Une braita est citée qui stipule que si l’on s'engage à apporter un Korban et une année passe sans trois fêtes ou trois fêtes passent sans un année complète, on sera responsable de transgresser l'interdiction de retard. Nous pouvons comprendre comment il est possible d'avoir trois fêtes qui passent sans une année complète, mais comment un an passent sans trois fêtes ? La Guemara répond que si nous considérons que l'interdiction de retard lorsque trois fêtes passent dans l'ordre, alors il est compréhensible d’avoir une année complète avant les trois fêtes successives. Cependant, si nous maintenons que l'interdiction est valide même lorsque les trois fêtes ne sont pas dans l'ordre, comment envisager un passage de l'année sans trois fêtes ? Cette question peut être répondue selon Rabbi qui maintient qu'une année dans la halakha est de 365 jours, même s’il s’agit d’une année embolismique. Si l'on consacre un animal après Pessa'h et l'année suivante est une année embolismique, après 365 jours, les trois fêtes ne sont pas passées. Selon Chachamim qui sont en désaccord avec Rabbi et maintiennent qu'une année n'est pas complète en comptant 365 jours mais n'est complète qu'à la date anniversaire, il peut encore exister un cas où une année peut être achevée avant les trois fêtes. Nous avons appris dans une braita que Shavouot peut parfois être le 5 Sivan , parfois le 6, et peut même parfois tomber le 7 Sivan . Chavouot est toujours le cinquantième jour après que nous commençons à compter le Omer. La raison pour que la journée varie est qu’il y a des moments où Nissan et Iyar seront de trente jours. Il peut arriver que les deux se composent de vingt-neuf jours. Parfois, on aura trente pour l’un et vingt-neuf pour l’autre. Si Shavouot est le 5 Sivan et qu’une personne a fait un vœu le 6 Sivan, l'année se termine le 6 de l'année suivante. Et si lors de cette année suivante, Chavouot est le 7 Sivan , l'année sera terminée avant les trois fêtes Deux questions Rabbi Zeira s'enquiert de savoir si un héritier est soumis à l'interdiction de retard. Un héritier est tenu d'apporter les korbanot pour son père . La Guemara s’interroge de savoir s’il n'est pas soumis à cette interdiction car ce n’est pas lui qui a fait le voeu ou comme il est néanmoins nécessaire d'apporter la korban, il est inclus dans l'interdiction. Rabbi Zeira s'enquiert de savoir si une femme qui a fait le vœu d'apporter un Korban est soumise à l'interdiction de le retarder. Une femme n'est pas obligée d'apparaître au Temple lors des fêtes et donc elle ne doit pas être incluse dans l'interdiction de retard. Ou attendu qu'elle est tenue à la mitsva de Simcha et de participer aux korbanot qui sont apportés lors des fêtes, peut-être dirions nous qu'elle est inclus dans cette interdiction (Daf Notes) Pas d’argent à donner à ceux qui réclament ? QUESTIONS : La Guemara conclut que le verset « v'Hayah Bécha Chet " – « Cela sera un péché pour toi » (Devarim 23:22) enseigne que l'interdiction de Bal Te'acher (retarder la réalisation d'un Neder ) ne touche que le transgresseur et non son épouse. On aurait pu penser que sa femme doit mourir pour cette faute tout comme sa femme meurt quand on lui demande de l'argent et il n'en a pas , comme Rabbi Eliezer dérive d'un verset dans Michlei. Le verset de " v'Hayah Bécha Chet " enseigne que la femme ne meurt pas à cause de la transgression de son mari de Bal Te'acher . (a) Dans quelle situation Rabbi Eliezer se réfère quand il dit que la femme d'un homme meurt quand il n'a pas d'argent à donner à ceux qui demandent ? ( b ) Pourquoi une femme mourir à cause des péchés de son mari ? RÉPONSES: ( a) RASHI et TOSSEFOT sont en désaccord sur ce que Rabbi Eliezer signifie quand il dit que la femme d'un homme meurt quand il n'a pas d'argent à donner à ceux qui demandent . 1 . Rashi dans Zevachim ( 29b , DH Mevakshin ) dit que Rabbi Eliezer se réfère à celui qui a volé de l'argent ou d'autres biens. Lorsque le propriétaire légitime vient réclamer son argent, le voleur n'a pas d'argent pour rembourser. 2. TOSSEFOT (Dh Ela Im Kein) dit qiue R’ Eliezer se réfère à un homme qui a promis de donner de l’argent à la charité et n’a pas accomplit sa promesse. La déclaration de R’ Eliézer est en adéquation uploads/Finance/ sfile.pdf

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  • Publié le Aoû 26, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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