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MÉDÉA 27 familles relogées à Ben Chicao n Dans le cadre de la résorption de l’h

MÉDÉA 27 familles relogées à Ben Chicao n Dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire, une opération de relogement a concerné 27 familles de la localité Maskoni, commune de Ben Chicao, 15 km au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Médéa. C’est tôt dans la matinée de mercredi que des véhicules de transport mobilisés pour la circonstance, ont convergé vers l’endroit d'où des meubles, objets et affaires appartenant aux familles ont été chargés. Les familles ont pris possession de leurs logements neufs où toutes les commodités existent pour le confort de leurs occupants qui n'ont pas manqué d'exprimer leur satisfaction en cette occasion. L’opération qui a eu lieu en présence des autorités locales et des élus, est venue à point nommé pour les familles qui vivaient jusque-là dans des conditions difficiles dans une région connue pour ses hivers rigoureux. M. EL BEY TOUGGOURT La Fête du palmier-dattier n La ville de Touggourt a célébré, du 21 au 23 décembre, la 7e édition de la Fête du palmier- dattier. Vingt exposants ont participé à cet évènement organisé par les notables d’Oued Righ. Plusieurs stands représentant les différentes variétés de dattes et leurs dérivés, des objets artisanaux fabriqués à base de feuilles et de tiges de palmiers ont été érigés à cette occasion. L’originalité de cette édition est la formation organisée par les notables d’Oued Righ en collaboration avec l’INRA au profit des jeunes agriculteurs intéressés pas la création de nouvelles exploitations agricoles. L’objectif de cette manifestation selon les organisateurs est de promouvoir le patrimoine phoénicicole de la région, de découvrir sa richesse et d’encourager les jeunes à reprendre le travail du palmier- dattier. Cet évènement a été, aussi, une aubaine pour beaucoup d’agriculteurs d’exposer leurs problèmes liés à la commercialisation de leurs produits, à la cherté de la facture d’électricité et aux obstacles d’ordre bureaucratique. AMMAR DAFEUR BLIDA Aménagements des édifices publics n Une opération d’aménagements des édifices publics a été lancée dans la wilaya de Blida. Cette action qui entre dans le cadre du programme de réhabilitation de l’administration, a pour objectif d’embellir les structures publiques qui se trouvent dans un état délabré. Les APC, les daïras et les différentes directions de l’exécutif sont concernées par cette opération d’embellissement. Pour donner l’exemple, Abdelkader Bouazghi, wali de Blida était le premier à balayer devant sa porte. Tous les bureaux de la wilaya connaissent un réaménagement pour effacer cette image hideuse qui caractérise l’administration algérienne. “Le citoyen devra être reçu dans un meilleur cadre pour être à l’aise. Il ne s’agit pas uniquement de réaménager les structures mais il est question de changer la mentalité de l’administrateur envers les administrés. Nous devons gagner la confiance du citoyens”, a déclaré le wali devant les membres de l’exécutif. Les bureaux de poste, ceux des impôts surtout et les annexes des APC sont également concernés par cette opération d’embellissement même en cette période de crise. K. FAWZI BRÈVESdu Centre LE 17E SALON NATIONAL DE L’ARTISANAT SAHARIEN S’OUVRE À TAMANRASSET PLUS DE 110 ARTISANS Y PRENNENT PART Plus de 110 artisans y prennent part La maison de l’artisanat de la capitale de Tin-Hinan abrite depuis, hier, le 17e Salon national de l’artisanat saharien avec 118 exposants, issus de 29 wilayas du pays, dont 33 de la région de l’Ahaggar. À l’initiative de la Chambre d’arti- sanat et des mé- tiers (CAM) de la wilaya de Ta- manrasset, la maison de l’artisanat de la capi- tale de Tin-Hinan abrite depuis, hier, le 17e salon national de l’ar- tisanat saharien avec 118 expo- sants, issus de 29 wilayas du pays, dont 33 de la région de l’Ahaggar. Le coup d’envoi de cette mani- festation, placée sous le thème “Artisanat, axe de développe- ment local, a été donné en pré- sence des autorités locales et quelques personnalités de la ré- gion ayant mis en exergue l’im- portance de ce genre d’évène- ments pour la préservation du pa- trimoine culturel matériel et la promotion du métier d’artisan, particulièrement dans cette ré- gion touristique par excellence. Ainsi, des expositions sur l’orfè- vrerie, la bijouterie traditionnel- le, le tissage, la poterie, la dinan- derie, la maroquinerie, la tapis- serie, le travail du bois, l’habille traditionnel et la céramique sont au programme de ce salon. Ce dernier se veut une opportunité de mettre en relief les capacités créatives des participants, sou- ligne le directeur de la CAM, Mourad Saïdani en indiquant qu’un grand espace d’exposition a également été réservé à la pro- duction de l’école-pilote de gem- mologie ouverte dans la wilaya à l’effet de mettre en évidence les retombées directe de cette insti- tution sur le développement de la taille de pierre et la fente de bijoux et d’orfèvrerie. Cette édition qui s’étalera jusqu’au 31 du mois en cours a été jalonnée par la parti- cipation de 12 apiculteurs de la ville des Roses, Blida, et ce dans le but de susciter l’intérêt des jeunes locaux désirant investir dans ce créneau d’activité. Pour l’animation du salon, la CAM a fait appel à des clowns qui se sont assigné pour mission de donner des spectacles et des pièces théâ- trales sur des thèmes bien précis, lesquels visent à sensibiliser les jeunes et moins jeunes sur la sauvegarde et le développement de l’artisanat saharien à travers l’exploitation des richesses et po- tentialités locales, à l’exemple du cuir et l’argile. Les meilleurs ex- posants, stands et produits seront, faut-il le noter, récompensés le jour de la clôture. À ce propos, notre interlocuteur a tenu à pré- ciser que la commission de sé- lection, composée de représen- tants de la formation profes- sionnelle, de la direction de la cul- ture, de l’inspection de la direc- tion du tourisme et d’artisanat, de la CAM, favorisera les ateliers vi- vants et tiendra compte de la présentation et l’étalage des pro- duits exposés. Une exposition d’articles de presse réalisés sur les précédentes éditions, est prévue lors de ce salon organisé dans le cadre du fonds de la promotion des activités artisanales. À noter que l’entrée à ce salon est payan- te cette année. Les visiteurs doi- vent s’acquitter d’un prix sym- bolique de 10 DA pour accéder aux stands. RABAH KARECHE TOUGGOURT 9,4 milliards de centimes pour le réaménagement du jardin El-Mourabitoune U ne enveloppe de 9,4 mil- liards de centimes a été consacrée au réaménage- ment des espaces du jardin El-Mou- rabitoune situé au centre-ville de Touggourt, a-t-on appris, mercredi, auprès du wali délégué de Toug- gourt, M. Abdelkader Bensaïd, lors d’une réunion qui a regroupé les ser- vices concernés par ledit projet, le bureau d’études chargé du suivi et la presse locale. Selon le wali délégué, le cahier des charges relatif à ce pro- jet est avalisé et l’appel d’offres est déjà lancé pour le choix de l’entre- prise qui sera chargée des travaux de réalisation. Ce jardin abandonné a été trans- formé en un lieu de débauche et de pratiques illicites pour devenir par la suite un facteur de nuisance. Du coup, les autorités locales veulent ré- tablir la véritable image du jardin et faire de lui un lieu de détente qui une fois achevé, sera dédié aux familles qui ont tant revendiqué ce genre d’espaces pour se distraire. Dans la maquette présentée lors de cette rencontre par le bureau d’études, ce jardin renfermera des carrés de roses, des lacs, des petites passerelles, un puits au centre, une aire de jeux, un terrain de tennis, des sanitaires. Sur proposition du wali et des autres participants à cette rencontre, un es- pace de spectacles et une cascade d’eau artificielle seront construits. Cet espace s’étend sur une superfi- cie de 3,7 hectares. Le wali délégué a insisté pour que les matériaux de construction utilisés dans la réali- sation de ce projet soient naturels. Pour rappelle, à l’époque coloniale, ce jardin était une pépinière. Les colons exportaient toutes varié- tés de roses et de fleurs à destination des grandes capitales européennes. AMMAR DAFEUR Vendredi 25 - Samedi 26 décembre 2015 9 LIBERTE L’Algérie profonde L e centre d'enfouissement technique de Boghni, au sud de Tizi Ouzou, retient l'attention des autorités locales et celle de la direction de l'environnement de la wi- laya. Suite à la dernière visite du wali en no- vembre dernier, des travaux de rénovation de la route vers le lieudit Ichiouache, à trois ki- lomètres au nord de la ville, ont été accélérés pour mettre en service ce CET. Selon les informations fournies par la direc- tion de l'environnement, ce CET sera opé- rationnel d’ici quelques jours. C'est le qua- trième CET qui sera donc mis en service dans la wilaya en attendant que les trois autres pré- vus dans d'autres localités soient réception- nés ou lancés en projet, à l'exemple du CET d'Aghribs pour lequel le wali a finalement or- donné la reprise des travaux. Selon sa fiche descriptive, le CET de Boghni a une capaci- té de 500 millions de m3. Il est doté d'un casier à double couverture géo- membrane et géotextile contre les infiltrations de la lixiviation, d'un bassin uploads/Geographie/ 11-7112-4d81e136-pdf.pdf