FRENCH AB INITIO – STANDARD LEVEL – PAPER 1 FRANÇAIS AB INITIO – NIVEAU MOYEN –

FRENCH AB INITIO – STANDARD LEVEL – PAPER 1 FRANÇAIS AB INITIO – NIVEAU MOYEN – ÉPREUVE 1 FRANCÉS AB INITIO – NIVEL MEDIO – PRUEBA 1 Friday 21 November 2003 (morning) Vendredi 21 novembre 2003 (matin) Viernes 21 de noviembre de 2003 (mañana) 1 h 30 m N03/002/S(1)T+ IB DIPLOMA PROGRAMME PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI c 883-566T 5 pages/páginas TEXT BOOKLET – INSTRUCTIONS TO CANDIDATES y Do not open this booklet until instructed to do so. y This booklet contains all of the texts required for Paper 1 (Text handling). y Answer the questions in the Question and Answer Booklet provided. LIVRET DE TEXTES – INSTRUCTIONS DESTINÉES AUX CANDIDATS y Ne pas ouvrir ce livret avant d’y être autorisé. y Ce livret contient tous les textes nécessaires à l’épreuve 1 (Lecture interactive). y Répondre à toutes les questions dans le livret de questions et réponses. CUADERNO DE TEXTOS – INSTRUCCIONES PARA LOS ALUMNOS y No abra este cuaderno hasta que se lo autoricen. y Este cuaderno contiene todos los textos requeridos para la Prueba 1 (Manejo y comprensión de textos). y Conteste todas las preguntas en el cuaderno de preguntas y respuestas. TEXTE A Téléphonez au Canada sans tracas grâce à Canada Direct. Avec Canada Direct, il est si facile d’appeler chez soi ! Le petit guide de poche Canada Direct contient les codes d’accès dans plus de 110 pays. Pour joindre un téléphoniste canadien en un rien de temps, il vous suffit d’avoir en main votre carte d’appel et de composer le code d’accès du pays d’où vous téléphonez. Vous économiserez temps et argent, même quand vous téléphonerez de votre hôtel, grâce à un tarif qui vous est familier. Téléphoner au Canada depuis l’outremer peut être dépaysant. Avec Canada Direct, vous vous sentez chez vous. Le Canada en ligne directe. 5 10 883-566T – 2 – N03/002/S(1)T TEXTE B LES GUADELOUPÉENS FÊTENT LEUR CARNAVAL Il existe un département français situé de l’autre côté de l’océan Atlantique qui vit actuellement un événement extraordinaire. C’est la Guadeloupe qui fête son « Vaval ». PREMIÈRE PARTIE Vaval, c’est le roi du carnaval. Tous les ans, les Guadeloupéens se préparent pendant de nombreuses semaines à l’événement le plus important pour eux : fêter le carnaval. Ils sont des milliers depuis le jour des Rois à se préparer pour la semaine des Jours-Gras. Ils se réunissent par groupes, ils discutent de ce qu’ils choisiront pour être les plus beaux pendant les défilés. Ils récupèrent des sacs de céréales, des miroirs, des tissus, des plastiques, des ferrailles, les assemblent et créent des costumes de toutes les couleurs. Les enfants aidés de leur maman, de leur maîtresse ou de leur groupe, se préparent pour l’élection du prince et de la princesse du carnaval. Ils sont habillés en pirate, en sirène, en princesse de Mille et une nuits ou en habit créole d’autrefois. Ils sont plus beaux et plus fiers les uns que les autres. Le mercredi qui précède la semaine des Jours-Gras, ils viennent sur la scène du concours, devant des milliers de spectateurs. DEUXIÈME PARTIE Dimanche dernier, le premier jour des festivités, tous les Guadeloupéens étaient dans les rues pour assister aux grands défilés des groupes carnavaliers à pied. Au son des tambours, et des trompettes, ils étaient des milliers à parader, danser, rire et se montrer les meilleurs afin d’être élus groupes de l’année. Place à la fête, le Lundi Gras. Tous les carnavaliers, déguisés ou pas, se sont retrouvés dans les rues le soir pour une nouvelle fois défiler, mais aussi pour danser jusqu’au bout de la nuit. Cette nuit-là, vers 5h du matin, tout le monde est invité à se mettre en pyjama pour le grand défilé. Après tant de festivités, l’heure était venue mercredi soir de brûler «Vaval » sur la grande place. Tout le monde s’était habillé en noir et blanc. Mais que personne ne s’inquiète, « Vaval » est mort mais vive « Vaval ». Il reviendra l’an prochain. 883-566T Turn over/Voir au dos/Véase al dorso – 3 – N03/002/S(1)T TEXTE C SALIF SEYDI : L’ENFANT PEUL* INTERVIEW DE TIKÉ N’DIAYE Septième fils d’une famille de 10 enfants, Salif a 14 ans. C’est un garçon plein de courage et d’initiatives qui a pris son destin en mains et décidé d’apprendre un métier. QUESTION 1 [ — 21 — ] Salif : J’habite à Kolda, chez mes parents. Je suis peul* et je parle le Fouladou. Mon père est venu à Kolda comme ouvrier saisonnier dans l’usine de filage de coton et il s’y est installé définitivement. Aujourd’hui il est à la retraite parce qu’il n’a plus la force de travailler. Ma mère, qui cultive le riz, et deux de mes frères ( l’un est menuisier et l’autre chauffeur temporaire) aident la famille. QUESTION 2 [ — 22 — ] Salif : Quand j’étais petit, j’étais très heureux grâce à mes parents, l’école et mes copains. Mon meilleur souvenir de classe est certainement le jour où j’ai été classé quatrième sur 60. Avec mes copains, j’avais l’habitude de me baigner dans le fleuve et de faire des balades en brousse. Nous avons aussi beaucoup joué au foot sur les terrains vagues du quartier. QUESTION 3 [ — 23 — ] Salif : Je suis en apprentissage pour devenir mécanicien. À Kolda, c’est un métier qui a de l’avenir, puisque tout le monde roule en mobylette. Dans cinq ans je pourrai vivre de mon travail. J’ai toujours aimé la mécanique et le jour où j’ai décidé de me lancer, je suis allé voir le patron du garage pour l’informer de mon désir d’apprendre ce métier. Aujourd’hui, je suis passionné et je ne fais presque rien d’autre. EXEMPLE [ — X — ] Salif : J’avais des liens très forts avec ma marraine et elle m’a encouragé à toujours continuer dans ce que j’entreprenais. Aujourd’hui grâce à l’école, j’apprends plus vite que mes camarades et mon patron est très satisfait de mon travail. Je pense qu’il a des projets pour mon avenir. Ma famille est fière de moi. QUESTION 4 [ — 24 — ] Salif : Je me marierai plus tard quand j’aurai fini d’apprendre mon métier et que j’aurai un garage. Mon plus grand souhait est que ma famille ait une vie meilleure. Je veux que mes enfants aillent à l’école pour être capables d’avoir un bon métier et de vivre dans la dignité. * Peul : Originaire de l’Afrique de l’Ouest 883-566T – 4 – N03/002/S(1)T TEXTE D LE RECYCLAGE : LE TRI1 SÉLECTIF ET LES BACS BLEUS2 Quelques résidents du Sud de la France disent pourquoi il faut participer à un programme de recyclage. 1. Monsieur et Madame Chaze à Grasse « Nous trions depuis le début et nous sommes complètement pour. Nous avons différents sacs selon les déchets : ordures, emballages, verre, papier et vêtements. Nous pensons qu’une collecte des bacs bleus par semaine est insuffisante car ils sont vite pleins. » 3. Madame Engel à Pégomas « Nous souhaitons que nos enfants héritent d’une planète propre, c’est pour cela que nous faisons le tri sélectif. J’ai deux poubelles dans la cuisine : une pour les emballages et une pour les ordures. Je stocke le verre et le papier dans le garage. » 5. Monsieur Durand à Auribeau « Nous avons habité dans diverses communes dont certaines faisaient le tri sélectif. Le tri est essentiel et nous sommes heureux de pouvoir y participer à Auribeau. Nous pensons que les fabricants doivent réduire le volume des emballages. » 2. Madame Belkacemi à la Roquette sur Siagne « Nous trions le verre depuis près de 25 ans et le papier depuis plus de 10 ans. Les emballages ménagers, c’est plus récent, depuis l’installation des bacs bleus il y a 3 ans. Le tri est primordial de nos jours. La récupération existe depuis la nuit des temps alors pourquoi pas nous ? Nous pensons que la communication doit être améliorée sur les bacs bleus. Pourquoi pas inscrire « Avez-vous pensé au tri ? » sur les bacs d’ordures ménagères classiques ! » 4. Monsieur Ganancia à Grasse « Le tri sélectif c’est bien mais c’est difficile parce que les bacs sont souvent loin et souvent pleins. Il faudrait que l’on ait deux petits bacs pour trier à la maison : un pour le tri et un pour ce qui n’est pas recyclable. Ces bacs existent mais sont souvent très chers dans les magasins de bricolage. » 6. Monsieur et Madame Eck à Mouans-Sartoux « Nous habitions [ – X – ] région lyonnaise où le tri sélectif existe depuis plus longtemps. En arrivant à Mouans-Sartoux, nous avons participé [ – 42 – ] au système et nous trions les [ – 43 – ] matériaux régulièrement. C’est une [ – 44 – ] initiative, mais [ – 45 – ] faudrait commencer [ – 46 – ] éduquer nos enfants au tri pour les préparer et nous devons développer notre sens civique. » uploads/Geographie/ 2003-paper-1.pdf

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