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BERGER ARMENIEN : Le Gampr http://team-aow.discuforum.info/t352-Berger-armenien-le-Gampr.htm ORIGINE : Arménie Le Gampr est une race distincte de chien de berger provenant de l’Arménie. Il se nomme également Aralza ou Gelkheght (gayl=loup et Kheghtel=suffoquer) La légende attribue des puissances mystiques à cette race ; tout à commencer par l’histoire d’Ara Geghetsik et de Semiramis qui créa les puissances d’un dieu ayant la forme d’un chien, appelé « Aralez ». Certains pensent que l’origine de cette race est Assyrien, mais « Aralza » était une partie du vieux Panthéon des dieux arméniens, ayant le pouvoir de ressusciter les morts. L’apparution de ce chien est liée à la mythologie, à l’histoire et à la culture de l’Arménie. Les traces de son ascendance se trouvent sur les montagnes préhistoriques de la région de Sisian, Siounik, Oughdasar, Tchermatchour, à 3300m d’altitude. Des excavations archéologiques dans la vallée de Hrazdan, près de Bjini, ont découvert les restes dev squelettes humains datant d’ 1 – 2 millions d’année av. J.C. L’habitation par des humains commence autour de 500.000 années av. J.C. L’agriculture et le bétail domestiqué en Arménie remontent à 25.000 années av. J.C. dont les découpages préhistoriques montrent l’évidence de ces chiens vers 10.000 av. J.C. , jouissant d’un endroit spécial dans la maison aussi bien que dans les champs accompagnant son maître dans le travail, le jeu et la bataille. En remontant la variété de ce types de chien, on trouve aujourd’hui le gampr, qui existé déjà il y a 3000 ans sur les montagnes de Geghama. Il est également apparenté avec le chien berger de Kars (Capital de l’Arménie jusqu’au 10ème siècle), (cette région appartenant à la Grande Arménie dans l’histoire se trouve aujourd’hui sur le « territoire turc » actuel). Quand les Turcs ont envahi l'Arménie au 9ème siècle et ont rencontré les chiens de Gampr, ils ont ramené bon nombre d'entre eux en Turquie. On y trouve également le berger de Sivas, nommé également Kangal, le berger anatolien et Akbaş (tête blanche). Le gampr a été exporté vers « un monastère dans les Alpes suisses » dans les années 1660, laissant entendre le développement du Saint Bernard. Les Soviétiques (russes) ont utilisé le Gampr arménien pour créer une nouvelle race le d'Ovcharka caucasienne de Géorgie. Cela a été favorisé par Staline, géorgien lui –même. Dans des régions montagneuses, ils s’adaptent aux conditions locales et changeant de tailles et de formes (poils long et court). Développement précoces Une monographie par S. dal, « chien transcaucasien du berger du plateau de Sevan, le 1er millénaire AVANT JÉSUS CHRIST » a décrit les résultats d'une excavation conduite en 1954 par Lake Sevan. Dans l'emplacement d'excavation datant approximativement 800 - 1000 AVANT JÉSUS CHRIST, ils ont trouvé un squelette de chien bien préservé dans un des tombeaux. En comparant le crâne à la tête d'un gampr moderne et d'autres canines, dal a conclu que c'était un représentant typique de la race, bien qu'il y ait quelques différences marquées du type moderne, comme un plus long museau, d'une boîte crânien plus étroite et des dents plus fortes. Dal a conclu que, bien que le choix et le procédé de multiplication des 3000 dernières années aient affecté l'aspect et la taille de chiens, le gampr a été déjà là et a été nommé comme race dans le 1er millénaire AVANT JÉSUS CHRIST. En raison de ces trouvailles, on croit maintenant que la multiplication au cours des millénaires « ont établi » le gampr moderne, une race qui montre des traits de types plus anciens de chien, représentés dans les découpages, tout en maintenant sa propre physiologie unique. En dépit des conjectures, des nations extérieures, le chien a commencé à être présenté en dehors du plateau arménien. Le lien étroit entre les chiens antiques et leurs propriétaires s'est manifesté dans l'Aralez mythique (5000-2000 années av. JC), le dieu arménien de curatif était représenté sous forme de chien. Le dieu a ressuscité des hommes tombés dans la bataille en léchant leurs blessures. Dans un mythe arménien célèbre, le chien-dieu Aralez a rétabli Ara le beau de cette façon. Dans le mythe, Ara préfère mourir dans la bataille, mais accepte cepandant les avances de Shamiram (en Assyrien, reine « Semiramis »), et Shamiram, désespéré, avec peine au-dessus de sa mort, et confrontée à la colère envers les personnes qui ont causé sa mort, prie Aralez pour rétablir Ara. Le mythe a commencé et s'est produit dans la région moderne d'Arzni, un dérivé de mot de deux Arméniens : Ara et zni, parce que `lèchent'. Arzni se trouve également entre le lehr d'Arai (littéralement la « montagne d'Ara ») et le millitorr Hadis, également connu sous le nom de montagne de Shamiram. Une source historique déclare que les moines du monastère de Bernard sont venus en Arménie pour ces chiens qui étaient très populaire à ce moment-là. Selon le 5ème historien Movses Khorenatsi , le Roi arménien Sanatruk du 1er siècle a obtenu son nom après qu'il ait été sauvé par un Gampr. Enregistrements A la suite du génocide arménien en 1915, une grande partie de la race a disparu dans des secteurs habités par les Turc. Cependant elle a été préservé dans les régions habitées par les Kurds, ou ils vécurent sous forme de troupeau de mouton. Par l'ère moderne la description du chien s’est développée dans un type spécifique. On peut prendre comme exemple, des extraits d'un livre consacré à la région de Dersim de l'Arménie historique (Arménie Occidentale): « En montagnes de Mndzur le chien coûte 640 kilogrammes de maïs, ou un cheval, ou deux vaches, ou 10 moutons, 80 kilogrammes de miel, 80 kilogrammes de beurre, etc. Si le pauvre homme de Mndzur voulait avoir un gampr, il devait travailler 80 jours pour être propriétaire du chien. Dans Sasun il coûte 10-12 moutons. Tuer le gampr était considéré comme meurtre. » Et dans un livre datant de 1913, « étude sur les animaux de compagnie de la région de Caucase, » par prof. Conrad Keller : Je n'ai jamais vu des chiens berger allemand dans les pays de Caucase, ceci est un résultats exceptionnel, du fait que les bergers caucasiens sont une race bien meilleure pour garder leur bétail. … La taille au garrot est de 70-75cm [28-30 "], quelques mâles des montagnes arméniennes arrive même à une taille de 80cm [32 "] . ... Dans la référence de la diffusion géographique, les descriptions verbales au sujet des chiens berger du Caucase sont certainement des chiens de montagne. Elles sont très rarement rencontrées dans les plaines. Vous les voyez entre 1000 et 2300 mètres au-dessus de niveau de la mer. ... Sur la côte de la Mer Noire, les fervents de chien russes m'ont dit que le plus grand nombre et la plupart des beaux chiens de berger peuvent être trouvés dans les montagnes arméniennes. Je pouvais confirmer ceci plus tard. J'ai vu des chiens extrêmement gentils dans la région d'Ararat et Jelenovka au lac Goktscha (le vieux nom de Sevan), qui a presque 2000 mètres au-dessus de niveau de la mer... Les Gamprs ont continué à être exporté après la révolution soviétique. En 1934, Koshelev et Timashouk ont écrit « La multiplication de chiens dans Sovkhoses de Caucase en Arménie est en état déplorable. Il n'y a pratiquement plus aucune chienne, ni chiot. Quelques villages, et même sovkhoses, n'ont pas de chiens. La majorité des chiens ont 5 - 7 ans. » « Jusque récemment, l'Arménie était la source d'exportation implacable et massive des chiens de pure race, la plupart du temps à un niveau institutionnel. En conséquence, la multiplication de chien dans beaucoup de régions de l'Arménie chiffonne… » Davantage de confusion au sujet de l'origine du gampr arménien a été certainement promulguée pendant la période soviétique. Les multiple expérience établie par autorités militaires soviétiques à Léningrad, à Moscou, en Ukraine et Géorgie, sur les gampr, Ont permis de créer de nouveaux mélanges mais au lieu d'appeler les races en travers séparément, ils ont retitré la race entière. Les pures et les nouveaux mélanges se sont appelés toutes les deux le « ovcharka de kovkazskaya » (Ovcharka caucasien). Les Soviétiques ont dit que le chien a eu différents noms pour différentes nations caucasiennes, ainsi ils l'ont généralisé dans un nom simple en défavorisant le gampr de l’Arménie. Cette généralisation a été propulsée par les confusions créées en essayant de lancer les races par des nationalités. Le père du cynologia soviétique était un expert canin militaire appelé p.a. Mazover. Son idée était de diviser les races pures et ne pas mélangées des types, mais leur nationalité. Ainsi a été inventé les limites géorgiennes, azéri et les types arméniens, énonçant dans tous que le type géorgien est meilleur. En 1930 le Gampr a été « exposé » pour la première fois à l'ouest par l'intermédiaire de l'Allemagne à Nuremberg. Trois gamprs ont été exhibés, sous l’appellation « les géants rouges », influencé en partie par des étiquettes énonçant la « mort du capitalisme ». La politique joue un grand uploads/Geographie/ berger-armenien-le-gampr.pdf

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