Pour l'Émerveillement La Cabbale radiante Consacrée à Jésus, s'efforce de débar

Pour l'Émerveillement La Cabbale radiante Consacrée à Jésus, s'efforce de débarrasser cette entité de toutes les bandelettes institutionnelles et exégétiques qui l'emprisonnent, pour aller droit « au centre de l'Unique Merveille ». Pour ressusciter ce ressuscité, nous avons utilisé notre récente découverte, la Cabbale radiante, discipline qui joint une radiesthésie spéciale au travail sur les Lettres-Energies de l'alphabet hébraïque pour décoder, comprendre et réunir tous les éléments du réel. Les résultats de cette méthode, concernant Jésus, sont étonnants, voire stupéfiants. Mais, d'une façon générale, ce déchiffrement inédit du Vivant permet de donner, de chacun de nous, une « radiographie spirituelle » d'un intérêt majeur, pour la compréhension de soi- même et la réalisation correcte de notre vocation. Avertissement Voici de nouveau, après un long silence, que reparaît EPIGNÔSIS. Étant seul pour m'occuper entièrement de la revue, et mes travaux de recherche et de formation m'accaparant de plus en plus, j'ai longtemps cherché une solution à cet inéluctable problème du temps. Je n'ai rien trouvé de vraiment satisfaisant à ce jour. Mais je suis très attaché à la poursuite d'ÉPIGNÔSIS, et, moyennant une certaine reprogrammation de mes activités, je continue. Au rythme, que j'espère tenir, de deux numéros par an. Ce Cahier, Pour l'Émerveillement, est composé de deux par-ties. Une très nouvelle, et une autre plus traditionnelle. La seconde, comportant de beaux textes de Jean Biès, de Henri Raynal, de Roger Munier, d'Alphonse Goettmann, tente de montrer d'une part la beauté secrète, intérieure, essentielle du monde et de l'être humain, et d'autre part la nature de cet état d'esprit, l'émerveillement, indispensable à qui veut pénétrer au coeur des êtres et des choses, entrer en contact avec le Divin partout disséminé et partout présent. L'émerveillement, c'est l'ouverture ardente sur la connaissance qui s'accroît sans fin d'elle-même et sur l'Amour qui se recrée d'instant en instant. C'est la seule manière d'appréhender et de vivre le Vivant. La première partie est une très singulière illustration de ce thème. Une étude consacrée à Jésus, à cette Présence, plus actuelle que jamais, du Toujours-Nouveau, s'efforce de débarrasser cette entité de toutes les bandelettes institutionnelles et exégétiques qui l'emprisonnent, pour aller droit « au centre de l'Unique Merveille ». Mais pour faire ressurgir le Fils dans sa vérité, son historicité, son climat, sa mission, sa symbolique — sa plénitude enfin —, pour ressusciter ce ressuscité, nous avons utilisé une découverte récente, la Cabbale radiante, discipline en plein essor qui joint une radiesthésie spéciale au travail sur les Lettres-Energies de l'alphabet hébraïque pour décoder, expliquer et réunir tous les éléments du réel. Certains désapprouveront la méthode, ou resteront sceptiques. D'autres seront « émerveillés » et se jetteront dans l'aventure. Ainsi en est-il de tout ce qui est nouveau. Je pense que ceux qui auront la patience de lire et de relire cette étude, où sont fournies des clefs essentielles, non seulement acquerront une vision transfigurée du Christ, mais voudront s'associer à cette recherche, qui concerne chacun personnellement, et qui nous engage dans un nouveau rythme, un nouveau climat de connaissance ou d'évolution. De toute manière, ce déchiffrement inédit du Vivant permet de donner une « radiographie spirituelle » de tout être, de comprendre ses qualités profondes, d'expliquer ses problèmes, et sur-tout de savoir où et comment il peut puiser l'énergie dont il a besoin. C'est donc un élément moteur de cette autre discipline que je m'emploie à rendre opérative avec un petit groupe de chercheurs, la théo-analyse : le travail sur la personne humaine à par-tir de son noyau divin, de ses aptitudes foncières, des facultés du Coeur, de l'« icône », du feu qui ne demande qu'à jaillir — et non à partir de ses complexes et de ses déviations (comme les psychanalyses). Avant d'explorer les abîmes, il faut aller chercher en haut, là où elles sont, la lumière et la force indispensables : la transmutation, alors, ne peut que réussir. Médecine intégrale, de l'ère du Verseau, et de l'Esprit. Un mot également sur le Réseau Âme du Monde, qui est présenté dans ce Cahier. C'est une initiative qui me tient à coeur, car elle permet à chacun, dans la plus grande liberté, d'appeler à travers lui la « Force de Vie » pour le service universel (aider tous ceux qui sont en manque d'être), et de devenir ainsi un instrument de salut pour les autres tout en accélérant sa propre évolution dans les meilleures conditions possibles. Plus ce Réseau s'étendra, plus cet « égrégore de Lumière » qu'il constitue aura de poids — d'Amour — et d'efficacité pour la transformation de nos destinées. Merci à tous les fidèles pour cette longue attente. Y.A.D. Une Merveille nommée Jésus par Yves Albert DAUGE « Seigneur, accrois mon émerveillement devant Toi ! (Hadith, ou « dire du Prophète »). Depuis plus de 35 ans, parmi des recherches variées à travers toutes les traditions, parmi dés expériences de toutes sortes, une Présence s'est toujours imposée à nous — avec une radiance et une bonté croissantes —, celle de ce Yeshouah, de ce « Rabbi qu'on appelle Jésus ». Si nous tentions de nous éloigner de lui, il réapparaissait toujours sur notre route — comme sur celle d'Emmaüs ; et si nous tentions de pénétrer son mystère, il s'échappait toujours au-dessus de notre quête. Peut-être n'avons-nous pas encore « saisi le Seigneur par sa chevelure dorée », selon l'expression de L. Cattiaux (la Lettre du Fils, le Waw, est précisément celle des cheveux), mais il est devenu « notre compagnon victorieux et indéfectible » (Mess. retr. XIX, 24), se montrant à nous sous les traits qu'a redécouverts en 1935, par une prodigieuse inspiration, l'artiste arménien Aggeman, d'après le visage du Suaire — authentique ! Et en même temps, par décantations successives, par progressive compréhension de l'essentiel, nous avons essayé de reconstituer sa véritable doctrine en quelques « Paroles » qui pèsent leur poids d'Amour et leur légèreté de Lumière — Paroles si vite dénaturées et confisquées par l'institution. « L'aristocratie chrétienne de la connaissance a été décapitée dès le commencement, et les symboles, les personnes, les rites et les sacrements se sont substitués à la réalité transcendante du mystère divin » (Mess. retr. XXVII, 24). Qu'a donc dit « L'AMEN, le Témoin fidèle et vrai, la Cause même du mouvement créateur de Dieu » ? (Apoc., 3, 14). La doctrine authentique de Jésus Voici, dans sa force et son originalité — dans sa simplicité aussi —, l'enseignement fondamental de Jésus le Veilleur (sens du mot « Nazôréen »), le Sauveur et le Passeur, le Toujours-Présent : Par-delà la Torah (Mt. 5, 17 et Lc. 11, 37 sq.), par-delà le sabbat (Mc. 2, 27-28 ; Lc. 6, 5b ; Thomas 27), par- delà les rites, les systèmes et les formes (Jn. 4, 21-24 et Mt. 15, 10 sq.), par-delà l'alliance abrahamique (Jn. 8, 58 : « Avant qu'Abraham fût, Je Suis »), par-delà l'Eden (cf. Thomas 77), que chacun, par son Principe-Germe divin (Lc. 17, 21) et par son Feu intérieur (cf. Lc. 12, 49), par sa fidélité au OUI de l'Alliance primordiale, par la reconnaissance du vrai Code du Coeur — ABBA, c'est-à-dire A de Ahavâh, l'Amour, BB de Beréshîth (avec un double Beth), la jonction des Feux, et A de Amen, le Oui —, par la découverte en lui de la nature même du Christ (Thomas 13 : « Nous sommes UNS », et 108), se relie librement (Jn. 8, 32) à la Source de Vie et de Lumière, au Père (Mt. 6, 6 ; Thomas 50 ; cf. Abba : Père), à l'Amour créateur (Jn. 13, 34-35 et le circuit de Ahavâh, hA-H-B-H), à la Toute-Bonté divine (Exode 33, 19 et Lc. 18, 19), à l'Esprit royal inconditionné (Jn. 3, 8), afin d'honorer la signature de Dieu qu'il est essentiellement (tout être est une « épreuve » du Nom), afin de devenir pour tous les vivants un canal de salut (cf. l'archétype « chrétien » du bodhisattva), afin de contribuer à la constitution dans l'uni-vers de la Fraternité flamboyante et pérégrinante des Elo- hîm (Psaume 82 et Jn. 10, 34). » Une prodigieuse Présence Jésus le Nazôréen, le Fils de Dieu, le Messie, est à la fois, il faut en convenir, un champ de forces et un tissu d'énigmes, un extraordinaire centre de rayonnement et une figure déconcertante. Mais quoi qu'on puisse dire — ou ignorer — du Jésus historique, il y a le fait monumental, irréfragable, d'une Présence exceptionnelle, puissamment radiante, qui occupe pleinement l'espace, l'« espace des Vivants », et qui aimante les Coeurs. Son influence a été, est toujours, et sera encore capitale. Elle est liée aux secrets du Nom, de l'Amour créateur et de la Paix (voir Epignôsis n° 18,pp. 16 sq.). Elle nous introduit « au centre de l'unique Merveille ».Lorsque, dans la transparence ardente de notre Coeur, nous sommes attirés vers lui, ou en lui, nous ne pouvons que reprendre les termes du magnifique Psaume à Jésus que nous offre la liturgie manichéenne (voir Fr. Decret, Mani, Seuil, 1974, pp. 96-97) : « uploads/Geographie/ cabbale-radiante-pdf.pdf

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