CHANT : Les gars de la petite école Et de la force, et de la vaillance, Et de l

CHANT : Les gars de la petite école Et de la force, et de la vaillance, Et de la force, et de la vaillance, Nous sommes les braves gars De la petite école Car toute la semaine Nous sommes à la tâche. Voyons devant nous, nous voyons les jeudis ! Voyons devant, nous voyons les dimanches ! Et nous disons aussi que la gymnastique est dure ! Le relais fait grimper le manque de courage ! Et de la force, et de la vaillance, Et de la force, et de la vaillance, Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com Commencer Accéder au contenu principal LA SOLUTION MIRACLE DE FORTUNE Il reste vrai que tous veulent et cherchent constamment le bonheur ,l'aisance, le bien être ;cependant ils oublient avec exagération que ce Bonheur tant voulue doit en effet être creer par eux mêmes .Pour dire avec VOLTAIRE que :<<LE TRAVAIL ÉLOIGNE DE NOUS L'ENNUIE LE VICE ET LE BESOIN QUI SONT LES MAUX LES PLUS DIFFICILLES >> DE FAÇON GLOBALE POUR MANGER IL FAUT TRAVAILLER ,ET SURTOUT BIEN TRAVAILLER ,CAR IL EST VRAI QUE TOUT TRAVAIL BIEN FAIT EST TOUJOURS UNE SOURCE DE BÉNÉDICTION ET D'AVANCEMENT . TOUT EN SACHANT QUE "LE BIEN NOUS PROTÈGE TANDIS QUE LE MAL NOUS REND ESCLAVE PAR LA DESTRUCTION. Ce tout nouveau site du Rationaliste Yves Fortune ne fait pas dans la dentelle et surtout vient a point nommée pour vulgariser les résultats des recherches pédagogiques entamés dans le passé toujours plus amélioré pour nos éducateurs , nos élèves sans oublier nos parents d'élèves dont l'ensemble forme la communauté éducative .Nous vous souhaitons la bienvenue sur le site de la recherche pluraliste .Soyez toujours prêt a nous proposer les remarques ou les éventuelles critiques et ou suggestions qui je n'en doute pas un instant nous permettrons non seulement de nous améliorer mais aussi et surtout de satisfaire les attentes de toute la communauté éducative./Yves Fortune  VOICI LES DOCUMENTS DE #La Solution Miracle # déjà disponibles en boutiques des oeuvres.  toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu  Actualité sur notre site  pas d’histoire d’amoureux avant le mariage!!!  Vous allez aimer les articles de notre-votre collection « La Solution Miracle «  Fascicule Chants et récits au C.E.P Rate This CHANTS ET POEMES Raymond Samaké 77.633.22.50/ 70. 719 .70 52 POEMES 1-JE SUIS MALADE 2-LA BICHE BRAME 3-CHAQUE ENFANT QU’ON ENSEIGNE 4-BÂTISSONS DES ÉCOLES 5-LA PAUVRETÉ 6-AIMEZ VOS CAHIERS 7-LE MARCHÉ 8-A MA MÈRE 9-LE TRAVAIL NOTRE AMI 10 -SOUFFLES 11-TAM-TAM DES ARÈNES 12-VILLAGE NATAL 13-LA GUERRE MONDIALE 14-LE LABOUREUR ET SES ENFANTS 15-FEMME NOIRE 16-LE CORBEAU ET LE RENARD 17-LES JOURS DE LA SEMAINE 18-LA PAROLE DU GRIOT 19-LE PARESSEUX 20-PROTÉGEONS LA MER 21-LAMINE GUEYE 22-L’HOMME QUI TE RESSEMBLE 23-MA MAIN- L’AN PASSE 1 POEME : JE SUIS MALADE Oh ! Mon dieu !je suis malade Publicités REPORT THIS AD Je suis à l’hôpital Les gens que je voie ne sont pas gais dans la salle Chaque jour, j’espère me lever pour faire mes besoins Je suis triste mon dieu la vie me dégoûte. Je n’irai pas enseigner le savoir aux enfants. Je n’irai pas voir mes amis en chantant Mais demain, je guérirai J’irai encore à l’école J’irai encore me défouler dehors Les oiseaux chanteront pour moi « Il est guéri, il est guéri » RAYMOND SAMAKE POEME ; AIMEZ VOS CAHIERS Je vous conseille d’aimer vos cahiers avec passion Aimer un cahier, c’est ne pas accepter qu’il y ait une seule erreur C’est le vouloir beau, aimable et facile à lire Pour qu’un cahier soit ainsi Il est clair, qu’on ne peut le rédiger à la hâte Il faut donc avoir deux sortes de cahiers Les cahiers de brouillon Qui sont nécessairement un peu laids Et les cahiers de textes Qui ne contiennent que les choses Belles, vraies, élégantes et reposantes Un cahier est l’image de notre intelligence Je juge de l’avenir d’un enfant en voyant ses cahiers. JEAN GUITTON 2 POEME: LA BICHE BRAME La biche brame au clair de la lune Et pleure à se fondre les yeux Son petit faon délicieux A disparu dans la nuit brune Pour raconter son infortune À la forêt de ses aïeux La biche brame au clair de la lune Et pleure à se fondre les yeux Mais aucune réponse, aucune A ses longs appels anxieux Folle d’amour et de rancune La biche brame au clair de la lune. MAURICE ROLLINAT POEME ; CHAQUE ENFANT QU’ON ENSEIGNE Chaque enfant qu’on enseigne est un cœur qu’on gagne Tout homme qui ouvre un livre y trouve une aile Et peut planer là haut Où l’âme en liberté meurt L’école est sanctuaire autant que la chapelle L’alphabet que l’enfant avec ses doigts épelle Contient sous chaque lettre une vertu Le cœur s’éclaire doucement à chaque humble lueur Donc au petit enfant, donner le petit livre L’intelligence veut être ouverte ici – bas Le germe a droit d’éclore Et qui ne pense ne vit pas Songeons y bien L’école encore change le cuivre Tandis que l’ignorance en plomb transforme l’or VICTOR HUGO 3 POEME: BATISSONS DES ECOLES Au bord des mers, le long des fleuves Dans la vallée et sur les monts Bâtissons des écoles neuves Pour les petits que nous aimons Et pour bâtir des maisons nouvelles Jamais les maçons plus gaiement Ne sont montés sur leurs échelles Et n’ont pétri plus dur ciment Les anciens se sentant revivre S’écriaient, car beaucoup d’entre eux N’avaient jamais lu dans un livre « nos enfants seront plus heureux » JEAN AICARD POEME : LA PAUVRETE Vous qui vous dites pauvres savez vous ce que c’est ? Avez –vous pensé une seule fois que des millions d’humains Se demandent nuit et jour Dans le monde, S’ils vivront le lendemain La faim ? Elle les torture La soif ? Elle les tenaille Les vêtements ? Ils n’en n’ont pas deux Vous qui vous dites pauvres Savez –vous ce que c’est ? ISAIE BITON KOULIBALY 4 POEME :LE MARCHE Une odeur de poissons, de fruits et de légumes Le parfum des jardins et celui des forêts Des fleurs comme une rouge Ou blanchissantes écumes Du soleil à travers les branchages frais Les fruits d’or débordant Les profondcs orbeilles Des cris qui percent l’air Aigus comme des traits Les pas et les appels Les rires sur les bouches Des vieux secs,vigoureux, tordus Comme des souches. C’est le marché vibrant dans un matin d’été. BERNARD GRASSET POEME : A MA MERE Ô mère, femme simple Sur ton dos j’ai dormi Quand tu pilais le mil Pour le repas du soir Quand tu allais vers les champs, le matin Et par tout les temps Ô mère, femme simple Pour ton lait Pour tes chansons Pour le bonheur dans ta maison Je te remercie mille fois A ma mère FERNAND NATHAN 5 POEME : LE TRAVAIL NOTRE AMI Ne soyez pas comme les chats Friands de poissons Ils détestent la nage Le travail est l’ami des vivants Travaillez donc travaillez Les pauvres sont des charges pour l’humanité Seriez-vous beau et besogneux Parlez on ne vous écoute pas En chemin vous marcherez derrière les autres Car l’enfant qui ne veut pas travaillez Dans un verger maraudeur Dans la ville quémandeur A la maison de trop Le travail mes ami seul fait l’homme. POEME: TAM-TAM DES ARENES Saute ! Saute !Belle djiguène C’est le tam–tam des arènes Qui t’appelle ce soir , Koumba éblouissante reine, Pour toi exécutera les pas du Saloum et du Baol. Rythme et cadence. Et pourquoi la lune ne se lèverai-t-elle ? Sinon pour éclairer les danses frénétiques ? Ceci n’est qu’une chanson La chanson du tam-tam des arènes. Saute ! Saute !Belle djiguène c’est le tam-tam des arènes Qui t’appelle ce soir. BERNARD DADIE 6 POEME: SOUFFLES Écoute plus souvent Les choses que les êtres La voix du feu s’entend Entend la voix de l’eau, Écoute dans le vent le buisson en sanglots C’est le souffle des ancêtres Ceux qui sont morts ne sont jamais partis Ils sont dans l’ombre qui s’éclaire Et dans l’ombre qui s’épaissit Les morts ne sont pas sous la terre. Ils sont dans l’arbre qui frémit Ils sont dans le bois qui gémit Ils sont dans l’eau qui coule Ils sont dans l’eau qui dort Ils sont dans la case Ils sont dans la foule Les morts ne sont pas morts BIRAGO DIOP POEME: VILLAGE NATAL Ici je suis chez moi, je suis vraiment chez moi Les hommes que je vois, les femmes que je croise M’appellent leur fils et les enfants leur frère Les chants que j’entends expriment des joies et des peines Qui ne sont miennes nos gens sont pauvres mais très simples, Très heureux, je suis simple comme eux Je suis vraiment chez moi. JEAN LOUIS DONGMO 7 POEME : LA GUERRE MONDIALE Si ce n’étaient pas les noirs Noirs comme du charbon Nombreux comme des fourmis Braves comme des lions Je bombarderais la France en 24h Je prendrais uploads/Geographie/ chant 1 .pdf

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