CASQUE D'OR TOUS LES JEUDIS FILM COMPLET 16 PAGES * 20 FRS SIMONE SIGNORET No 3

CASQUE D'OR TOUS LES JEUDIS FILM COMPLET 16 PAGES * 20 FRS SIMONE SIGNORET No 326 (Imprimé en Fronce.) DANS L'ENNUI, ÉCRIVEZ-LUI'! Posez 5 questions, date naissance : 100 francs, ARIANE m°"`P'rna"*. Reçoit de l à 6, eeeee emed AVIS A NOS LECTEURS Pour recevoir une réponse, soit par le journal, soit directement, IL EST INDISPENSABLE de joindre à votre lettre deux "bons- réponse" à découper dans les numéros de Film Complet, au bas de la page 3. Pour les réponses directes, donc plus rapides, joindre en outre un timbre de 15 francs en indiquant votre adresse. Comment va la petite santé, mes cher amis! J'espère qu'elle est florissante au pain de vous rendre gras à lard avec une peau tee due et luisante, l'ail émerillonné, le cheveu riche et souple et un éblouissant sourire de mangeur de beefteack. C'est du moins la graisse, pardon le grâce que je vous souhaite. Quand vous lirez ces lignes vous peut être déjà à la fin de ms vacances, mais à l'heure où je les écris le soleil tape sur mon jardin et en fait briller les fleurs. Ce qui a pour double conséquence de me mettre d'excellente bu. me. et de déclencher en moine de ces crises de flemmingite aiguë dont u je ne suis sans doute pas le seul à connaître le secret. J'ai donc décidé d'inaugurer une nouvelle série d'« éditoriaux d'été », c'est-à-dire d'ar- ticles auxquels je ferai subir, pendant la belle saison, le même raccourcissement qu'à mes manches de chemise. Ce sera tant mieux pour la rubrique, où je commence à revoir poindre o l'embouteillage» si redouté. rai sous les yeux la lettre d'une lectrice qui, bien qu'elle semble ne pas se faire plus de bile qu'une autre, e choisi le pseudo mntradic- cuire de Tourmentée. Il est évident que je répondrai d'autre part à cette tourmentée-là, ne fût-ce que dans le présomptueux espoir de transformer son tourment en une violente dilatation de la rate accompagnée d'une pane d'haleine et d'un déploiement de la gorge, ce qui — comme chacun le sait— est le signe infaillible du rire chez tous les peuples civilisés et mérite chez les autres. Je ne reprendrai donc ici qu'un tout petit bout de phrase de M. Tourmentée. Le voici « Il me semble que les nouveaux sont quel- que peu délaissés. On leur accorde deux, trois lignes, et les voilà classés. Car on voit rarement les nouveaux dans la rubrique. Ils <rainent parmi les réponses brèves. Enfin je ne vous en tiens pas rigueur, on ne prend pas les mouches avec du vinaigre, n'est- and Mais sans parti pris, aaaaaa que les ens genre De Talle et d'Estoc sont tout de même f isé J p d tq I méritent. » Seriez-vous un peu jalouse, ma belle Tour- mentée ? je ne le crois pas, car vous dites tout cela avec plus de gentillesse que d'amertume. Mais, si je reprends votre phrase, c'est parce qu'elle soulève à nouveau un conflit déjà ancien. A vous, comme aux autres qui sou vent me font la même remarque, je réponds Non, rassurez-vous, les nouveaux ne sont dé- favorisés en rien. Devant— il faut bien le dire —Insuccès grandissant du courrier, je regrette de ne pas avoir suffisamment de place pour passer toutes les lettres sa. distinction dès leur errivée. Nous sommes, hélas I loin de compte. Je dis « hélas I » parce que ça vo tt. ferait plaisir, et moi cela m'éviterait un beau casse-tête chinois. Je m'efforce donc loyalement de départager, à peu près par moitié, les nouveaux et les anciens. Cela crée un décalage, car dans les lettres reçues quotidiennement les nou- veaux sont en surnombre. Ils sont donc plus sacrifiés que les anciens. Mais franchement, ma chère correspondante, je ne puis faire mieux. Imaeinez un peu, je vous prie, ce que donnerait un numéro composé presque exclu- sent de nouveau:. Rien que des « pré- entations n, quelques listes d'acteurs pré- férés, quelques questions de cinéma, et c'est tout. Plus de messages entre lecteurs, plus de conflits à propos des éditoriaux, plus de ces « bagarres» que les courriéristes semblent apprécier. Il faudrait des mois pour que le courrier reprenne de l'intérêt et alors, inévi- tablement, quelque. « » devien- draient des anciens, à l'indignation des nou- veaux « nouveaux ». Car, c'est là-dessus que je termine, dites- vous t bien que certaines « prérogatives » ne sont pas dues à des préférences de ma part, mais au mérite de certains lecteur. qui pren- nent admirablement «l'esprit du courrier »et s'attirent de nombreuses réponses. C'est ainsi que, contrairement ace que vous sem- blez croire, notre ami De Taille et d'Estoc est relativement nouveau dans la rubrique, ainsi que Don Man, sorti à la même époque. Ce sont les deux courriéristes masculins qui obtien- nent le plus de réponses en ce moment, et cependant ils n'ont pas obtenu de voix pour l'élection du « roi » pour la bonne raison qu'ils n'éteint pas encore au courrier à ce mo- ment là. Vous voyez bien, ma chère Tourmen- tée, que tout cela est relatif I Et voilà qu'une fois de plus j'ai pondu un éditorial interminable alors que je comptais en faire un tout petit t Ce sera pour la se- maine prochaine. Amitiés à tous sans salamalecs. Ça gagnera toujours une ligne LE CAMERAMAN AMOUREUX. Réponses aux lettres SANS ESPOIR me fait une « grande scène » parce que je n'ai pas encore répondu à ses précédentes lettres. « Peut-être, ajoute.t-elle, croyez-voua que mon infirmité m'empêche d'écrire ? Pas du mut, je suis capable d'écrire une lettre par jour. Pourquoi ne répondez- vous pas plus rite aux courriéristes qui, des. e moi, Répondez es seuluchées pendant nées ? unpetit mot, vous ne pouvez vous imaginer le plaisir que vous faites font na la permission d'écrire comme autres I Pourquoi, quand une personne vous écrit sans parler de cinéma, le lui reprochez-vous, Pei.ue lorstleon uum pose des questions cinéma vous écrivez à la fin de la lettre « Suivent des questions ciné- ma. » II faudrait s'enMndre I Je ne vous en ets p d tag , p t êt e q d voyez une lettre trop longue vous l'envoyez par la fenêtre sans même y jeter un coup d'oeil... », etc. c — Mu chère petite amie. votre lettre désabusée m'a beaucoup ému, et je viens remettre les choses au point. D'abord. rassurez-vous : je vous of firme que je lis toutes les lettres de courriéristes que M reçois, de la première ligne à le dernière. et q e j ne j t. par 1 f nit M "I faudrait dix fois plus de place que j'en ai pour répondre en détail à toutes les lettres. Néanmoins, ceux de nos amis qui, comme vous. sont des o allon- gés », ont toujours une place de faveur, et c'est justice. Je suis donc à peu prés persuadé qu'il y a déjà une réponse pour vous à l'imprimerie (réponm qui parafes donc avant celle-ci). Mais il n'y a rien d'étonnant à ce que vous n'ayez rien vu encore, puisque votre première lettre date de deux mois, et que c'est le délai a minimum » pour avoir une réponse ! En effet, je demande à tous les courrié- ristes de parler de cinéma. Et si je mets simple- ent à la fin de leur lettre : « Suivent des questions inéma », cela ne veut absolument pas dire que je n'attache aucune importance auxdites questions, bien au contraire. Mais à quoi bon reproduire ces questions, puisque j'y reviens dans ma réponse ? Comprenez-vous ce que je veux dire, petite amie ? Le SIICCES n'attend pas !... ... allez au-deuattt Suivez dès demain les cours par correspondance du C. SRS. Préparation à tous examens et concours. Demandez aujourd'hui méme une documentation complète et détaillée sur la branche qui vous in- téresse. Elle vous sera adressée sans délai, gratuitement, et sans aucun engagement de votre part. Broch. 4.010: Français. Broch. 4.011 t Mathématiques. Broch. 4.012 t Dessin industriel. Broch. 4.013: Comptabilité. Broch. 4.014 t Sténographie-Dactylographie. Broch. 4.015 t Secrétariat. Broch. 4.026: Cours de révision aux ff E., B. E. P. C., et Baccalauréat IN et 2' parties (toug, séries). (Bien indiquer le numéro de la brahore.) Centre d'Etudes — Professionnelles Supérieures 4, cité Magenta. PARIS-10. — APPRENEZ A 000 0 .00 DANSER Seul, en quelques heures, danses en vogue et claquettes. Notice c. env. amis. 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