Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Le livre des simples m

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Le livre des simples médecines : traduction française du "Liber de simplici medicina, dictus Circa instans" de [...] Matthieu Platearius (11..-1161). Auteur du texte. Le livre des simples médecines : traduction française du "Liber de simplici medicina, dictus Circa instans" de Platearius... / publiée pour la première fois par le Dr Paul Dorveaux,.... 1913. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus ou dans le cadre d’une publication académique ou scientifique est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source des contenus telle que précisée ci-après : « Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France » ou « Source gallica.bnf.fr / BnF ». - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service ou toute autre réutilisation des contenus générant directement des revenus : publication vendue (à l’exception des ouvrages académiques ou scientifiques), une exposition, une production audiovisuelle, un service ou un produit payant, un support à vocation promotionnelle etc. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisation.commerciale@bnf.fr. Publications de la Société française d'histoire de la médecine. — 1. LE LIVRE DES SIMPLES MEDECINES Traduction française du Liber de simplici medicina dictus Circa instans de PL AT E A RIU S tirée d'un manuscrit dii XIIIe siècle (Ms. 3113 de la Bibliothèque Ste Geneviève de Paris) et publiée pour la première fois PAR le Dr Paul DORVEAUX Bibliothécaire en chef à l'Ecole supérieure de Pharmacie de l'Université de Paris. Avec un fac-simile d'une page dudit manuscrit. A PARIS Chez le Secrétaire général de la Société française d'histoire de la médecine 16. rue Bonaparte.16 1913 LE LIVRE DES Lille. — imp. Centrale du Nord, i2, rue Lepelletier. Publications de la Société française d'histoire de la médecine. — 1. J tirée d'un manuscrit du XIIIe siècle .(Ms. 3113 de la Bibliothèque SI" Geneviève de Paris) et publiée pour la première fois PAR le Dr Paul DORVEAUX Bibliothécaire on chef à l'Ecolé supérieure de Pharmacie de l'Université de Paris. Avec un fac-simile d'une page dudit manuscrit. A PARIS Chez le Secrétaire général de la Société française d'histoire de la médecine 16, rue Bonaparte, 16 1913 « Jusqu'à ces dernières années, écrivait Ch. Darem- berg (1) en 1860, l'histoire de l'École de Salerne se réduisait à de très vaguesnotions sur quelques-uns des médecins qui ont pratiqué ou enseigné à Salerne pen- dant la première période du moyen âge, et sur le poème didactique, sorte de prose métrique, connu généra- lement sous le nom de Schola salernitana (École de Salerne). » Aussi ne faut-il point s'étonner des nom- breuses erreurs qui, jusqu'au milieu du XIXe siècle, ont été commises par les biographes de l'un de ces médecins salernitains, Matthaeus Platearius. Il y eut à Salerne deux médecins illustres du nom de Platearius. L'un, dénommé Johannes, a vécu à la fin du XIe siècle et au commencement du XIIe : on admet généralementqu'il est l'auteur d'un manuel de méde- cine intitulé Practica brevis. L'autre, appelé Matthæus, florissait au milieu du XIIe siècle ; il a écrit les deux traités suivants : 1° Liber de simplici medicina, seu Circa instans ; 20 Glossse in Antidotarium Nicolai. L'histoire de ces deux médecins est passablement embrouillée. Dans son traité De medicina claris scriptoribus, Sym- phorien Champier (2) a fait des deux Platearius un seul personnage, auquel il a consacré l'article suivant : « Johannes Platearius salernitanus, vir in medendis corporibus singularis, ingenio promptus, scripsit in medicinis non pauca volumina, de quibus ego tantum (1) L'École de Salerne, traduction en vers français, par Ch. MEAUX SAINT-MARC, avec texte latin en regard, précédée d'une introduction par le DR Ch. DAREMBERG, Paris. 1861. p. XV. (2) CHAMPIER (Symphorienï. De Medicinæ Claris scriptoribus in quinque partibus tractatus, fol. xxxiiij recto. Ce traité fait partie d'un recueil d'opuscules de Symphorien Champier. intitulé : Index librorum in hoc rolumine contentorum, etc., et publié à Lyon dans les premières années du XVIe siècle. Il se trouve à l'Académie de médecine de Paris et à la Bibliothèque Nationale. vidi : Practicam brevem (sic) 'in omnes morbos lib. i. ; De simplicibus dictus (sic) Circa instans lib. i. De aliis nihil vidi ». Il y a introduit aussi un médecin français qui a été qualifié d'« énigmatique personnage », Jean de Saint-Paul (1), dont il parle dans les termes sui- vants : « Johannes de Sancto Paulo, natione gallus, virin medicinis longa experientia exercitatus, scripsit De morbis particuliaribus lib. i. ; De simplicibus lib. i., et alia quaedam (2). » Les biographes et les bibliographes venus après Symphorien Champier ont, comme lui, admis un seul Platearius, dénommé.Johannes, qu'ils ont fait fleurir, les uns en 1497, les autres en 1521, d'autres enfin en 1300 (3). Fabricius est le premier d'entre eux qui ait signalé l'existence de Matthaeus Platearius. Dans sa Bibliotheca latina mçdix et infimæ œtatis (t. V, p. 155 et (1 Jean de Saint-Paul figure dans les Mémoirespour servir à l'histoire de la Faculté de médecine de Montpellier (Paris, 1767, p. 204\ par Jean ASTRUC, qui en parle dans les termes suivants : « J'avoue que je n'ai ni preuve ni conjecture pourassurer ce méde- cin à la Faculté de Montpellier.Tout au plus il étoitfrançois; encore même y a-t-il des gens qui en doutent et qui veulent qu'il fût de Salerne ». Pour le Dr P. PANSJER (Janus, t. IX, p. 447, Harlem, 1904);, « Jean de Saint-Paul est un énigmatique personnage qu'Astruc (sic) et Littré donnent comme ayant enseigné à_Montpellierau XIIIe siècle. C'est l'auteur présuméd'un traité (Liber de virtutibusmedicinarum simplicium)dont la bibliothèque de Breslau possède un exemplaire écrit au XIIe siècle. On est donc obligé de reporter l'existence de Jean de Saint-Paul au moins au milieu du XIIe siècle. » La Bibliothèque Nationale de Paris possède deux manuscrits latins du XIVe siècle, qui sont des copies de ce traité. Le premier, coté 6976,estintitulé : Liber de virtutibussimplicium medicinarum, secundum Joannem de Sancto Paulo, alias secundum Platearium ; le second, coté 6988 : Tractatus de medicinarum simplicium vir- tutibus, secundum Joannem de Sancto Paulo, alias secundum Platearium. Cf. Catalogus codicum manuscriptorum Bibliothecæ Regix. Pars tertia. Tomus quartus. Paris, 1744, p, 299, col. 2, et p. 301, col. 1. (2) CHAMPIER, loc. cit., fol. xxxviij verso. Les articles « Johannes de Sancto Paulo » et « Johannes Platearius » de Symphorien Champier ont été reproduitspar Conrad GESNERdanssa Bibliotheca universalis (Zurich,^1545, fol. 446 ro et 448 vo). 3) VAS DER LINDEN (Joh. Antonid.]. De scriptis medicis libri duo. Editio tertia. Amsterdam, 1662, p. 394. 888, Hamburg, 1736), il a donné quelques renseigne- ments exacts sur ce médecin ; mais il a commis une erreur singulière au sujet de Johannes Platearius, qu'il appelle « Johannes a S. Paulo Platearius ». Des deux articles consacrés par Symphorien Champier à Johannes Platearius et à Johannes de Sancto Paulo, il en a fait un seul qui débute ainsi : « Johannes a Sancto Paulo Platearius, gallus, medicus Salernitanus, çujus Practicam habemus et Librum de simplici medicina sive de medicamentis simplicibus, et Commentarios in Antidotarium Nicolai », etc. Joecher a encore renchérisur Fabricius. De Johannes Platearius, de Matthæus Platearius et de Johannes de Sancto Paulo, il a fait uploads/Geographie/ le-livre-des-simples-medecines-matthieu-platearius-bpt6k9722321w-pdf.pdf

  • 9
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager