Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Les phéniciens à l'île
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Les phéniciens à l'île d'Haïti et sur le continent américain : les vaisseaux d'Hiram et de Salomon au fleuve des [...] Onffroy de Thoron, Enrique (18..-18.. ; vicomte). Auteur du texte. Les phéniciens à l'île d'Haïti et sur le continent américain : les vaisseaux d'Hiram et de Salomon au fleuve des Amazones (Ophir, Tarschich, Parvaïm) / par le vicomte Onffroy de Thoron (Don Enrique),.... 1889. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. 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LES PHÉNICIENS A FILE D'HAÏTI ET SUR LE CONTINENT AMÉRICAIN LES VAISSEAUX D'HIRAM ET DE SALOMON AU FLEUVE DES AMAZONES (OPHIR, TARSCHICH, PARVAÏM) PAR le Vicomte ONFFROY DE THORON (DON ENRIQUE) ANCIEN ÉMIR DU LIBAN (1840) PHILOLOGUE HISTORIOGRAPHE DE L'AMÉRIQUE 1887-1889 LOUVAIN IMPRIMERIE DE CHARLES PEETERS, LIBRAIRE-ÉDITEUR 22, RUE DE NAMUR, 22 PARIS, CHEZ L'AUTEUR, 83, AVENUE DE LA GRANDE ARMÉE ET CHEZ TOUS LES LIBRAIRES 1889 A SON EXCELLENCE MONSIEUR Ramon FERNANDEZ ENVOYÉ EXTAORDINAIRR ET MINISTRE PLÉNIPOTENTIAIRE DU MEXIQUE. MONSIEUR LE MINISTRE, En faisant à Votre Excellence la dédicace de mon oeuvre « Les Phéniciens à l'île d'Haïti et sur le Continent américain, » j'accomplis un devoir bien naturel; puisque V. E. est, en France, le Représentant de la République du Mexique, le plus important des États de la partie centrale du Nouveau-Monde. En apportant les preuves que ce grand continent, particulièrement le Mexique, eurent dans l'antiquité des colonies phéniciennes, je jette sur l'histoire ancienne de votre pays un jour tout nouveau, avec la conviction, que si les historiens de l'Amérique adoptaient la méthode que je mets en pratique, ils feraient dissiper les ténèbres qui enveloppent encore les traditions et les origines des migra- tions orientales qui, depuis les temps préhistoriques jusque dans le Moyen-âge, se sont succédées à travers l'Atlantique. L'étude de la langue hébraïque, qui est la même que la cananéenne ou phénicienne, m'a permis de constater, par des preuves nombreuses, les conquêtes des phéniciens et de leurs descendants à l'île d'Haiti et au Mexique. Mais j'ai l'honneur de dire à V. E., que mes recherches ont toujours eu pour point de départ les traditions et que c'est par la linguistique que je les ai confirmées. En publiant mon livre en l'absence de V. E., qui est au Mexique, j'ai seul la responsabilité de son contenu. Je l'ai écrit avec la conviction. que les Études américaines exigent la lutte contre les anti-américanistes de parti pris, la lutte de la vérité contre l'erreur des fausses théories et des mythes, la lutte du progrès contre la résistance et la malveillance c'est, en un mot, la lutte entre la lumière et les ténèbres. Je prie donc V. E., qui aime tout ce qui sert à l'illustration de sa Patrie, d'être indulgent pour les défauts de mon œuvre et de n'y considérer que le but que je me suis proposé, par le développement des preuves histo- riques et scientifiques qui font sa force. J'ai l'honneur d'être, Monsieur le Ministre, de Votre Excellence le très respectueux et dévoué serviteur. Vle Onffroy DE THORON. AVANT-PROPOS. Le savant Brasseur de Bourbourg, dont la vie fut trop courte pour le progrès des sciences américaines, a fait de nombreuses recherches et des ouvrages remarquables sur le Mexique ancien; entre autres, il publia un volume ayant pour titre « Quatre lettres sur le Mexique,. On y lit à la page 367. « Vous aurez l'Océan Atlantique devant vous. Ne craignez rien. Traversez-le avec M. Onffroy de Thoron. Ce savant avait pressenti que mes explorations sur le continent américain produiraient des résultats heureux au point de vue de la lin- guistique, de l'histoire et de la géographie du Nouveau-Monde. En effet, dans un écrit publié à Genève en 1869, sous les auspices de la Société géographique de cette ville, j'attirai l'attention des savants par ma découverte des Voyages trien- naux des flottes de Salomon et d'Hiram au fleuve des Ama- zones et dont tous les marins étaient phéniciens. Là se trouvent les régions d'Ophir, de Tarschich et de Parvaïm; et les Phéniciens en tirèrent de grandes richesses. Il n'existe aujourd'hui aucun exemplaire de cette intéressante publication et, comme elle est très demandée, il y aura lieu d'en faire une réédition qui sera considérablement augmentée et améliorée, par suite de documents nouveaux et d'investigationsfaites dans mon dernier voyage au fleuve des Amazones qui, avant sa conquête par les Portugais, portait le nom de Soliman(Salomon). Ma seconde découverte celle de « la Langue primitive qui, sous le nom de Kichua, est encore parlée dans l'Amérique du Sud, est le fait le plus extraordinaire et inattendu qui se soit produit dans la linguistique et l'histoire, ainsi que le prouvent mes démonstrations claires et ,précises, qui, comme un coup de massue porté à l'enseignement et à la science des Michel Bréal, des Oppert et des Renan les ont étendus inertes et muets. Dans la même année (1886), j'ai publié ma Gram- maire et mon Dictionnaire Français-Kichua. » Cette langue Kichua et l'hébraïque, qui lui est très postérieure, sont celles qui facilitèrent mes premières découvertes aux Amazones et plusieurs autres ensuite. L'œuvre que je publie présentement et terminée en 1887, sous le titre «Les Phéniciens à l'île d'Haïti et sur le continent américain,» fait connaître ma troisième découverte historique. Ce travail sera comme une préface de l'histoire ancienne de l'Amérique. Aces trois découvertes principales, si Dieu prolonge ma vieillesse, j'espère pouvoir en ajouter d'autres qui en sont la conséquence. Aux études américaines entreprises isolément par divers savants, j'apporte donc de nouveaux élémentsde vie et l'ensemble de tous nos travaux pourra former bientôt un brillant faisceau historiquetout à la gloire du Nouveau-Monde. Aussi, mes émules et moi, devons-nous espérer le bienveillant concours, l'appui même, des gens éclairés, particulièrement de ceux de l'Amérique, qui portent un intérêt patriotique au développement des Études américaines, comme à tout ce qui marche dans la voie du progrès. La formation d'un Comité central d'initiative pour les recherches historiques est d'autant plus désirable, qu'il y a nécessité de réagir contre l'esprit hostile des anti-américanistes et contre le parti pris de certains professeurs réputés pour savants, au Collège de France même (Inscriptions (1)), de rejeter a priori et sans examen les documentsde l'antiquité américaine, dédaignant les sources de lumières nouvelles, que le véritable savant accueille avec satisfaction, dans l'intérêt de la science. uploads/Geographie/ les-pheniciens-a-l-x27-ile-d-x27-haiti-onffroy-de-bpt6k2046282.pdf
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- Publié le Dec 09, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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