Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Mémoire sur la philoso

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Mémoire sur la philosophie de Leibniz / Comte Foucher de Careil Foucher de Careil, Louis-Alexandre (1826-1891). Mémoire sur la philosophie de Leibniz / Comte Foucher de Careil. 1905. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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Couwe~utes supëfieute e Mëreeure manquantes PHILOSOPHIE DE LEIBNIZ DE LA CO~ËFOUCHER DE CAREIL MËMOIRE SUR LA PHILOSOPHIE DE LEIBNIZ COURONNÉFARt/AC&DËMtE DESSCtKNCES MORALES ETMUTtQUES Prêsêdé d'une Prêtace de M. AMred FOUILLEE, de l'Institut et dune KOTÏCE SURLA YtE ET LESTRAVAUX DELACTEUR Sed tpM pWMctpta wS &o~toMSte~ a ~<M'm« dertco, taH~tMm a Deo ttt<M<<M, e<mMKCt)M«<!<H<ttttrzcerpO)'M<<~M. t~iMz&Ber)M)uU!,E().CethM<M,t.U,p.M4. PARIS F R. DE RUDEVAL, ÉDiTEU R 4, Rne Amteine Dubpts, PRÉFACE Depuis l'année ~MC, OM l'Académie des sctCHces morales mit ait c<Mtc<K<fs fetMdede Leibniz, ~§ M'saes et les a'recttc'ts de la philo- sophiese sont profondément mof/t~ees. ~m sait si le n~mott'e dit comte ~~Mc~cr de Careil, qlli /«< couronné ex œquo arec nu. oxtt'e, ~e serait pax aMj<wrt!'AMtcottroHM~ seul? On préfère, de nos jours,ail dogmatisme -des jugements portés sur un système, la libre et MMM<erec/tercAcdes pensées qui en tMptr~VHt l'auteur. On lit moins M/<Mt(<ersles A'Mard ~KS ~g &:M:BcMBf. Aussi les documents inédits, qui sourent contien- nent les réflexions les plus spontanéesd'un écrivain, eaux jaillissantes ae l'inspiration à sa «M<r<'p première, acquièrent un prix inestimable aMdf yeux de la critique f<H<fMHpora<Mf. Loin deroir aatM/aphilosophie de Z~&H<j un simple thème à dissertation, ~e comte Foucher de-Careil t~cMt pour ainsi dire en familiarité acecfdme~MpAt/osop/tp,partageant sa curiosité p<M<)* toutes choses, le SMtMtHt dans les tMf~m&roMes directions on se lançaient ses recherches,prenant part à ses cn<AoM siasmes, comme à ses (tolites et à ses Mtec!'<t<M~ex, vivant de sa vie, pensant sa pensée, épris de passion pour le grand MocaMM!* qui ne dédaignaitrien </e ce ~M acotCHt dit ses ~epaKCters et qui croyait que, dans /epro~re«fela philosophiecomme dans celui de FMHtCM's, passé est gros de fareKtf. Aussi es~mons-HOKs ~M'om lira a~c un véritable intérêt le mémoire d~M comte ~bMcAer de Caye~, ancien par la date, .jeune par l'inspiration.- Je suis heureux, pour ma part, de rendre ici hommage -à fespfttsi e~~ M <M<cer< de celui qui, après avoir approfondi Descartes et M&nt~, ~!C!M fit le premiercoHHat~e Sch,openhauer. Ze comte Foucher </e ~ay~t/Aa&tMtt M~Mt<Mten m~mctemps que CMyaM et moi. Je neformat pas à entrer en relation <tr<*c h«; il était ~cpwj'<yt«M!KcpeM<coHMa<c sans ~proM~cr pour eux respect et sympathie. Dans les longs Mfre~eKs que nous eûmes ensemblesur les sujets lesplus dirers, le comte FoMcAer de Careil ne cherchait ~M'd ~ccyatt'cr sMr toutes choses, même SMr celles qu'il semblait le m~M~ coHMaf~'p. 7'oxfc t'cnMt'<yt<equi lui était .MMOHMC, toute objection qui lui était /<««' était la ~tCHtfMMP.Z/ était ~<M<;Ot<r< pr~ à moj! SOK opinion <M'S ~M'OM lui fM montrait les raisons. Auprès des Descarteset des Z.<'t&M<~ il ara<t appris ramoMt' de toutes les fCf! d'OM qu'elles tiennent et OM qu'elles mènent. Il aimait à converserarec CM~aM, dont /M MeM rMSMmMcteHt si peM aMj-steHMc~, et il témoigna fOM~(M<rS aM jeunephilosophe-poèteOMfOHt ~'O~CC~tOKque d'admiration. En écoutant le comte FoMf/w de Cat'e~poWer~e~c/<o'- peH&OKf! arec qui il arait ffCM à FroH<br< sMt' /c .Vc<H, Cut/aM et moi nous étions «MM le charme de ses SOMCfMtt'S abondants et animés, qui ~p<~MatCM< notre esprit la ~Mre originale (/« grand pessimiste. ~tëC ~6 j'asX'OM nous racontait ses 'recherches C< ses n'OMM~/CS dans les ~Mto~A~MM de l'Allemagne! (J/'e~ ~<t, MM< esprit (le système, mais une tolérance t<M<r~r!:f//f, ~M'~ conciliait parfaitement arec ses C<Mt~«'<«H<Sspiritualistes.Et si, ~/MM~t< </t' la /</<~0)f~/t«;() /a~O/~«/Hr, «CMX nous laissions retomber JM~M'<!MJ: CrfMCmMtS <'OM<t'm/Mt'0<M<, le diplomate arMf nous semblait aussi intéressant /ot'xMM'</ racoMta~ses soutenirs SM!' JB<MH<trcA CM ~Mf cour </< t tCHKe ~Mf SM relations OCCC ~c~opcnAaMer. DcccMM sénatearr, <! apporta, OMJ </<'OM</s ~ro~~mc-s sociaux qui f<MHM!CM~a<Mttà préoccuper noire ;M</S MMC CMWOS«C x<M cère f< !? a)'~« désir JM Mt<cMj-. ~tf Sénat, t< M'eM~pas plus ffst'/aM <<'WM parti ~<'tJ M'OTatt été, en philosophie, le sct'r~fMt' occM~/c <MM système. Je me rappelle encore quelle était soit anxiété de coMj:c<eH<'c OM moment des premières discussionssur la loi des accidents (/e <raM< Sa, prctMtere pensée ofatt été de parler coMOv, ses <?M:M com~M~t et Z~<Mt Say lui aMtt /<MffHt tous les arguments</c f~coHOMM ~<o/t~Mc ort&<K/<H'c. Mais le comte f~Me~er de Careil avait des scrupules, dont il me fit part. Nous discutdmeslonguement,c~ercAaKt~MOtM~c/atrer/'Mtt raMtrc, ezpoMMt~MdeMfMfe/attceMeHte l'économisme<c«; tM<er- préta,nt </<? MQ~ mM'M~ faits et chiffres, t;<tnoH<OHt aux principes, MOMS </<tM<!M</<!Mf CM se trOMMtt, MOM pas FtM~fft (/C r/«'M!'C ptV- .~M<~ mais ~~Ms«fe ~o<-«!/<M'<~n'<"f~'e la pet-euuis phitosophia des hommespo/t~Mfs. ~ip~s aro<r<OMt p<'s~ fam!s FcKC/!<'t'JeCa!'cM jMWa pour la loi, en ~p« de ses amis~Mt~Mfs et des fcoHom«ffM ~M ffMttT ~MC~e. Son ~tMHCc, toMfe KOMt'ne (F'«/<'<'s mora~s et p/<t/o '!Op/<~M<'s, ~e c<M«t'~«! pas pCM <!M cofe M~<'r«'Mf<MHe loi ~Mt aro~ ~M< par h« paratft'c MM<* cFt<rr<' a<' /<aMfp <M«< ï'f/ <'M<f cet /<omnt<'de toHMe /o<, ~M' /t'< MM /<oMtmc a<' ~t'aM<~ fœMr. 2/ portai par<OM(/a m~me paSStOH BM 1Tt'a< et </M~MS~: SOMS <-C xarOMf ~'M</t< OH <'fa« « <!<OMMt' Ct MM Mf/f ttOMrCt- MCM pNX )«'<t/<'tM<'Mt MM« «M~Mf MtOM MM pCKSPMr et '( MM MOmMtC H. Mentot). <4 Mcctxbtc t')04 .\).mEn FOL'NJ.ËH. NOTICE SUR LA VIE ET LES TRAVAUX DU COMTE FOUCHER DE CAREIL Louis Alexandre, comte Foucher de Careil, appartenait à une très vieille famille bretonne, qui a donné à la France des soldats et des magistrats. Son arrière-grand père, François de Foueher, mourut conseillerau Parlement de Bretagne. Et il eut pourgrand- père ce brillantgénérald'artillerie, qui se signala dans toutes les guerres de la République et de l'Empire, qu'on trouve partout où l'on se bat, en ces années où l'on se battait partout, à l'armée des Pyrénées~Orientales,à l'armée de Sambre-et-Meuse, à l'armée du Rhin, plus tard à UIm, à Austerlitz, à la Moskowa. Né à Paris, en i826, AlexandreFoucher de Careil fit, au collège Stanislas, de fortesétudes. Il y eut pour maître le P. Gratry, qui devintbientôt son ami, et dontl'inlluenceetlesconseilsdécidèrent peut-être de sa vocation philosophique. A peine sorti du collège,il visital'Italie et la Grèce, et revint de son voyage pleind'idées et de souvenirs. Il entrait dans la vie, animé desplusnoblesambitions.H assurason bonheurenépousant, en 1851, celle qui devait être la confidente de toutes ses pensées, · l'inspiratricede tous ses travaux. C'est à ses côtés et s'appuyant surelle qu'il poursuivrasa double carrière de politique et de phi- losophe, de penseur et d'hommed'action. L'action l'avait tenté dès l'abord; et il estimait qu'un homme intelligent et instruit, riche et porteurd'un nom honoré n'a pas le droit de se désintéresserdes affaires de son pays. Il fut nommé de bonne heure conseiller général dans le Calvados. Mais ce n'est qu'en 1869 qu'il prit, en politique, une attitude militante, en se portant, dans la première circonscription du Calvados, comme candidat de l'opposition. I) fut battu, et, à la suite de cet échec, entreprit aux États Unis un voyage d'études. La guerre éclata peu de temps après son retour en France. H n'était pas homme à suivre les événements en simple spectateur. Il sollicita et obtint le poste de directeur général des ambulances des légions mobilisées de uploads/Geographie/ memoire-sur-la-philosophie-de-leibniz-foucher-de-careil.pdf

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