Figure 1 Réactivation de nos foyers de propulsion Celui qui sait donner une ori
Figure 1 Réactivation de nos foyers de propulsion Celui qui sait donner une orientation totalement spirituelle ā sa vie, tout en gardant les pieds dans la réalité éthérique, est déjā sur la piste de décollage. Son énergie remonte, ses ailes s’agitent et repoussent les nombreux pièges dans lesquels sombre l’humanité. Mais il est encore dans le brouillard et, faute de trouver une carte, il ne pourra aller nulle part. Les secrets techniques d’un conducteur de Merkavah (Vimana, Inde) Revenons ā l’ouvrage du docteur Gopalakrishna sur les vimanas et examinons la citation suivante: <<En attirant les sept forces de l’air, les joignant aux rayons solaires et les passant au travers du centre ondulant du Vimana, le Vimana aura un mouvement de zig-zag comme un serpent.>> Ce conseil aux conducteurs de vimana nous éclaire sur un élément clé dont nous n’avons que peu parlé, ā savoir les <<sept forces>>. L’âme, bulle crystalline inviolable, est irisée par les sept couleurs du prisme universel, qui correspondent aux sept rayons fondamentaux de toute construction dans l’univers. Nous les retrouvons dans nos sept chakras, les sept jours de la semaine, les sept notes de la gamme, etc. Il y a une alchimie ā opérer entre ces <<forces de l’air>>, ce qui souligne leur subtilité; les joindre aux <<rayons solaires>>, ce qui signale que les forces fondamentales doivent être dynamisées par le feu du désir pour amplifier leur puissance. Finalement, il faut les faire passer au travers du <<centre ondulant du vimana>>, il s’agit de la kundalini du Coeur, qui donnera un <<mouvement en zig-zag du vimana, comme un serpent>>. L’harmonie entre les forces de l’air dynamisées par celles du feu procure l’activation de la pulsation libératrice émanée du Coeur. <<Si on électrifie les trios acides de la partie nord-est du Vimana, en les soumettant aus sept types de rayons solaires, quand ont passé la force résultante dans le tube-miroir, toutes les activités se déroulant au sol seront projetées sur l’écran.>> Cette dernière citation fait intervenir une notion d’électricité. En effet, l’énergie dynamisante de base dans l’univers s’appelle Fohat*. Ce feu puissant possède un spectre d’action très large qui constitue l’électromagnétisme dans toutes les dimensions. Le New Age attribue l’énergie cosmique ā la seule force d’amour; ce terme si galvaudé est devenu une réduction face ā l’immense complexité qui régit les mondes et l’énergie universelle. En effet, l’amour n’est pas la seule dynamique, l’électromagnétisme est une alchimie des contraires où la violence peut avoir sa place. Les sept rayons, qui s’échelonnent dans la matière entre l’infrarouge et l’ultraviolet, en témoignent puisque le premier est une pure force d’attraction, de chaleur, alors que le dernier est un rayon brisant et perçant, pouvant être très douloureux. Lorsque le texte parle d’électricité et d’acides, la pensée analogique nous reporte au système nerveux de notre organisme. En effet, la trame du système nerveux est calquée sur le corps éthérique. C’est par lui que les influx cosmiques, de nature électrique, informent nos structures subtiles. Ainsi s’établit la communication entre le cosmos et l’âme, et peu ā peu, notre structure éthérique vient ā changer. Les acides dont parlent les écrits sur les vimanas sont nos hormones, qui doivent passer sous l’obédience des sept rayons de l’âme, pour pouvoir alimenter le corps éthérique des fluides issus de la mère divine. Ainsi, <<toutes les activités se déroulant au sol seront projetées sur l’écran>> et nous connaîtrons les détails du programme de notre destinée céleste. De nouvelles hormones de croissance Chacun des sept chakras est relié ā une glande qui génère des hormones accomplissant un travail spécifique dans l’organisme. Les hormones sont les relais des rayonnements de l’Esprit, dans le corps humain. Les glandes qui les sécrètent sont comme des joyaux, les pierres précieuses des palais de lumière, des cites celestas dérites dans les texte mythologiques, qui ont pour function de spécialiser les influx cosmiques pour les redistribuer en vitalité dans l’organisme. Relevons que le processus de libération entraîne des répercussions physiologiques sur l’activité hormonale. La fonction spirituelle de nos glandes est méconnue des anatomistes matérialistes, qui les prennent pour des sortes de cristaux. En réalité, une glande est un joyau éthérique cristallin; sur un cadaver, elle apparaît figée, mais dans un organisme vivant, sa forme est fluide, changeant selon les rayonnements qu’elle doit gérer et muer en fluides hormonaux. Une glande serait plutôt ā l’état gazeux, tant sa subtilité est grande. L’hypophyse, notamment, est liée au chakra coronal. Elle spécialise les rayonnements solaires et génère des hormones en relation avec le soleil. La mélantonine, par exemple, est sécrétée par réaction, pour protéger le corps des brûlures que peut causer l’astre flamboyant. Orienté au service du Coeur, elle peut recevoir des rayonnements cosmiques de dimensions solaires plus élevées. Ētant un centre énergétique<<transformateur>>,elle redistribute l’énergie de la conscience divine par les hormones dans l’ensemble du système éthérico-physique ā travers le système nerveux. Aussi le corps entier est-il irrigué par les flux cosmiques de la conscience, et il est sain. Le désir sincère du Coeur éveille également des processus cosmiques relayés par le thymus. Cette glande, loge derrière le sternum, l’os <<rayonnant>>, produit des hormones de croissance. Au plan éthérique, elle est directement reliée aux flux nourriciers de la Mère divine. Le thymus est actif entre la naissance et l’âge de sept ans; il oeuvre ā l’édification du corps éthérique. Une fois cette tâche accomplie, cette glande se désactive pour ne plus se réanimer, excepté dans deux cas. Le premier est celui de la femme enceinte. La future mère génère ā nouveau des hormones de croissance pour construire le corps de son enfant. Dès son enfance, l’enfant continue d’absorber les rayonnements de la croissance par le thymus de sa mère. C’est la raison pour laquelle les seins sont situés de part et d’autre du sternum qui déploie le rayonnement du thymus de la mère pour le transmettre ā l’enfant ā travers le lait; support matériel de la nourriture éthérique. La jeune mère est ainsi l’intermédiaire entre la Mère divine universelle et l’enfant. La glande demeure active chez la femme jusqu’ā la fin de l’allaitement. Notre croissance s’arrête avec notre corps physique. Il s’agit ensuite de <<profiter>> au maximum de ce corps avant qu’il ne se dégrade. Mais en étant conscients de l’état précaire et de la préciosité de la vie, nous réalisons peut-être que notre croissance peut continuer sur d’autres plans. Seules les forces de conscience permettent la croissance de l’être intérieur divin. Celui qui se pose les questions fondamentales sur son identité véritable, son origine cosmique et le sens de sa destinée fait un pas dans la dimension de la conscience. Dans un deuxième temps, le désir ardent de se reconnecter ā la source pure de la vie, associé ā une compréhension de plus en plus Claire des lois de l’univers font germer son Coeur: la fécondation de l’Esprit peut avoir lieu. L’enfant divin intérieur commence ā croître et, grâce ā la magie divine, le thymus se réanime pour produire des hormones de croissance! Mais ces dernières sont d’une nature éminamment plus subtile que celles qui font grandir le corps des enfants, puisqu’elles doivent construire non pas un corps matériel mais un corps spirituel, le vêtement glorieux du conducteur de notre char d’immortalité. Ce processus de remise en activité du thymus ne s’opère que chez le chercheur d’Absolu qui construit son corps de gloire. En tant qu’enfants des dieux, nous nous abreuvons au sein de la Mère divine, qui nous déverse ses courants de croissance spirituelle. C’est pourquoi la Tao dit: <<Le sage est comme l’enfant au sein>>. Des perceptions et des organes jusque-lā inconnus peuvent se réactiver si nous avons foi dans le fait que l’univers veut ce qu’il y a de mieux pour ses enfants. En nous dégageant des illusions du monde des formes et en tournant notre esprit vers le coeur de l’univers, source de toute vie , nous donnons aux dieux la possibilité d’achever le tavail ā travers nous et de reprogrammer notre système merkavique assoupi. C’est le sens de la parole <<Dieu n’abandonne pas l’oeuvre de ses mains>>. Quel est le processus qui nous permettra de réactiver notre Merkavah individuelle? L’Initiation véritable, accomplie au sein d’un groupe, aurait comme effet de faire jaillir ā nouveau les sept rayons de l’Esprit de nos trois moteurs énergétiques internes, puis d’allumer les douze foyers de la tête (ce qui dans l’imagerie religieuse, est représenté par l’auréole autour de la tête du Christ et des saints). Du point de vue de notre prototype éthérique, une fois que les ailes du haut (notre force spirituelle) auront repris leur function d’orientation du vaisseau, la fleur du Coeur pourra germer et se hisser vers les douze constellations. Il s’agit de l’union cosmique du Coeur et de la tête, les noces alchimiques entre l’âme et l’Esprit, qui engendrent un enfant-dieu dans toute sa puissance. Alors réapparaîtra autour de nous, sur les <<parois>> de notre sphère merkavique, notre ciel intérieur qui montre la carte de notre destinée divine. (Reprocuduction des pages 117 ā 122, tiré du livre : Merkavah,Le Véhicule uploads/Geographie/ merkavah.pdf
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- Publié le Oct 13, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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