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Copyright Dunod, Paris, 2011 9782100564408 Visitez notre site Web : www.dunod.com Consultez le site Web de cet ouvrage Le code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes des paragraphes 2 et 3 de l'article L122-5, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, sous réserve du nom de l'auteur et de la source, que « les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information », toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans consentement de l'auteur ou de ses ayants droit, est illicite (art; L122-4). Toute représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, notamment par téléchargement ou sortie imprimante, constituera donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle. L’ Remerciements auteur tient à remercier les personnes qui ont pris le temps de témoigner de leur quotidien. Par leur expérience et leur recul, elles lui ont permis d’affiner et de préciser son analyse. Elles viennent : Du monde de l’entreprise : Muriel Amar – Ariel Barugel – Christian Basse – Jean-Luc Brussier – Pierre Burelle – Xavier Cagneau – Bénédicte Calmon – Anne-Marie Bellis – Régine Bop – Corinne Brenne – Pierre Bruandet – Isabelle Chavé – Pascal Collardey – Pierre Coppey – Daniel Croquette – Luc Dangeard – Marie-Pierre Delannoy – Caroline Dépalle – Joël Didiot – Leslie Dehant – Olivier Dumarty – Sylvie Brel – Hillary Ellis – Geneviève Eyssartier – Daniel Freymuth – Benoît Genuini – Xavier Grenet – Thierry Groussin – Sylvie Hériard Dubreuil – Sophie Lacroix – Yves Lacqueille – Béatrice de Lagrevol – Xavier Laigneau – Frédéric Lamoureux – Jean-François Le Page – Jean-Michel Lestrade – Arnaud de Leyssac – Francine Louvel – Pierre Loustric – Marie-Hélène Marot – Myriam Maestroni – Loïc Mahé – Patricia Marchesi – Jean-Pierre Martine – Isabelle Martens – Alain Mauriès – Véronique Ménard – José Milano – Corinne Moreau – Maurice Neyme – Pascal Noygirat – Tomoko Numoi – Marie-Christine Parent – Danièle Petterson – Mathieu Peycéré – Alain Rohaud – Catherine de Sineti – Jean- Luc Brussier – Patrice Fonlladosa – Augustin de Champeaux – Félix Roche – Michael Salone – Frédérique Setruk – Véronique Simon – Catherine de Sinety – Maya Tesson – Pierre Eric Texier – Colombe Thiélin – Bruno Tilliette – Jean-Pascal Valemblois – Annick Verdier – France Villette – Patricia Viviani – Pierre Viénot Du monde du coaching et du conseil Ingrid Bianchi-Lieutaud – Jean Brunetti – Pierre Bismuth – Françoise Brunet – Theresa Fallot – Marie-France Frady – Catherine Franc – Thierry Gérard – Patrice Hagelauer – Dominique Jaillon – Stéphane Rozès Du monde de l’éducation et de l’enseignement Tamym Abdessemed – Françoise Caumet – Nicolas Cheimanoff – Lucile Dromer-North – Françoise Dany – Bernard Galembeau – Isabelle Liotta – Dimitri Magot – Nadia Marik – Alexia de Monterno – Jean-Baptiste Nicolas – Françoise Rey – Claude Sauvageot – Michel Berry De mondes variés Amiral François Dupont – Pierre Lamblin – Marie-Christine Navatoni – Ana Stellinger – Michel Olivier N.B. : L’auteur a souhaité préserver l’anonymat de quelques-uns, qui ont accepté de lui faire part d’une réalité parfois difficile, pour ne pas leur porter préjudice et ne pas nuire à leur entreprise. L’auteur tient également à remercier les personnes qui, par leur relecture riche et attentive, ont contribué à cet ouvrage : Renaud Belleville – John Bradley – Carmen Graells – Nathalie Guégan – Marie-Hélène Marot – Christian Ogier – Charles Ogier – Bertrand Wiedemann-Goiran. L’ Préface idée de « prendre des risques pour réussir » m’a spontanément donné envie de réfléchir à l’ensemble des peurs qui se dressent entre notre envie d’agir, de créer, d’imaginer, d’inventer, de construire ou encore de rêver et notre réalité envahie de doutes multiples, d’incertitudes plus ou moins conscientes, de freins plus ou moins avouables ou encore d’angoisses à effet insomniaques qui constituent autant de freins à l’expression et à la réalisation de ces envies. En chacun de nous, employés, managers, cadres, étudiants coexistent ces forces qui en s’opposant rendent bien difficile le fait d’entreprendre et d’aller de l’avant. Au final, nous sommes tous confrontés tôt ou tard, plus ou moins souvent et intensément, à cette immense contradiction caractéristique de l’espèce humaine que constitue le fait de vouloir s’améliorer et réussir en redoutant de ne pas y parvenir ou de s’attirer des inimitiés. Finalement, n’est-ce pas là du courage d’être soi – la forme ultime d’« authentic leadership » – dont nous parlons ? En d’autres termes, de la façon d’affronter lucidement et volontairement nos limites pour mieux les repousser. Un enjeu qui devient majeur au sein d’entreprises qui ne sont plus tout à fait ce qu’elles ont été et pas encore certaines de ce qu’elles deviendront… En effet, la décennie que nous venons de vivre a été porteuse de profonds bouleversements. Une partie du monde est désormais portée par des économies en croissance et des capitaux excédentaires ; l’autre se caractérise par la conjugaison d’essoufflement et d’endettement. Dans ce contexte, toute la difficulté de nos entreprises consiste à créer des environnements caractérisés par un besoin de leaders capables de transformer offres, produits, approches, organisations. Bref de se doter de forces vives pour réinventer, imaginer, créer, innover… Or sans courage, sans volonté de prendre des risques, sans reconnaître un vrai droit à l’erreur, sans confiance et sans pensée positive, il paraît bien peu imaginable de voir émerger ce genre d’environnements vecteurs de développement durable. Un environnement durable est en effet celui qui permet de faire la synthèse entre les quatre dimensions essentielles à une entreprise qui veut s’inscrire dans la double logique de la rentabilité et du sens et donc de la durée. Les deux premières dimensions sont sans aucun doute les mieux connues et les mieux maîtrisées, puisque toute entreprise est en priorité interpellée sur celles-ci. Je veux bien sûr parler de la qualité de la performance financière et de la qualité des process, toutes deux issues de la logique anglo- saxonne… et devenues conditions nécessaires mais plus suffisantes. La troisième dimension relève du monde de l’intangible et s’articule autour des valeurs et de la culture. Mais, aujourd’hui, à ces trois logiques doit venir s’additionner une quatrième : le sens, la mission… En quoi le monde serait différent si l’entreprise pour laquelle je travaille n’existait pas ? À défaut de trouver de vraies bonnes réponses à ces questions au-delà de celles qu’appellent les autres dimensions, l’avenir semble compromis. Or les réponses à ces questions ne proviennent plus de notre seule raison mais bien de nos émotions… C’est dans ces dernières que se trouveront les ressorts de l’innovation, du changement, de la prise de risque. Ce domaine, encore assez éloigné des préoccupations quotidiennes de l’entreprise, est celui que nous ouvre Myriam Ogier. Consciente de l’effort à fournir de la part d’un manager pour devenir un manager leader, elle s’est interrogée sur les moteurs qui pourraient l’y aider. Elle s’est appuyée sur son expérience de coach, pour capturer dans la vraie vie des vécus, des histoires, des expériences, des exemples permettant de passer de l’abstrait à la pratique, du cas particulier à l’élaboration de principes de base ; la complétant, quand nécessaire, en interrogeant d’autres gens de terrain. En cela, son ouvrage constitue une invitation pour chaque homme et femme à la tête d’une équipe, d’une entreprise, d’un projet, à réfléchir et… en tout cas, je l’espère, à oser et à agir. Myriam Maestroni Directrice générale du groupe Primagaz Janvier 2011 J’ Introduction ai voulu écrire ce livre pour réfléchir à notre manière de travailler pour mieux réussir dans un monde qui change. L’entreprise doit s’adapter. Les grands groupes deviennent de plus en plus internationaux avec les chocs culturels que cela implique. Les PME vivent les changements par capillarité ou du fait de l’émergence de nouveaux concurrents. L’explosion des échanges d’informations, de biens et de services, remet en cause la manière de gérer l’entreprise et ses salariés. Dans ce contexte, il me paraît important de donner des repères forts, notamment au niveau des valeurs, de sensibiliser les salariés et leurs managers à l’impact de leurs comportements, d’interroger le passé pour comprendre le présent, d’essayer de prévoir le futur. Il me semble nécessaire de commencer par analyser l’héritage de notre culture, de notre histoire, de notre éducation et ses répercussions sur l’entreprise ; afin d’identifier nos atouts et nos faiblesses. Des éléments sont alors apparus comme des freins particulièrement forts dans nos efforts d’adaptation à un monde nouveau, où l’innovation est capitale pour résister à la concurrence. Il s’agit de notre peur du risque qui va de pair avec notre peur de l’échec ; les deux étant en lien direct avec notre éducation. Je me suis donc attachée à démontrer que le risque était intrinsèque à la vie et que les échecs pouvaient aussi être bénéfiques, tant dans un parcours professionnel et personnel que dans la vie d’une entreprise. Il incombe aux uploads/Geographie/ prendre-des-risques-pour-r-ussir-1649173914.pdf

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