Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Traité théorique et pr

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Traité théorique et pratique de l'accompagnement du plain-chant (Nouvelle édition) / par Louis Niedermeyer,... et Joseph [...] Niedermeyer, Louis (1802-1861). Auteur du texte. Traité théorique et pratique de l'accompagnement du plain-chant (Nouvelle édition) / par Louis Niedermeyer,... et Joseph d'Ortigue,.... 1876. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus ou dans le cadre d’une publication académique ou scientifique est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source des contenus telle que précisée ci-après : « Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France » ou « Source gallica.bnf.fr / BnF ». - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service ou toute autre réutilisation des contenus générant directement des revenus : publication vendue (à l’exception des ouvrages académiques ou scientifiques), une exposition, une production audiovisuelle, un service ou un produit payant, un support à vocation promotionnelle etc. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisation.commerciale@bnf.fr. TRAITE THÉORIQUE ET PRATIQUE DE L'ACCOMPAGNEMENT DU PLAIN-CHANT Droits de traduction et de reproduction réserves pour tous pays. TRAITÉ THÉORIQUE ET PRATIQUE SE L'ACCOMPAGNEMENT DU PLAIN-CHANT PAR LOUIS NIEDERMEYER SOIGNBV9IJIENT REVUE ET COMPRENANT 1° Les divers modes du chant des Psaumes et des Cantiques; ceux du Gloria Patri pour llntrolt; l'accompagnementdes formules des huit modes emprun- tées à Guido d'Arezzo, etc., harmoniséspar L. NIEDERMEYER. 2° Des morceauxde plain-chant des huit modes, avec exemplesde transposition, harmonisésd'aprèsles principesde ceTraité d'acoompagnement, parM.Eugène GIGOUT,Professeur à l'École de musiquereligieuse,Organiste du grandorgue de Saint-Augustin. Nonnulli novelloe scholoa discipuli... melodias hoquetis intersccant discantibus lubricant, triplis etmotetisyulgaribus nonnunquamiucul- cant, adeo ut interdum Antiphonarii*et Gradcalis fundamenta des- piciant, ignorent super quo oediûcant, tonos nesciant,quos non discer- nunt, imo eonfundunt. [ExtrauaQ.commun. LlB. III.) Quelques disciples de la nouvelle école coupent les mélodies par des hoquets, les effémilient par des dêehants, les entremêlent parfois de contrepoints triples et do thèmesvulgaires;ondiraitqu'ilssefont un jeu des principes fondamentaux de I'Axiiproxaibb et du Ghaduel, qu'ils ignorent sur quel fond ils bâtissent, qu'ils ne connaissentpis les modes, qu'ils ne savent pas ce qui les distingue les uns des autres,ou plutôt qu'ils les confondent. PRIX NET : 7 FRANCS PARIS AU MÉNESTREL, 2 BIS, RUE VIVIENNE HEUGEL & Cie ÉDITEURS DE LA MAITRISE ET DES SOLFÈGESET MÉTHODES DU CONSERVATOIRE. IMPRIMERIE CENTRALE DES CHEMINS DE FER. — A. CHAH EX C», RUE BERGÈRE, 20, A PARIS. — 462dj. TABLE DES MATIERES. Pages Préface 7 TRAITÉ DE L'ACCOMPAGNEMENTDU PLAIN-CHANT; notions préliminair I. Formation et constitutiondu système ecclésiastique(2 tableaux) es : 21 II. Tonalité et modalité 32 III. Diverses espèces de modes 32 IV. Caractères des divers modes 33 V. Psalmodie 33 CHAPITRE I. Règles générales de l'accompagnementdu Plain-Chant. 35 — II. Des 1er et 2e modes,et du 1ermodemixte. (Exemples.). 42 — III. Des3eet 4emodes,etdeleurmode mixte. (Exemples.). 55 Observations sur les quatre premiers modes . . . 62 — IV. Des 5e et 6e modes. (Exemples) 68 — V. Des 7e et 8e modes. (Exemples.) 76 Observations sur les quatre derniers modes . . . 84 — VI. De la transposition des modes 89 — VII. De l'accompagnementde la Psalmodie 93 PARTIE PRATIQUE. I. Les divers modes du chant des Psaumes et des Cantiques 1 II. Les divers modes du Gloria Patri pour l'Introït 8 III. Accompagnement des Formules des huit modes empruntées à GUIDO D'AREZZO 14 IV. Formules du Te Deum 17 V. Morceaux de plain-chant des huit modes harmonisés par EUGÈNE GIGOUT 19 VI. Exemples concernant la transposition des modes. ..... 31 PRÉFACE DE L'UN DES DEUX AUTEURS DE CE TRAITÉ. L'idée de ce Traité ne m'appartient pas. Ceux qui ont lu mon Dictionnaire de plain-chant savent l'opinion que j'ai professée pendant longtemps relativement à l'harmonie appliquée au chant grégorien. Je pensais alors que le plain-chant était un système essentiellement mélodique ; que l'harmonie, étant issue d'éléments qui lui étaient étrangers et n'étant venue que plusieurs siècles après, ne pouvait s'associer à une forme de chant pour laquelle elle n'était pas faite ; qu'enconséquence, appliquerrétroactivementl'harmonie au plain-chant, c'était non-seulement accoupler deux choses disparates, mais les détruire l'une par l'autre, puisque l'une et l'autre reposent sur deux ordres de faits musicauxabsolumentdifférents, n'ayant ni la même origine ni la même destination. Je faisais seulement une exception en faveur de quelques faux-bourdons adoptés par l'Église dans certaines solennités. Je n'ai nulle envie, comme on le voit, de dissimuler mes anciennes opinions, qu'on trouvera longuementdé- veloppées en plusieurs endroits de mon Dictionnaire, notamment aux articles Mélodie et Harmonie ; je les livre au jugement des lecteurs avec autant de fran- chise que je les énonçais naguère; bien plus, je les maintiens en un sens qui va être expliqué, et je dis qu'en présence des tentatives faites sous nos yeux, mon objection contre l'harmonie ou l'accompagnement du plain-chant subsiste encore aujourd'hui dans toute sa force. J'ai toujours évité de mettre sur la même ligne ceux qui, par respect pour la gravité du chant ecclésiastique, ne se sont pas écartés, dans leur harmonie et leur accompagnement, de quelques accords simples et con- sonnants, et ceux qui n'ont pas craint de profaner les cantilènes sacrées par l'emploi des dissonances et de tous les artifices de l'art mondain. Ce n'est pas néan- moins que les uns et les autres ne fussent pleinement dans les eaux de la tonalité moderne, ceux-là par l'élé- ment exclusivement consonnant, ceux-ci par l'élément à la fois consonnant et dissonant ; ils ne pouvaient donc que me faire repousser toute harmonie, puisque, si ces derniers violaient ouvertement les lois de la tonalité, les premiers en détruisaient au moins la modalité par l'impossibilité de pouvoir discerner, dans leur système, les modes entre eux. Et je me disais que tous ces essais avaient été condamnés d'avance par la bulle DOCTA SANCTORUM de Jean XXII, et qu'il n'en était aucun qui ne fût enveloppé dans la réprobation exprimée par ces paroles : Adeo ut interdum Antipho- narii et Gradualis fandamenta despiciant, ignorent super quo cedificant, tonos tiesciant, quos non secer- nunt, imo confundunt. Voilà pour le présent. Pour le passé, on m'opposait en premier lieu la grande école d'harmonie du XVIe siècle, cette école romaine, groupe lumineux au centre duquel apparaît Palestrina entouré de ses brillants satellites, Orlando Lasso, Cl. Merulo, Nanini, les deux Animuccia, les deux Anerio, les deux Gabrielli, etc. C'est là, me disait-on, c'est dans Palestrina qu'il faut chercher le secret de l'harmonie applicable au plain-chant, parce que les compositions de cette école sont écrites sur les modes ecclésiastiques. Écrire sur les modes ecclésiastiques n'est pas précisément écrire suivant ces mêmes modes. Ce qu'il y a de vrai, c'est que les maîtres dont on parie ont pris le plus souvent un ou plusieurs thèmes de plain-chant qu'ils développaient selon leur libre inspiration, et que le choix de tel ou tel sujet n'impliquait pour eux aucune obligation de se renfermer dans les limites du mode auquel ce motif était emprunté. Sans parler de quelques dissonances qu'on y remarque, rarement il est vrai, on peut dire que leurs compositions, par les nombreuses altérations de la tonalité qui s'y rencontrent, pressentent une tonalité nouvelle à la veille d'éclore. On y a presque partout le sentiment du mode majeur ou du mode mineur, et, uploads/Geographie/ traite-theorique-et-pratique-de-niedermeyer-louis-bpt6k1185620.pdf

  • 20
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager