Prévenir le cancer de la prostate ou freiner son évolution 71 études spécifique

Prévenir le cancer de la prostate ou freiner son évolution 71 études spécifiques tels le soja, l’oignon, l’ail, les brocolis, les choux de Bruxelles… Il apparaît donc de plus en plus clairement que les fac­ teurs environnementaux peuvent peser lourdement sur le devenir d’un cancer. Avant que toute la lumière soit faite sur leur potentiel réel, se pose bien entendu la question de savoir comment arriver à modifier durablement et de façon aussi radicale son mode de vie… Il est certain que les hom­ mes bien informés auront plus de chances de prévenir ou de guérir. 28. Des suppléments diététiques ont-ils aussi démontré un effet protecteur ? L’élixir de grenade et l’alcalinisation de l’organisme pour lutter contre le cancer ? Nous avons des résultats d’essais dont ceux de l’étude Suvimax qui le confirment et aussi des études in vitro et in vivo démontrant l’efficacité de suppléments nutritionnels. Avec vitamines et oligo-éléments, des résultats contra­ dictoires : L’étude Suvimax, a par exemple observé qu’un apport quotidien en vitamine C (120 mg), E (30 mg), bêta-caro­ tène (6 mg) et sélénium (100 microgrammes), associé à 20 mg de zinc, divisait par deux le risque de survenue d’une tumeur prostatique. Il faut rester prudent avec ce type de résultat, car il ne s’agit pas de croire que plus on prend ces compléments, plus se réduisent les risques. L’étude de l’European Food Safety Authority, SELECT a démontré que l’apport de vitamine E hautement dosées et d’oligo-éléments n’apportaient rien de plus, mais Cancer de le prostate 72 pouvait même être nocive en développant le cancer au lieu de le freiner4. Ces résultats décevants montrent que la prévention des maladies chroniques est un processus complexe qui ne peut être accompli simplement en consommant quelques com­ primés de vitamines. L’approche préventive requiert plutôt une alimentation diversifiée : – riche en végétaux comme les fruits et légumes et les grains entiers remplis de vitamines, minéraux, oligo-élé­ ments et de bons sucres ; – faible en acides gras saturés des viandes et produits laiti­ ers ; – riche en acides gras poly-insaturés oméga-3 (ce sont les “AG Essentiels” que l’organisme ne peut fabriquer mais doit trouver à l’extérieur), présents dans poissons et fruits de mer, graines de lin, noix, sésame… – riche en protéines ne provenant pas seulement des vian­ des rouges (à consommer avec modération) mais égale­ ment des poissons, volailles et légumineuses qui contien­ nent – ne les oublions pas –, les phytohormones à doses homéopathiques. N’oublions pas que le cancer est un voleur, qui prend à l’organisme pour se développer les bons nutriments et laisse les déchets ou les mauvaises molécules. Tous les complé­ ments ne valent pas biologiquement les nutriments naturels présents dans les aliments. La biodisponibilité des complé­ ments chez un sujet en bon état nutritionnel est globalement 4. Lippman SM, Klein EA, Goodman PJ, et al., Effect of Selenium and Vitamin E on Risk of Prostate Cancer and Other Cancers. JAMA, Published online December 9, 2008. Prévenir le cancer de la prostate ou freiner son évolution 73 égale à la moitié de la dose apportée, les résidus partant dans les urines ou la sueur, la bile et les matières. Avec les cellules cancéreuses, le risque est de contribuer au développement de celles-ci, avides de nutriments pour se multiplier. En simplifiant, on peut dire que les cellules cancéreuses vous voleront les bons nutriments de l’alimen­ tation présents dans les aliments et laisseront au reste de l’organisme les compléments dont la moitié est gaspillée dans les déchets. L’élixir de grenade : excellent anti-oxydant, mais attention aux arnaques ! Attention, l’Elixir n’est pas un jus de fruit tel qu’on peut les trouver au supermarché. La SGF (association de protec­ tion de l’industrie du jus de fruit) met en garde sur le fait que les jus de grenade sont souvent mélangés avec d’autres jus de fruit. Comme bien d’autres jus soi-disant Bio touchés eux aussi par la contrefaçon ! De plus, pour la plupart des jus riches en anti-oxydants non fermentés, la teneur en polyphé­ nols décroît dans le temps de manière significative. De nom­ breuses études, tests et vérifications des produits « grenade » sur le marché ont été faites en Allemagne et l’on a constaté5 d’énormes différences dans la teneur polyphénolique de ces produits, teneur qui variait de 800/l à 4300 mg/litre. Une intéressante étude étasunienne6 confirme encore que souvent seul un nombre limité de suppléments de grenade 5. Fischer-Zorn M., Ara V. (2007) Granatapfelsaft – Chemis­ cheZusammensetzung und mögliche Verfälschungen, Flüssiges Obst 08 : 386-393 ; Säfte aus Konzentrat (897 bis4265 mg/l Polyphenole, Median 2288 mg/l nach Folin-Ciocalteu-Methode, Fischer-Zorn und Ara, 2007 ; Frisch/Direktsäften zwischen 904 bis 2067 mg/l (Median 1409 mg/l. 6. Pomegranate (Punica granatum) supplements : Authenti­ city, antioxidant and polyphenol composition ; S. Madrigal-Carballob, G. Rodriguezb, C.G. Kruegera, M. Dreherc, J.D. Reed. Cancer de le prostate 74 sont authentiques. Celle-ci a révélé que les étiquettes des produits étaient incompatibles avec la composition en polyphénols et la teneur en antioxydants des produits. Une majorité des échantillons contenait des quantités trop élevées et disproportionnées d’acide ellagique pour être une valeur naturelle, et peu ou pas tanins de grenade détectables. Alors, boire du jus de grenade oui, mais lequel ? C’est le docteur Ludwig Jacob en Allemagne qui a mis au point la fermentation du jus de grenade grâce à des micro- organismes probiotiques pour obtenir une forte concentra­ tion et biodisponibilité augmentée des polyphénols de ce fruit. L’un de nous a préfacé en 2009 son livre aux éditions Marco Pietteur Jus de Grenade fermenté – Un nouvel outil puissamment anti-inflammatoire, protecteur cardiovascu­ laire et anti-cancer, dans l’arsenal de la nutrithérapie. Nous conseillons la consommation de cet Elixir de grenade à fortes concentrations en polyphénols fermen­ tés et donc avec une biodisponibilité incomparable, chez les patients atteints de cancer prostatique ou ayant un taux élevé de PSA, sans biopsie réalisée préalablement ou qui la refusent. Nous avons ainsi pu observer une stabilisation des taux de PSA et même des régressions significatives chez des patients âgés ne relevant pas de traitements agressifs ou les refusant à juste titre. En Elixir de grenade, notre conseil est simple : 2 cuille­ rées de 10ml trois fois par jour pendant un ou deux mois pour stabiliser le taux de PSA, un mois de plus pour tenter de le réduire, puis entretien à raison d’une cuillerée 2 fois par jour au moins 15 jours par mois ou un jour sur deux. En gélules lyophilisées, la fermentation 100% est utile pour une meilleure biodisponibilité et bioactivité : Prévenir le cancer de la prostate ou freiner son évolution 75 l’équivalent de 10 ml d’Elixir étant 2 gélules de Grana­ cor (enrichi en sélénium, vitamine E, B1, B6, B9, B12 et D3 pour le système cardio-vasculaire) ou Granaprosan (2 gélules contiennent 500 mg de polyphénols), le conseil est de prendre 2 gélules trois fois par jour. Les 2 substances phyto-chimiques actives de l’Elixir de Grenade sont l’acide ellagique, acide phénolique pré­ sent aussi dans les framboises et dans le bois, comme dans les vins en particulier vieillis en fût de chêne. Le deuxième est la punicalagine (de punica qui signifie grenade) qui est le principe actif le plus important. C’est ensemble qu’ils sont les plus actifs ; c’est l’effet Totum ! En plus, les études montrent encore qu’il existe d’autres substances phytochimiques qui sont importantes pour un effet global actif. Un produit doit, par conséquent, posséder le spectre complet des composés naturels actifs. Attention à certaines gélules vendues sur le marché, car tout est également possible : des produits aux polyphénols polymérisés (séchage thermique), simple poudre de pépins de grenade sans effet thérapeutique, aux boîtes de gélules annonçant 40 % d’acide ellagique mais qui n’en contien­ nent que 1,28 % (produits en vente sur le marché français), quand ce n’est pas un acide ellagique simplement extrait d’un bois et rajouté en pondéral. Les études montrent qu’existent pour les extraits de gre­ nade, beaucoup de contrefaçons et arrivent à la conclusion qu’il est peu probable que les suppléments en acide ella­ gique et punicalagine apportent le même bénéfice qu’un supplément de grenade. Souvent des acides ellagiques de source moins chères comme de bois chinois (Rhus chinen­ Cancer de le prostate 76 sis) et d’écorces de châtaignier (chestnut bark) sont ajoutés comme adultérant7 aux extraits de grenade. Malheureusement, même les produits qui contiennent, par exemple, de simples enzymes alimentaires, sont parfois dénommés fermentés. Ecrire sur l’étiquette « fermenté » parce que le produit contient quelques ferments, n’est pas du tout la même chose qu’une fermentation bioactive des polyphénols de grenade comme ce que nous offre l’Elixir ou le Granaprosan. La fermentation vivante par micro- organismes probiotiques de M.L. Jacob a reçu un brevet européen Conseils de consommation de l’Elixir de grenade Il est important de savoir que protéines animales et poly­ phénols, tous deux en présence, induisent une réaction chimique défavorable aux polyphénols… et donc en rédui­ sent l’efficacité ! Il est donc conseillé de ne pas mélanger polyphénols de grenade et protéines animales uploads/Industriel/elixir-de-grenade-du-dr-jacobs.pdf

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