CHAPITRE 1 : INTRODUCTION AUX BD CHAPITRE 2 : BASE DE DONNEES RELATIONNELLES CH
CHAPITRE 1 : INTRODUCTION AUX BD CHAPITRE 2 : BASE DE DONNEES RELATIONNELLES CHAPITRE 3 : METHODOLOGIE DE CONSTRUTION DES BASES DES DONNEES CHAPITRE 4 : OBJECTIF GENERALE : CETTE ENSEIGNEMENT VISE à fournir sur la gestion de bases de données il est centrée sur la conception, implementation, manipulation des bases de données à l’aide du langage SQL. CHAPITRE 1 : INTRODUCTION AUX BD Définition Bases de données : c’est un ensemble structure et organise d’informations ayant un objectif commun et pouvant être stocke sur diffèrent support (papier, fichier informatique, SGBD) Données : c’est la représentation d’une information Types de données : définir la nature du codage les opérations utilises sur une donnée I- HISTORIQUE ET INTERET DES BD 1) APPROCHE TRADITIONNELLE - Approche par fichier - Approche par application Pour une application on définir : les entrées, les sorties, les fichiers, les supports physiques de langages, le responsable. 2) LES SYSTEMES DE FICHIERS ET LIMITES On peut utiliser les fichiers pour stocker un ensemble de données. Un fichier est une collection de fichier : une suite d’enregistrement contenant des données logiquement liées. Une fiche comporte un ou plusieurs renseignements sur un élément (objet, personnes). Un renseignement aussi appelé champ est une information indivisible. Considérons des données sauvegardées dans un tableau Excel Liant des produits à des fournisseurs. 1er limite) l’adresse est utilisée plusieurs entre services dans le mémé fichier - Chaque application doit gérer un ensemble de fichiers de données et les - Variation de format de fichier - Les mises en jours sont inévitable erreur Nous pouvons aussi ressentir les limites de fichiers suivant : - Redondances dans la définition de stockage - Manque de sécurité :si tous les utilisateurs peuvent accès aux fichiers, quelles garantir - Pas de contrôle de conférences :si plusieurs utilisatrices accèdent au fichier simultanement, des problèmes de corruption de données peuvent se produisent (lecture et écriture simultanée ou deux écritures similitude. 3) Intérêt d’une BD INTERET c’est de retrouver des données communes à une application dans le but : - Débiter les incohérences entrainerai une approche ou les données seront repartir dans diffèrent fichiers sans connexions entre eux - Offrir de langages de haut niveaux pour la définition et la manipulation des données - De partager les données entre plusieurs utilisateurs - De contrôler l’intégrité, la sécurité, la congédia des données - Assurer indépendance entre les données et les traitements II) SGBD : ARCHITECTURE FONTIONS, TYPOLOGIES Système de gestion de base de données : est d4UN logiciel spécialiser POUR la gestion de base de données. 1) ARCHITECTURE On distingue trois types architectures : - ARCHITECTURE CENTRALISEE : - ARCHITECTURE CLIENT- SERVEUR : Deux ordinateurs se répartissent les taches : - Gestion des données - Logique applicative - Présentation des résultats Application SGBD BD BD BD - Architecture trois-tiers : Serveurs de données Serveurs applications Un poste client CLIENT Navigateur Présentation Navigateur Présentation Serveur d’application Serveur web SGBD BD 2) * description A partir une représentation abstrait de données assure la destruction physique des données. Création : offre un langage introduction de données nouvelles dans la base, contrôle la validité d’une donnée. Mis à jour : assure la maintenance des données Extraction : permet l’interrogation interactive via le programme. Autre fonctions : - Optimisation de l’accès en terme de performance - Contrôle de l’intégrité et la cohérence ; contrôle individuel des données (type, valeur) - Contrôle des relations entre les données - Contrôle du partage des données (concurrence accès) - Contrôle de l’accès ; confidentialité - Résistant au panne : sauvergarde, point de remis - Facilite des accès de données : interface variée 3) TYPOLOGIE DES SGBD On distingue le modelé hiérarchique : -IMSDL1 système 2000 Le modèle réseau apparu dans les années 1970 : IDMS, SOCRATE Le modelé relationnel en 1980 : ORACLE (également objet et relationnelle), DB2, SYBASE, SQLSERVER Le modelé objet en 1990 : GENSTMO, OBJETSTORE. Devoir : énumérer et décrire le SGBD (langage, open source ou pas) Chapitre 2 : BASES DE DONNEES RELATIONNELLES INTRODUCTION Nous verrons ensemble le modèle relationnel très souvent utilise pour représenter et manipuler les données structures. Le modèle relationnel est à origine des bases des données relationnelles qui sont massivement utilisées et donc recoule le langage. Propose par EDGAR FRANCK CODD DBM en 1961 le modèle relationnelle à faire plusieurs travaux qui depuis le début des années ont débouché SUR des produits commerciaux : oracle, Access, SYBASE, MYSQL, DB2. Un modèle de donnée définit un mode de représentation de l’information selon 3 composants : - Des structures de données - Les contraintes qui permettent de spécifier qui doivent respecter une base de données - Les Operations pour manipuler les données en interrogation ou en mis à jour Les deux premiers composant (structures de données, contraints) relèvent du langage de définitions des données dans un SGBD.il est utilisé pour décrire le schéma dans une base de données. La troisième composante est la base du MLD donc la représentation le plus célèbre est le SQL. I- Elément constitutif du modèle relationnel 1) Concepts de libre A) Relation Une relation est une table avec ligne et colonnes. Dans une relation l’ordre des lignes n’a pas d’importance. b) attribut c’est une colonne d’une relation encore appelé champ. Un attribut à un nom dans une relation. Les noms attributs sont tous différents. Le schéma c’est l’ensemble des attributs d’une relation c) tuple C’est une ligne d’une relation, les tuples sont tous différents quand une relation ne peut contenir une même ligne : chaque ligne est donc unique. d) le degré d’une relation Il s’agit le nombre de ses colonnes(attributs) e) cardinalité d’une relation C’est le nombre de ses lignes f) domaine C’est l’ensemble des valeurs possibles pour un ou plusieurs attributs On distingue : - Les domaines prédéfinir : L’ensemble de chaine de caractère L’ensemble de nombre entier L’ensemble des booléen L’ensemble de dates - Les domaines définir : En extension c’est-à-dire en énumérant les valeurs En intention c’est-à-dire en spécifiant la formule que doit vérifier chaque valeur mois¿ {m|m∈entier m∈1≤m≤12} 2) L’importance de la clé Considérons le produit pomme, il est tout à fait possible que deux pommes distinctes exactement les mêmes caractéristiques : - Pomme vente de 1520 g avec id=3 - Pomme verte 150g avec ID ID MASSE COULEUR 3 150G VERT 4 1506G VERT a) clé primaire, clé étrangère La clé principale ou primaire d’une relation est l’attribut permettant de designer de façon unique. Une clé étrangère par contre est d’abord une clé qui fait référence à une clé appartement à une autre table à travers la relation qui les lient. C’est un attribut qui est clé primaire d’une relation. Il arrive parfois que la valeur de certains attributs pour un tuple donne n’existe pas. Il est donc possible de laisser une case blanche dans la table. Pour représenter une case vide on note sa valeur comme étant lu. Cependant en ce qui concerne les attributs d’une clé. Il est nécessaire que ceux-ci ne soit jamais nul. 3) LES ATTRIBUTS qui sont calculées ne doit pas pris en compte. La redondance source incohérence il faut la minimiser. On ne stock dans la base que l’essentielle et non des résultats d’être susceptible d’être calcule.la mise sous forme normale des relations ou normalisation, vise à supprimer toute ses anomalies et repose sous la notion de dépendances fonctionnel 3) La notion dépendance fonctionnelle Si la même information est répète plusieurs fois : - Elle devra être ressaisir plusieurs fois ce qui multiplie risque erreur de frappe - Lorsqu’ ‘elle devra mise à jours les modifications devront intervenir à plusieurs endroits d’où des risques de mis à jours Partille Pour recouvrir les attributs on utilise la dépendance fonctionnelle Exemple : Connaissant le numéro du fournisseur on connait entre autre son mail On dit qu’il dépendance fonctionnel entre un attribut a1 et un attribut a2, s’il connaissant une valeur de a1 on ne peut lui associer une seule valeur de a2 III) NORMALISATION DANS les domaines de bases de données le fait d’enlever les redondances s’appelé la normalisation. Les formes normales sont en quelque sorte les niveaux de qualité de modelé relationnel qui définissent les règles que celui-ci doit respecter. Elles permettent de vérifier la robustesse de la conception de modelé En évitant la redondance des données et les problèmes de cohérences et de mis en jours qui en décollé 1) 1er FORME NORMALE Pour être en 1er FN il que chaque attribut soit atomique. En d’autre terme aucun attribut ne doit être mutltivaleurs (liste de valeurs) ou compose (s’il on décompte on donne des informations supplémentaire) info multi values Exemple : info décomposable Id Fr nom tel mail 4 Mr jean fotso 672264025 682335660 jeanfotso@gmail.com . 2) 2eme forme normale Ne concerne que les tables avec une clé primaire composite. Pour être en 2 FN il faut être en 1 FN et en plus respecter la règle suivante : - Aucun attribut ne faisant pas partie de uploads/Ingenierie_Lourd/ base-de-donnees-et-sql.pdf
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- Publié le Apv 16, 2021
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