Analyse Clément JOUAN - MV1 Extrait de film : « L’enfance d’Ivan » L’extrait pr
Analyse Clément JOUAN - MV1 Extrait de film : « L’enfance d’Ivan » L’extrait présenté est en noir et blanc montrant les russes à Berlin après leur victoire à la Seconde Guerre Mondiale. Le son est une voie diégétique mais avec peu de bruitage. Les musiques sont présents à des moments clés du récit que je vais vous le montrer. L’extrait est monté en 4 grandes parties : la victoire, la capitulation, prise de conscience des dégâts de la guerre et se reconstruire. Le début commence par une image noire puis vient ensuite une lumière provoquée par le jet en l’air d’un soldat russe et on peut en déduire que les ténèbres font place à la liberté, la lumière. Plan rapide au début, musique joyeuse pour fêter la victoire. Après les danses des russes, plusieurs plans fixe du reichstag et de l’intérieur sont montrés avec personne sur les images dans le but de montrer que le 3eme Reich nazi n’existe plus et que ses acolytes sont morts (Goebbels). Le montage montre après la fête des russes : ruine de berlin et de l’Allemagne, suicide du gouvernement, capitulation, se rendre, puis décompte de la guerre. Le début fait journalistique donc sans sentiment et à partir du décompte des morts grâce aux dossiers c’est plus un film. Un moment il y a un plan en plongé avec les russes aux 2nd plan et la famille Goebbels en 1er plan et les 2 sont sur la même image dans le but de faire comprendre que c’est les russes qui ont vaincu les nazis (perdant en bas de l’images, gagnant en haut de l’image, un peu comme une affiche). Un moment donné il y a un traveling vertical au moment où ils soulèvent les dossiers des morts de l’étage inférieur à celle d’en haut jusqu’à la croix gammée pour faire comprendre que ces crimes viennent des nazis. Un moment, le soldat russe parle tout seul, à quelqu’un qu’il connait qui est mort, face à sa fenêtre et malgré la carrure qu’il veut qu’on voit de lui, il est traumatisé psychologiquement par la guerre et dégouté des morts innocents comme le démontre son petit monologue Les voix sont diégétiques et la voix du russe lors du plan traveling montre une certaine lassitude face aux dossiers de morts d’ailleurs on peut déduire que le traveling du soldat russe quand les autres soldats prononcent « exécuté » veulent nous fait comprendre que le décompte n’en finirait jamais tellement les morts sont nombreux. L’enchainement du plan du soldat qui découvre le dossier tombé du tas de dossier avec la photo du garçon et écrit « exécuté » le soldat pense qu’il est mort (car tout les dossiers avant étaient des morts) et qu’il se soit fait guillotiné d’où la tansition de la guillotine au garçon. Alors qu’en fait non. Le plan du garçon qui tourne sur lui-même mais avec que la tête de montré après le plan de la guillotine fait pensé qui l’est guillotiné et ça fait en quelque sorte un raccord de plan. Un moment, le soldat russe parle tout seul, à quelqu’un qu’il connait qui est mort, face à sa fenêtre et malgré la carrure qu’il veut qu’on voit de lui, il est traumatisé psychologiquement par la guerre et dégouté des morts innocents comme le démontre son petit monologue La musique devient plus stridant quand on sot le dossier du petit garçon et jusqu’à la salle des tortures et montre le stress que devait avoir les soldats quand ils découvraient les crimes. Un moment donné dans la prison, il y a un plan poitrine contre plongé avec devant le russe qui prend tout l’écran qui fait le bonhomme du barbelé et nous indique qu’ils ont vaincu les oppresseurs. Mais dans la pièce des tortures, les cordes de pendaisons sont en contre plongé et lui au coin du cadre visage inquiet retirant le chapeau s’essuyant le front, et le réalisateur veut nous faire comprendre qu’il a envie de fuir et le plan suivant montre la guillotine qui sort de l’obscurité comme pour dire qu’il vient des ténèbres. La lumière est plus sombre dans le bâtiment et les ombres font plus peur alors que sur la plage les ombres sont quasi inexistant et la lumière rend joli le visage du garcon et de la dame. Les enfants s’en vont et jouent au loup dans le but de faire revivre ses enfants qui ont connu les jeunesses hitlériennes. Plan demi ensemble du garçon sur la plage pour fait pensée qu’il est perdu à côté de l’arbre à cause de la guerre, et fait donc penser aux orphelins. Musique rigolote avec la fille à la fin dans le but de montrer que la vie synonyme d’amusement et non de mort. Et l’extrait se termine sur un traveling avant jusqu’à que l’arbre recouvre l’image et l’obscurcit. uploads/Ingenierie_Lourd/ basket.pdf
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- Publié le Mar 28, 2021
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