La chaine logistique secteur du bâtiment et des travaux publics Licence profess

La chaine logistique secteur du bâtiment et des travaux publics Licence professionnelle : Logistique et Commerce. Réaliser par : HARROUNI ELFADIL ELBOUHSAINI IMAD Sommaire Chapitre I : Présentation de secteur BTP au Maroc Chapitre II : Présentation de la chaine logistique dans le secteur BTP Chapitre III : Etude De Cas Introduction L’entreprise fabrique un produit avec de pièces achetées de fournisseurs et les produits qui en découlent sont vendues à des consommateurs, vous avez une chaine logistique . Certaines chaine sont relativement simples alors que d’autre sont plus complexes. La complexité de la chaine sera variable selon le volume , la taille de l’entreprise, le nombre d’items différents et le nombre de sites impliqués . On peux donc formuler ma problématique autour de question principale suivante : Comment s’adapte la chain logistique dans les BTP ? Chapitre I : Présentation de secteur BTP au Maroc I. LE SECTEUR DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS : 1. PRÉSENTATION DU SECTEUR : Le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) connait depuis ces dernières années un essor sans précédent, le plaçant en tête des autres secteurs de l’économie marocaine en termes de volume des investissements réalisés au pays. C’est un secteur avide d’innovations de technologies les plus avancées dans le domaine (matériaux de construction, équipements énergétiques et techniques, automatisme, informatique, etc.), permettant ainsi de réduire les couts et les délais de réalisation des projets. Sur les 60 000 entreprises que compte le secteur, plus de 40 000 unités exercent dans l’informel et ne sont pas localisées. Alors qu’à peine 5000 unités sont organisées. Globalement, à l’exception de certaines grandes entreprises ou PME-PMI bien structurées, les entreprises du BTP sont sous-capitalisées, de tailles modestes, faiblement encadrées, avec des modes de gestion et d’organisation souvent archaïques. Toutefois, le secteur est l’un des premiers employeurs du royaume. En 2011, le secteur du bâtiment et des travaux publics a employé près de 1.059.000 personnes, avec une création nette de 30.000 nouveaux postes d’emploi, 16.000 postes créés en milieu urbain et 14.000 en milieu rural, selon le ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Politique de la Ville. Entre le deuxième trimestre 2011 et la même période de 2012, le BTP a créé 34.000 postes d’emploi, 16.000 en milieu urbain et 18.000 en milieu rural. Ce qui représente une hausse de 3,4% du volume d’emploi du secteur. 2. DEFIS DU SECTEUR : a. Développement Durable: Le secteur du BTP doit aussi répondre aux contraintes du développement durable. Promouvoir l’économie d’énergie et l’utilisation de techniques de construction dans le bâtiment et travaux publics (BTP) qui soient moins énergivores est devenu, ces dernières années, un souci constant aussi bien pour les responsables publics que pour les professionnels du privé. Mais entre la réflexion ou les bonnes intentions et la réalité sur le terrain, le gap est considérable. Le débat sur l’efficacité énergétique n’est pas nouveau. Depuis la fin des années quatre-vingt-dix, le Maroc a introduit cette notion dans certains grands projets, particulièrement dans les provinces Sahariennes par exemple. Aussi, force est de constater que le Maroc accuse un retard patent en matière d’efficacité énergétique. Les professionnels sont aujourd’hui conscients que le temps n’est plus en leur faveur. Dans un avenir très proche, tout plan de construction, quelque soit le type de bâtiment (standing, hôtels, édifices publics ou écoles), devra prévoir un bilan de performance thermique. L’entrée en vigueur imminente du nouveau code d’efficacité énergétique impose aux architectes un effort de formation afin de pouvoir manier le bilan thermique, autrement on fera appel à des cabinets étrangers. b. La Qualité: La complexité de la qualité dans les BTP relève, entre autres, de la multiplicité des intervenants autour d'une tâche. L'objectif de la qualité est ici économique: réduire les coûts de non qualité. Le débat, axé en grande partie sur la nécessité de promouvoir la qualité au sein des entreprises marocaines, s'est inscrit dans une logique économique: optimiser les ressources humaines et matérielles tout en réduisant les coûts de non-qualité. Qu'ils soient dus à une perte de temps (problèmes de prévision, de programmation ou d'organisation), d'ouvrage (quand il y a reprise ou remplacement à assurer) ou à des pertes de travail (utilisation de techniques désuètes ou mal adaptées), les coûts de non-qualité constituent un gisement de productivité ou de compétitivité considérable. Le manque à gagner résultant des coûts de non-qualité représente plus de 15% de leur chiffre d'affaires d’une entreprise. Aujourd’hui, l’administration et les donneurs d’ordre du BTP font de plus en plus appel au management qualité pour la réalisation, la sélection et la gestion des projets du secteur. Conscients de cette évolution, l’Etat et la FNBTP (Fédération Nationale du Bâtiment et des Travaux Publics) se sont engagés sur un contrat programme qui fait de la certification qualité un de ses axes majeurs. Cette stratégie vise à la mise à niveau des entreprises afin de les préparer à mieux contribuer à la réalisation des gros programmes d’infrastructures, et ce dans les meilleures conditions possibles c. Entreprises Importantes Une liste des 10 premières entreprises au Maroc dans le secteur du BTP: II. LE SECTEUR DU BATIMENT : 1. HABITATIONS (LOGEMENT) : Il se dit dans le petit monde des professionnels de l’immobilier, que 2017 sera la dernière année «compliquée» du secteur et qu’en fin d’année les transactions reprendront et avec elles les prix de l’immobilier partout au Maroc.. 2016 a en effet était marquée par une tendance à la baisse sur tout le royaume des prix de l’immobilier, à l’exception de Tanger grâce à la forte impulsion économique tout au long de l’année, ainsi que Marrakech qui a littéralement été dynamisée en fin d’année grâce à la COP22. Quoiqu’il en soit, si l’on compare janvier 2017 à janvier 2016, la baisse de prix est bien présente. Nous sommes à -5,2% globalement sur les prix moyen au mètre carré des appartements partout au Maroc, et cette chute est marquée dans la plupart des villes. À Casablanca, les prix restent globalement stables, avec +0,27% comparé au mois dernier. Néanmoins, en comparaison avec le mois de janvier 2016, il y a une baisse du prix du mètre carré des appartements de 6%. Le mètre carré à Casablanca affiche ainsi 16.364 DH, alors qu’il était à 17.348 DH en janvier 2016. Si certains quartiers à forte demande, comme le Maârif sont restés stables (+ 1% de croissance en 1 an), d’autres quartiers plus populaires ont vu leurs prix plus largement chuter sur ces 12 dernier mois ; à l’image de Sidi Moumen (-10,68%) ou Hay Mohammadi (-9,55%). Le quartier le plus cher du Maroc, Ain Diab, n’a pas non plus été épargné : le prix du mètre carré y est à présent à 22.377 DH, alors qu’on en demandait 23.457 DH l’année dernière (-5%). Casablanca La capitale du Maroc commence l’année sur une note de croissance comparée à la clôture de 2016, avec +1,76% sur le prix du mètre carré de ses appartements en affichant 14.717 DH. Néanmoins, en comparaison avec janvier 2016, c’est une des villes qui a connu la chute la plus importante, avec - 13,34% sur le prix de ses appartements. En effet, à la même époque l’année dernière, le mètre carré était estimé à 16.982 DH ! Cette chute est contrastée entre quartiers, ainsi Riad, le quartier le plus cher de la ville, a vu ses prix quasiment inchangés sur les 12 derniers mois avec 19.394 DH pour le prix moyen au mètre carré de ses appartements en janvier. Par contre, le quartier prisé de l’Agdal par exemple a perdu 9% en un an, en affichant aujourd’hui 16.638 DH au mètre carré. Rabat Tanger Tanger est la référence 2016 quant à la croissance des prix de l’immobilier, et commence l’année 2017 de même manière avec +2,88% sur le prix de ses appartements comparés au mois dernier, affichant ainsi en janvier 12.324 DH au mètre carré. Sur les 12 derniers mois, Tanger a connu une croissance de 13,44% sur le prix de ses appartements ! La quasi totalité des quartiers ont profité de cette embellie, du prisé Malabata qui a vu ses prix au mètre carré grimper de 14,72% en un an pour afficher à présent 16.510 DH au mètre carré ; au plus populaire Mghogha qui a connu une croissance de plus de 25% sur les 12 derniers mois et affiche maintenant 7.132 DH au mètre carré ! Seul le quartier d’Achakar, derrière Cap Spartel, a vu ses prix chuter de 7,79% sur ces 12 derniers mois. Marrakech connaît en janvier 2017 un nouveau mois de stabilité des prix de ses appartements, avec une croissance de 1% par rapport au mois dernier, situant le prix du mètre carré à 15.632 DH, soit la deuxième ville la plus chère du Maroc. C’est aussi une belle évolution comparée à l’année dernière, avec une progression de 14,43% globalement sur le prix du mètre carré. Cette amélioration s’est vue autant sur les quartiers populaires, comme Mhamid, qui a gagné 36% sur les 12 derniers mois que sur les quartiers prisés de la ville uploads/Ingenierie_Lourd/ expose-sur-la-chaine-logistique-secteur-btp 1 .pdf

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