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BUT COURS D’HISTOIRE ET URBANISME MODERNE DU SIECLE XIX (1780-1880) Spécialités

BUT COURS D’HISTOIRE ET URBANISME MODERNE DU SIECLE XIX (1780-1880) Spécialités : Architecture Niveau : L2 Vague. A et B - Groupe : , , . Année Académique 2022-2023 République du Congo Unité Travail Progrès ************ Université Denis Sassou N’guesso De kintélé Institut Supérieur De l’Architecture de l’urbanisme Et des travaux publics ISAUBTP 1 COURS D’HISTOIRE D’ARCHITECTURE ET URBANISME MODERNE DU SIECLE XIX (1780-1880) Total des :… Distribution totale des heures :… Conférences :.., séminaires : …, classe pratiques :…, temps d’étude individuelle : …. 1.Architecture et urbanisme du XIX siècle (1780-1880) Chapitre 1. Les structures urbaines et architecturales des pays d’Europes dans l’étape de la révolution industrielle. 1.1. Les théories et méthodologie dans les codes néoclassiques…………………. 1.2. Les expressions des valeurs de la signification……………………………… Bibliographie……………………………………………………………………... 1.3. Les théories et méthodologie dans les codes néoclassiques…………………………………………………………………….. La configuration des codes néoclassiques part de deux composants essentiels : a/-Son lien avec les nécessités sociales et la base matérielle b/-Son contenu idéologique. Les codes baroques répondent aussi aux valeurs culturelles d’une concurrence très réduite dans la classe dominante, qui exige du concepteur l’ouvrage unique, identifiable pour sa forme avec la particularité du thème et du promoteur. Mais à partir du XVIII-ème siècle tant les USA comme les investissements privées, sollicitant les architectes dans les buts sociaux, dans une majeure variété thématique : Les marchés, hôpitaux, les prisons, les quartiers résidentielles, etc. Ceci implique le temps du projet et l’exécution différents, ainsi comme une exigence de rationalité dans la fonction et dans les processus constructifs. Il résulte évident que les codes formels, aussi doivent se transformer pour s’adapter aux nouveaux paramètres. 2 En conséquence avec les avancements scientifiques et technologiques, il se produit une théorie de l’architecture, définie comme ‘ « rationnelle », élaborée dans différents pays européens :  en Italie, Milizia ,  en France, Laugler,  et en Allemagne par Schinkel, - qui se résume dans les cours donné par J.N. Durand (1780 -1834) à l’école Polytechnique de Paris. Ils répondent à l’objectif d’instrumentaliser une méthodologie de projet qui se converti dans la base de l’enseignement de conception dans les écoles d’architecture. Les pas sont les suivants : 1/- l’analyse des composants technologiques et constructives faciles d’utiliser dans les ouvrages projetés. 2/- l’analyse des fonctions, liés aux schémas simples distribués qui identifient les divers niveaux de la hiérarchie des espaces fonctionnelles, 3/- le processus de configuration de la forme de l’édifice, basé dans les principaux cours d’axialité, de symétrie, de la continuité secondaire ou principale, divisant dans la conception du plan de distribution et d’élévation. ; 4/- élaboration des détails formels c’est-à-dire les valeurs de sa signification, basées dans les répertoires des éléments classiques - les Ordres – librement combinés en accord avec la diversité compositrice de l’édifice exigé par le thème. Avec cette méthode de travail, l’architecte était en capacité pour résoudre n’importe quel thème inclus, inédit ou autrement à des répertoires traditionnels contenus dans les tracés renaissants ou maniéristes (mouvement artistique qui s’étend entre 1520 et les années du XVII siècle. Courant esthétique de la fin de la renaissance…). Le système des éléments classiques, liés à la rationalité distributive et constructive, servant parfaitement pour compléter les valeurs de signification de l’édifice à partir des nouveaux principes compositrices. Le typique d’enchainement, intégration et graduation du système formel baroque, sont remplacés par des règles de répétition, antithèse et réponse multiple, qui octroie une grande liberté d’action. On atteint ainsi « la décoration », qui correspond aux élégances de la typologie vitruvienne (utilités, fermées, vénustés (pleine d’attraits sensuels, de séduction ineffable.), comme conséquence directe de la 3 fonction et la technique. Disait Durand : * la noble simplicité’ provient de la réponse à la fonction qui est à la fois ‘contenante et économique *. 1.2. Les expressions des valeurs de la signification…………………………. Même entre 1750 et 1820, se sont démarqués divers architectes qui ont réussi la conduite particulière des codes formels, plus loin du système de contexte urbain :  En Angleterre, Seoasane et Nash ;  En Allemagne, Schinkel ;  En France, Fontaine, et Percier ;  Et En Russie, Zakharow etc. Le principal apport en termes d’expression formelle des nouveaux contenus thématiques et idéologiques, a été réalisé par des architectes Français, qui ont opposés dans les années de la révolution Française : Etienne Louis Boulée (1728-1799) et Claude Nicolas Ledoux (1736-1806).  Etienne Louis Boulée (1728-1799) a fait revaloriser la théorie de l’architecture moderne, de la conception d’une série de projets, il a préannoncé les thèmes actuels de contenu social et résolu à travers les formes géométriques pures, réduisant au même, les composants décoratifs classiques. Le monument dédié à Newton, une sphère de 100 m de diamètres, même si irréalisable dans son époque, antérieure, l’époque postérieure a donnée l’apparition des coquilles de béton aux dômes géodésiques. Les formes pures se justifiaient par deux facteurs essentiels : a/- l’échelle monumental des édifices dû à son utilisation de la part des grandes masses de la population et sa grande prégnance perceptible à travers des effets de la fermeture, la lumière et les ombres, produisant par les volumes pures. b/- Quant à son contenu idéologique, les formes géométriques élémentaires, suivant la tradition pythagorique et platonique, symbolisent les valeurs morales, les idées sociales et la rationalité de la nature.  Claude Nicolas Ledoux n’avait pas la vision grandiose des monuments structuraux de Boulée, qui ensuite seraient matérialisés par la bourgeoisie dans le pouvoir, si non que sa recherche tende vers la multiplicité de fonctions coïncidentes dans l’espace construite, dont l’intégration, dans la diversité typologique, correspond aussi à une intégration entre groupes sociales. 4 Les idéales d’égalité, fraternité et liberté de la révolution française, sont appliqués par C. N. Ledoux dans son projet de la ville idéale de Chaux, noyau industriel qui a préannoncé la décentralisation ultérieure urbaine de la ville Jardin ou la Ville industrielle. L’Etat de Ledoux s’oriente vers la particularité formelle de chaque fonction – depuis le logement jusqu’à la fabrique – de manière qu’il le face visible la forme perceptible, son contenu dans le répertoire des formes pures – on parle d’une architecture « parlante » - et vers l’étude des nécessités fonctionnelles des travailleurs - logements, centre culturel, centre de travail, etc. – Dans celui-ci, donc définis par la révolution française comme le « troisième état ». Même si ces propositions ne passent pas, dans sa plupart, de plan théorique, les études de Boulée et Ledoux avaient déjà annoncées certains des ébauches formelles et du contenu identifié avec l’idéologie bourgeoise qui ont muri le long du XIXème siècle et qui plus tard se sont concentrés dans le mouvement moderne. Résumons que, si d’une part les codes néoclassique mettent la crise dans l’unité linguistique du classicisme en établissant une infinité de liberté compétitive dans le XIXème siècle, ils se convertiront dans l’éclecticisme ( tendance en architecture qui consiste à mêler des éléments empruntés aux différents styles ou époques de l’histoire ou époque de l’histoire de l’art et de …) par contre ils ont récupérés le lien l’étroit entre la technique constructive, le système fonctionnelle et les valeurs de signification, qui s’expriment dans le standard architecturale urbaine établit par le recommandation du développement de la société bourgeoise. 1.3- Bibliographie…………………………………………………… Bacon, Edmundo N. Design of cities.Thames and Hudson, Londres.1987. Benevolo, Leonardo : Le origini dell’urbanistica moderna. Laterza. Bari, 1963. Bouléé, Ethiene LOUIS : Architecture, Essai sur l’art. Edité par Helen Rosenau et alec Tiranti, LONDRES ? 1953. 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