Je passe deux mois ici à Paris où je fais un cours de français dans une école d

Je passe deux mois ici à Paris où je fais un cours de français dans une école de langues. J’apprends le français depuis deux ans, et j’espère améliorer mon français ici. Je viens d’une petite ville près de Boston dans l’état de Rhode Island aux Etats-Unis. J’aime bien où j’habite mais jusqu’à maintenant je n’ai jamais vraiment voyagé. J’ai toujours voulu voir le monde, et surtout connaître l’Europe. Alors j’ai décidé de passer une année en Europe, et j’ai déjà passé quatre mois en Irlande, et deux semaines à voyager en Norvège, en Suède, et au Danemark. J’aime bien le Scandinavie : mon grand-père était suédois donc j’ai toujours rêvé d’y aller. L’année prochaine je compte continuer mes études de françaises à Boston donc j’ai décidé de passer deux mois en France pour améliorer mon français. Je parle assez bien, mais je veux développer mon vocabulaire et surtout améliorer mon accent parce que je trouve l’accent très difficile. J’ai parlé avec mon prof de français avant de partir et il a vécu à Nice quand il faisait ses études. Il m’en a beaucoup parlé et même suggérer une école de langues où il avait étudié. Voilà donc je me suis retrouvé sur la Côte d’Azur. Le cours a commencé la semaine dernière et nous avons cours tous les jours entre 16h and 18h. La prof est sympa. Enfin, je dis ça parce que je sais qu’elle va lire mon journal. Elle nous a demandé d’écrire chaque semaine et c’est pour ça que je raconte ma vie. Elle s’appelle Mme S. et elle parle assez lentement, donc je n’ai pas trop de difficultés pour la comprendre. Alors c’est plus facile de la comprendre que la plupart des gens dans les rues de Nice. Mais je suppose que ce sera un peu plus facile chaque semaine. Je vais essayer d’utiliser les nouvelles expressions que j’apprends chaque jour dans mon journal donc j’espère que vous les aimerez. Comme ça j’ai l’occasion de pratiquer mon français et je vais repartir de Nice avec de très bons souvenirs, aussi bien culturels que linguistiques. Je pense que c’est tout pour le moment. J’ai beaucoup de faire parce que j’essaie de trouver un emploi ; c’est assez cher ici donc je dois gagner un peu d’argent pour pouvoir me payer de mes études à Nice. Je viens d’acheter le journal et je vais regarder les petites annonces. À la semaine prochaine. Me revoici. Alors, j’ai eu une semaine assez difficile, mais ça va quand même : tout est bien qui finit bien (j’ai appris cette expression cette semaine). Je vous explique. Après mon cours de français mardi soir j’ai décidé d’aller au centre de la ville. J’aime bien faire les magasins—enfin c’est plutôt du lèche-vitrines parce que je n’ai pas encore trouvé d’emploi. J’avais feuilleté les livres au FNAC et j’étais sur le point de sortir du magasin quand je me suis rendue compte qu’il y avait un garçon derrière moi qui était en train de fouiller dans mon sac. Je me suis retournée et il est parti en courant—avec mon portefeuille. Il est sorti du magasin et il a descendu l’escalier. Le vigil posté à l’entrée du commercial centre a commencé à le courser et un jeune homme l’a aidé en lui faisant un croche pied. Le garçon est tombé sur la terre et le vigil l’a attrapé. Quel soulagement ! Le vigil m’a rendu mon portefeuille mais je n’ai pas eu l’occasion de remercier le jeune homme. C’était vraiment dommage parce qu’il était très mignon. Mais, comme j’ai déjà dit, tout est bien qui finit bien. Alors, quoi d’autre ? Cette semaine en classe nous avons fait un peu de révision : nous nous concentrations sur les temps des verbes, et c’est bien parce que je les trouve assez difficile. Le passé ça va … alors je ne dois pas dire le passé parce que, comme M nous a dit, il n’y a pas un seul passé : il y a le passé composé, l’imparfait, et le plus-que-passé. Il y a aussi un autre temps dont elle nous a parlé, mais ce temps est utilisé seulement dans les livres. C’est un peu trop difficile pour moi. Cependant le nouveau temps verbal que nous avons appris cette semaine c’est le futur, donc je vais essayer d’écrire un peu à propos de ce que je vais faire—ou de ce que je ferai cette semaine. Jeudi et vendredi j’essayerai trouver un emploi. Maintenant c’est urgent ! Je regarderai dans les vitrines des cafés et des magasins (en fait hier soir on m’a offert un emploi dans un bar américain dans le vieux Nice, mais je ne veux pas y travailler : je n’aurai pas beaucoup d’opportunités de pratiquer mon français dans un bar américain.). Samedi j’irai à la plage avec R, une étudiante espagnole qui est dans ma classe. Nous passerons l’après-midi sur la plage et nous nous baignions. S’il ne fait pas beau nous irons au musée d’art moderne. Alors c’est tout pour aujourd’hui. À la semaine prochaine en espérant d’avoir un travail d’ici-là. Bonjour tout le monde. J’ai de bonnes nouvelles aujourd’hui pour vous. J’ai un emploi ! Après avoir passé toute la journée jeudi à me balader dans les rues du vieux Nice où j’ai demandé dans tous les magasins et les cafés s’ils avaient besoin de quelqu’un, j’étais complément épuisée. J’en avais marre. J’étais sur le point de rentrer à mon appartement quand j’ai remarqué un petit café à côté du marché des fleurs. Le propriétaire était en train de servir des boissons à un groupe de touristes américains et il avait du mal à se faire comprendre—les Américains ne parlaient pas beaucoup français. J’ai traduit ce que l’homme essayait de leur dire et il était très impressionné par mon français. Quelques minutes plus tard, je n’étais plus au chômage. J’ai donc commencé vendredi soir et ça s’est très bien passé. La plupart de ses clients était français donc j’ai eu plein d’opportunités de pratiquer mon français, et il y avait des touristes aussi avec qui j’ai pu parler anglais. Le propriétaire est très gentil ; il m’a expliqué tout ce que je devais savoir, et il a l’air content avec mon travail. Son fils travaille en général dans le café aussi, mais il a des examens en ce moment ; il étudie à la FAC. Je n’ai pas encore le rencontré, mais il va reprendre son travail la semaine prochaine après ses examens, donc je vous tiendrai au courant. Comme prévu je suis allé à la plage avec R samedi. Il faisait super beau, donc nous avons eu de la chance. Elle est très sympa et c’est bien parce qu’elle ne parle pas anglais, donc il faut que nous parlions en français ensemble. Hein ! Vous avez vu ça ? Mon premier subjonctif. Nous avons commencé cette semaine en classe : il faut utiliser le subjonctif après l’expression ‘il faut que’ et comme vous voyez je l’ai bien utilisé. Alors, j’espère que je l’ai bien utilisé. J’ai aussi commencé à lire un livre en français sur la plage samedi. Il s’appelle La Gloire de Mon Père et c’est un livre d’un auteur français qui s’appelle Marcel Pagnol. Il était du sud de la France, pas loin de Nice, et il a écrit aussi Jean de Florette. J’ai vu ce film il y a deux ans au cinéma de Montpellier. Lire en français c’est assez difficile parce qu’il y a toujours beaucoup de mots que je ne connais pas. Mais avec mon petit dictionnaire je comprends plus au moins ce qui se passe. Tiens, mes amis, c’est tout pour aujourd’hui. Je vous souhaite une bonne semaine. À bientôt ! J’ai beaucoup de nouvelles cette semaine. Tout s’est bien passé, surtout au café. Je vous explique pourquoi. Vous vous souvenez que le fils de M faisait ses examens la dernière semaine. Enfin il a repris son travail au café cette semaine. Et vous n’avez pas le croire : en fait il est le jeune homme qui faisait un croche pied au pickpocket à Nice. C’est grâce à lui que je n’ai pas perdu mon portefeuille. Je n’ai pas eu l’occasion de le remercier, mais maintenant, oui. Il est très gentil. J’ai travaillé mardi matin et mardi après-midi avant le cours de français et comme il pleurait il n’y avait pratiquement personne dans le café la toute journée. Je me suis passé des heures entières bavarder avec J. Il est très intéressant. Il étudie l’architecture à Nice et il est très calé. Il m’a expliqué les différents styles de l’architecture autour le café. Et qu’est qu’il est mignon. Et sa mère travaille dans le cinéma. Elle est styliste, je pense, mais je n’en ai pas sure. Mais je dois parler d’autre chose. Je ne veux pas vous ennuyer (il est quand même trop mignon). Cette semaine en classe nous avons parlé des emplois et du travail. J’ai pu dire aux autres que j’ai maintenant un emploi—et uploads/Litterature/ cbf-test2.pdf

  • 49
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager