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* — llll ! ! H II II II H Ml il II M CV/l Eur°Pean Patent Office Office européen des brevets (11) E P 0 7 8 1 9 7 0 A 1 (12) DEMANDE DE BREVET E U R O P E E N (43) Date de publication: (51) |nt. Cl.6: F25B 41/06, F16B 17/00 02.07.1997 Bulletin 1997/27 (21 ) Numéro de dépôt: 961 20353.6 (22) Date de dépôt: 1 8.1 2.1 996 (84) Etats contractants designes: (72) Inventeur: Montaille, Guy D E ES GB IT 78000 Versailles (FR) (30) Priorite: 27.12.1995 FR 9515577 (74) Mandataire: Gamonal, Didier Valeo Management Services (71) Demandeur: VALEO CLIMATISATION Propriete Industrielle 78321 La Verriere (FR) 2, rue Andre Boulle, B.P. 150 94004 Creteil (FR) (54) Détendeur thermostatique pour circuit de climatisation, en particulier de véhicule automobile (57) L'invention concerne un détendeur thermosta- tique pour circuit de climatisation. Le détendeur (D) comprend un corps métallique (10) traversé par un premier conduit (12, 14) contrôlé par un clapet réglable (16) et par un second conduit (58, 60) logeant un capteur thermostatique (56) pilotant le clapet (16), le capteur thermostatique (56) étant main- tenu en position par l'intermédiaire d'un capuchon (78) lui-même maintenu par des points de sertissage (84) formés dans le corps (10) à la périphérie de l'alésage (22) et prenant appui sur le pourtour du capuchon. Application en particulier aux installations de clima- tisation de véhicules automobiles. O <7> CO o Û_ LU P r i n t e d b y R a n k X e r o x ( U K ) B u s i n e s s Services 2.14.8/3.4 1 EP 0 781 970 A1 2 Description L'invention concerne un détendeur thermostatique propre à faire partie d'un circuit de climatisation pouvant être utilisé, par exemple, dans une installation de clima- tisation de véhicule automobile. Le détendeur thermostatique de l'invention est du type comprenant un corps métallique traversé par un premier conduit contrôlé par un clapet réglable et par un second conduit logeant un capteur thermostatique pilo- tant le clapet, et dans lequel le capteur thermostatique est maintenu par un capuchon logé dans un alésage du corps. Un tel détendeur thermostatique est destiné à faire partie d'un circuit de climatisation parcouru par un fluide frigorigène et comprenant en outre un compresseur, un condenseur et un évaporateur. Le premier conduit est alors relié entre la sortie du condenseur et l'entrée de l'évaporateur pour provoquer une chute de pression du fluide frigorigène en phase liquide et sous haute pression issu du condenseur et obtenir un fluide frigorigène en phase vapeur et en phase liquide à basse pression envoyé à l'évaporateur. De son côté, le second conduit est relié entre la sor- tie de l'évaporateur et l'entrée du compresseur de manière à être traversé par le fluide frigorigène, en phase vapeur à basse pression, qui est issu de l'évapo- rateur et qui est envoyé au compresseur. Le clapet est ouvert plus ou moins en fonction de différents paramètres, à savoir la pression du capteur thermostatique (qui dépend notamment de la tempéra- ture du fluide frigorigène évaporé), la pression de l'éva- porateur et la pression d'un ressort antagoniste agissant sur le clapet. Le corps métallique d'un détendeur thermostatique de ce type est réalisé habituellement sous la forme d'un bloc massif, généralement en aluminium, usiné pour former les entrées et sorties respectives du premier et du second conduit et pour former en outre un logement interne destiné à recevoir le capteur thermostatique ainsi que différents composants liés au clapet. Dans les dispositifs connus de ce type, le capuchon servant au maintien du capteur thermostatique est maintenu par un anneau de retenue du type "circlip" engagé dans une gorge périphérique annulaire usinée à la périphérie de l'alésage précité. Toutefois, comme ce capuchon se trouve situé entre le second conduit traversé par le fluide frigorigène en phase vapeur et à basse pression, d'une part, et le milieu extérieur, d'autre part, i l se forme une condensa- tion due à un échange de température. Cette condensation peut provoquer une corrosion de l'anneau de retenue et peut donc conduire à la sortie du capuchon et à une défaillance de fonctionnement du détendeur. Pour éviter cet inconvénient i l est nécessaire d'utili- ser un anneau de retenue en matériau inoxydable, donc coûteux. A u surplus, la mise en place d'un tel anneau de retenue nécessite un outillage particulier qui n'est pas toujours compatible avec les chaînes de fabrication automatisées. Enfin, la présence de cet anneau de retenue nuit à 5 une bonne intégration du capuchon dans le corps métallique. L'invention a notamment pour but de surmonter les inconvénients précités. Elle propose à cet effet un détendeur thermostati- 1 0 que du type défini en introduction, dans lequel le capu- chon est maintenu en position par des points de sertissage formés dans le corps métallique à la péri- phérie de l'alésage et prenant appui sur le pourtour du capuchon. 1 5 Ainsi, le maintien du capuchon est assuré par des points de sertissage formés dans le corps métallique lui-même et non pas par un anneau de retenue comme dans la technique antérieure, ce qui permet de diminuer le coût global du détendeur. 2 0 De tels points de sertissage ne sont pas sensibles à la corrosion et ne risquent pas de conduire à une sor- tie accidentelle du capuchon et à une défaillance du détendeur thermostatique. En outre, la réalisation de ces points de sertissage 2 5 est particulièrement aisée. Les points de sertissage sont de préférence régu- lièrement espacés à la périphérie de l'alésage. Dans une forme de réalisation préférée de l'inven- tion, le détendeur comprend quatre points de sertissage 3 0 disposés à 90° les uns des autres par rapport au centre de l'alésage. Ces points de sertissage sont avantageusement obtenus par matage ou martelage, c'est-à-dire par façonnage à l'aide d'un outil du type marteau. 3 5 Le corps du détendeur thermostatique est avanta- geusement réalisé en aluminium ou en alliage à base d'aluminium. Quant au capuchon, i l est avantageusement réalisé en aluminium ou alliage d'aluminium, ou encore en cui- 4 0 vre ou en alliage à base de cuivre, tel que du laiton. Selon une autre caractéristique de l'invention, un joint d'étanchéité torique est interposé entre le capu- chon et l'alésage du corps métallique. Dans la description qui suit, faite à titre d'exemple, 4 5 on se réfère au dessin annexé, sur lequel : la figure 1 représente une vue en coupe d'un déten- deur thermostatique selon l'invention, ainsi que les différents composants d'un circuit de climatisation; 5 0 et la figure 2 est une vue de dessus, à échelle réduite, du détendeur thermostatique représenté à la figure 1. 55 La figure 1 montre un détendeur thermostatique D faisant partie d'un circuit de climatisation qui comprend en outre un compresseur CP, un condenseur CD et un évaporateur E, ces différents composants étant parcou- 2 3 EP 0 781 970 A1 4 rus par un fluide frigorigène dans la direction indiquée par les flèches. Le détendeur thermostatique D comprend un corps métallique 10 réalisé sous la forme d'un bloc massif de forme sensiblement parallélépipédique, par exemple en aluminium. Ce corps comprend une entrée 12 propre à être reliée à la sortie du condenseur CD et une sortie opposée 14 propre à être reliée à l'entrée de l'évapora- teur E. L'entrée 12 et la sortie 14 constituent les deux extrémités d'un premier conduit formant chambre de détente et dont le passage est contrôlé par un clapet 1 6 constitué ici par une bille déplaçable suivant un axe XX. Le clapet 16 est disposé dans un corps de clapet 18 placé dans un logement axial 20 qui s'étend sur l'axe X X et qui débouche par un alésage circulaire 22 sur une face supérieure 24 du corps 10. Le corps de clapet 1 8 comprend un passage axial 26 et un passage transversal 28 qui font communiquer entre elles l'entrée 12 et la sortie 14. Les passages 26 et 28 précités communiquent avec les entrées 12 et 14 par différents alésages de structures connues, non décrits en détail. Le clapet 16 est sollicité en direction d'un siège de clapet 30 par l'intermédiaire d'un ressort hélicoïdal 32 interposé entre un support de clapet 34 et une vis de réglage 36 permettant de régler la pression du ressort qui agit sur le clapet 16 dans le sens de la fermeture. Le corps de clapet 18 est maintenu à l'intérieur de l'alésage 20 par deux joints toriques 38 et 40, disposés de part et d'autre du passage transversal 28. Le clapet 1 6 subit l'action antagoniste d'une tige 42 formant poussoir qui s'étend dans la direction de l'axe X X . Cette tige est guidée dans le corps de clapet 18 successivement par un joint torique 44, une rondelle 46, un ressort 48 et une bague 50. Du côté opposé au clapet 16, la tige 42 est sollicitée par un diaphragme 52 par l'intermédiaire d'un disque 54. Ce diaphragme 52 fait uploads/Litterature/ ep0781970a1.pdf

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