1 Éditorial : P. 2 Écho du GSSV : P. 4 Écho de ELOQ : P. 7 Nouvelles des commun

1 Éditorial : P. 2 Écho du GSSV : P. 4 Écho de ELOQ : P. 7 Nouvelles des communautés : P. 9 Apostolat On dit quoi : P. 15 Félicitations : P. 16 Sommaire Bimensuel des nouvelles des Viateur du Faso A LA UNE N°: 29 PARUTION: Spécial Octobre 2018 FASOVIAT Les nouveaux novices accompagnés de leurs formateurs Père Norbert ZONGO (maître des novices), Pierre Claver PODA (novice), Père Macaire SANDOUIDI (Supérieur de la fondation), Casimir OUEDRAOGO (novice), Frère François ZOMA (Socius) Les nouveaux postulants accompagnés de leur formateur OUÉDRAOGO Arsène, AYENA Grégoire, PROVOST Jean-Marc, KIENTEGA Etienne, DABOU Johanny 2 Editorial: Une nouvelle page ! Un maître mot ! La fraternité ! Du 24 au 30 août 2018 dernier, la Fondation viatorienne du Burkina a vécu sa retraite annuelle avec pour prédicateur le Révérend Père Augustin KONE, Supérieur de la Vice- Délégation de Côte d’Ivoire. Temps de retraite, temps de ressourcement spirituel pour la nouvelle année pastorale, la retraite avait pour thème « Nous sommes tous frères : Ouvrons une nouvelle page ». Ce thème s’inspire fortement de l’esprit du 30ème Chapitre Général de notre Congrégation tenu à Mundelein (Chicago), du jeudi 05 au dimanche 22 juillet 2018 avec pour thème : « Ma joie et mon espérance: en Jésus-Christ, je suis une mission sur cette terre; et pour cela je suis dans ce monde. » (Pape François). De cette grande messe de la Congrégation, les Fondations en sortent stimulées et encouragées. De fait, elles sont invitées à atteindre dans un bref délai le statut de Région. Rappelons que la Fondation a déjà 19 ans d’existence (07 octobre 1999 – 07 octobre 2018). Elle a fait son petit bonhomme de chemin. Elle a grandi en âge et en sagesse et surtout en terme de nombre de religieux vingt-huit (28). Que le Nom de Jésus soit aimé et adoré ! S’inscrivant aussi dans la vision de l’Eglise locale et particulièrement stimulés par la vision du premier Pasteur de l’Eglise Famille de Dieu qui au Burkina Faso, son Excellence Philippe Cardinal OUEDRAOGO, « Avançons au large, avançons en eau profonde ! Duc in Altum ! », nous devons impérativement oser avancer au large. Certes, il faut avancer au large mais pour bien avancer il convient de consolider les acquis des 19 ans d’existence afin de mieux envisager le futur proche pour tendre inexorablement vers le statut de Région. Dans cette mouvance, le Père KONE, prédicateur a fortement souligné dans son enseignement que « être acteur de l’ouverture d’une nouvelle page au sein d’une si gigantesque famille, est tout simplement une grâce, mais également un véritable challenge dont la réalisation nécessite de la part de l’acteur, un esprit apaisé qui sait compter sur l’affection des autres, sur leur soutien sans faille pour se donner totalement à cette mission ». Convaincus et désireux d’accéder au statut de Région, nous sommes amenés à travailler pour une communion fraternelle incarnée, moyen efficace et efficient pour écrire la belle histoire de notre Fondation sur cette nouvelle page. Le maître mot de cette belle histoire se veut être la fraternité, une fraternité véritable, vécue, célébrée, en somme, une fraternité incarnée ayant pour fondement le Christ himself. Du haut de notre expérience de 19 ans, les défis qui se présentent à nous sont nombreux, difficiles mais pas insurmontables. Avec l’échelle de la fraternité, nous relèverons les défis, car nos multiples efforts sont habités par le Frère-Aîné, Jésus-Christ, portés par lui et en lui. Avec le Frère-Aîné, Jésus-Christ, rien n’est impossible. Viateurs du Burkina Faso, une nouvelle page de notre belle histoire s’est ouverte avec cette retraite annuelle. Il nous revient d’écrire cette belle histoire, sur cette belle nouvelle page avec l’encre de la fraternité qui tire son éclat et sa splendeur de la Parole de Dieu. Bonne rédaction. Bonne mission à tous pour cette année pastorale 2018-2019. Que Dieu bénisse la Fondation viatorienne du Burkina en marche vers le statut de Région dans un proche avenir. Gabriel OUEDRAOGO, Csv 3 Éducation:Larentréescolaireetsesangoisses Extrait du site internet : LEFASO.NET • lundi 1er octobre 2018 Fin des vacances scolaires au Burkina Faso. Dans la plupart des écoles et des établissements publics et privés, le sifflet a retenti le 1er octobre 2018. C’est déjà la rentrée ! Si chez les élèves c’est la joie des retrouvailles, chez bien des parents, c’est la période des cauchemars, des angoisses et autres hantises à couper le sommeil. (…) Beaucoup d’interrogations ont troublé le sommeil des parents : « Où caser les enfants ? A quel prix ? Et les fournitures ? Comment honorer les frais de scolarité ? Comment assurer le transport des enfants à l’école ?... ». Bref, autant de casse-tête pour les parents dont le portefeuille ne pèse pas lourd (…), aller se bousculer en banque pour des prêts scolaires. (…) Comme ils le disent, « on se débrouille comme on peut ». Tant pis pour les coupures sans pitié et sans mesure des banques ou des usuriers. A défaut de pouvoir compter sur le bon samaritain, certains parents se fient subitement aux jeux du hasard, espérant décrocher le lot qui sauve. (…) Une chose est certaine, la rentrée ne se prépare pas à la veille de la rentrée ! (…) Bref, les contraintes indépendantes de la volonté des parents d’élèves ne manquent pas. Soit ! Mais faisons toujours de la scolarité de nos enfants une priorité. Leur avenir en dépend. La rentrée scolaire ne s’improvise pas. Elle se prépare. Autrement, les désagréments, les cauchemars, les angoisses et les insomnies sont quasiment inévitables. Alors, bonne rentrée scolaire à tous les élèves ; et surtout courage et travail acharné pour mériter l’investissement des parents, à la sueur de mille efforts et sacrifices. Sita Tarbagdo Dans nos écoles, les Viateurs offrent à leurs employés des prêts scolaires sans intérêt pour les aider lors de la rentrée scolaire. Le prêt consiste en une avance de salaire, un montant fixe est retenu pour les 8 ou 12 prochains mois. Rares sont les personnes qui ont une « réserve » à la banque. Les exigences de la vie et les besoins multiples de la famille et de la famille élargie réduisent leur capacité financière. En campagne, le parent vend 5 poulets pour avoir les fournitures scolaires, mais en ville… c’est un autre problème comme l’explique madame Sita Tarbagdo dans son article. Jocelyn DUBEAU, Csv 4 Echodelaviescolairedansnosétablissements La vie au Groupe Scolaire Saint Viateur de Ouagadougou Depuis la dernière quinzaine du mois de septembre 2018, la vie scolaire au Groupe Scolaire Saint Viateur a repris le service. Après un temps de repos bien mérité, temps des vacances, les élèves ont repris le chemin des classes. Pour mener à bien cette année scolaire, et comme de coutume, le GSSV s’est doté d’un thème pastoral, formulé comme suit : « Viatoriens ! Dans la cohésion et le travail, maintenons le flambeau de l’excellence », avec pour valeurs à cultiver tout au long de cette année scolaire de manière plus spécifique, l’esprit de cohésion, l’esprit de travail, l’esprit de discipline. Un tel thème s’inscrit dans le cadre de la consolidation des acquis pour envisager un avenir meilleur toujours dans la quête de l’excellence. Faut-il le rappeler, la meilleure moyenne au Baccalauréat série D, examen national, vient du GSSV. Etablissement catholique et fidèle à notre charisme, une messe a été célébrée le samedi 20 octobre 2018 avec la communauté éducative, élèves, professeurs, éducateurs pour confier au Seigneur cette année scolaire 2018-2019 et commémorer en même temps la saint Viateur, notre saint patron dont l’Eglise nous donne de célébrer chaque 21 octobre. Au cours de cette eucharistie, l’exhortation a essentiellement porté sur l’effort que chacun devait faire pour que le GSSV soit toujours au nombre des établissements de référence du pays. Et pour ce faire, il faut toujours travailler, faire des efforts car dit-on c’est l’effort qui fait les forts. En plus de cette célébration eucharistique qui marquait officiellement le début de la vie pastorale au sein de l’établissement, depuis le premier octobre, les élèves se regroupent à la grotte mariale pour réciter le chapelet à partir de 17h15. La dévotion mariale est grande au Burkina Faso. Des voisins du quartier viennent s’ajouter aux élèves pour se confier à la mère de Jésus Christ. Dans chaque classe, il y a un garçon et une fille comme responsables chrétiens. Chaque classe est organisée comme une CCB, (communauté chrétienne de base). Les responsables informent leurs classes et organisent les équipes d’animation du chapelet, les équipes pour le chant, les groupes de lecture et la récitation du chapelet. Ainsi chaque classe, à tour de rôle, est impliquée de façon quotidienne. En somme, la vie scolaire au GSSV est fort intéressante. La communauté éducative travaille d’arrache- pied pour l’épanouissement de tous ces élèves qui lui sont confiés. L’ambiance est bon enfant. Que Dieu bénisse les efforts du GSSV dans sa détermination d’éduquer des hommes et des femmes de demain, pour un Burkina prospère, un Burkina émergent. Gabriel OUEDRAOGO, Csv 5 RENTRÉE SCOLAIRE au préscolaire de Saint Viateur Lundi, uploads/Litterature/ fasoviat-29-octobre-2018.pdf

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