La RFID Radio Frequency Identification Identification par radio-fréquence Calai

La RFID Radio Frequency Identification Identification par radio-fréquence Calais 8 novembre 2007 L'étiquette Puce électronique (silicium) Antenne (cuivre) ou puce ou tag ou marqueurs ou transpondeurs Calais 8 novembre 2007 Comment ça marche ? La puce collée sur le document réagit quand une antenne est à proximité Calais 8 novembre 2007 Antenne : soit platines pour le prêt/retour, soit automates de prêt, soit portique antivol de sortie etc.) Comment ça marche ? la RFID est une technologie permettant d'identifier, à plus ou moins longue distance, un objet muni d'une étiquette, capable d'émettre des données en utilisant les ondes radios. C'est une technologie d'identification automatique au même titre que le code à barres. Calais 8 novembre 2007 Les éléments d’un système RFID pour les bibliothèques une étiquette une platine de lecture/écriture un portique antivol Calais 8 novembre 2007 informations écrites dans la puce, propres à l’exemplaire : - identifiant unique de l’exemplaire (N° = code barre) - un espace mémoire spécifiquement réservé à l’antivol. Le bit est codé de façon que le portique de sortie réagisse ou non au passage de la puce - contrôle des documents comprenant plusieurs objets (par ex. coffret de CD) - identification de la bibliothèque propriétaire (RCR) - mention de la recommandation française (FR) + n° de version de la recommandation - puce équipant document / carte de lecteur Calais 8 novembre 2007 L'étiquette •Les tags opèrent à 13.56 MHz et sont au standard ISO 15693 et 18000-3 •Capacité mémoire de 256 à 2048 bits (3M) – 512 bits à 2kbits (bibliotheca).- 256 bits ou 1024 bits (ident) – 1kbits (nedap) •Distance et vitesse de lecture (Lecture à distance 30cm ou plus…) •Étiquette non propriétaire •Contenu réinscriptible et modifiable : écriture et lecture •Fonction antivol activable ou désactivable. •Compatibles avec les autres systèmes de sécurité (EM, RF) •Ils peuvent être préimprimés, avec le logo ou autres infos •Protection supplémentaire contre les dommages (impression ) •Formats divers : 50X53mm, 82X49mm et 40mm pour les rondes •Collages des tags sur les documents avec des préconisations très strictes . Calais 8 novembre 2007 L'étiquette La platine ou le lecteur d ’étiquettes, peut lire mais aussi écrire des données sur le tag. Elle émet des ondes radio, puis écoute les réponses des tags qui se trouvent dans son champ de lecture. Calais 8 novembre 2007 La platine Calais 8 novembre 2007 La platine sur poste professionnel •Dimension 30X20cm environ et épaisseur de 10cm •Liaison informatique (connexion IP) ou ordinateur (RS 232), par platine. •Alimentation électrique •Nombre de postes de gestion Prêt Retour Encodage •postes pour lecture et/ou écriture •Lecture de mono ou multi documents •Nombre de lecteurs de code à barres •Logiciel de connexion au PC •position/ergonomie (sur ou sous table) •Meuble ou sur une table •Intégration avec le SIGB ( contrôle des statuts) •Éléments complémentaires : Imprimante ticket lecture carte lecteurs types d’écrans (tactiles) Choix du langage appel du personnel si l’usager est bloqué Calais 8 novembre 2007 L'automate Contraintes techniques particulières aux automates de retour •Retours des documents acceptés, ticket de retour pour l’usager •Réactivation de l’antivol •Séparation des documents : les docs réservés et les autres •Tri des documents : assignation des docs à leurs localisations (selon des critères définis) •Alerte au personnel quand un chariot est plein et doit être vidé •L’automate de retour peut être dehors ou dedans : Retour possible 24h sur 24 et 7 jours sur 7, avec lecture immédiate du tag Calais 8 novembre 2007 L'automate Apex autoreturn Calais 8 novembre 2007 Rennes Calais 8 novembre 2007 Rennes L ’étiquette RFID contient un élément antivol qui envoie un signal à l ’antenne, sauf s ’il a été désactivé au moment de l ’opération de prêt. Une alarme visuelle et/ou sonore se manifeste. Calais 8 novembre 2007 Le portique antivol Calais 8 novembre 2007 Le portique antivol Discrétion, intégration, luminosité, matériaux, hauteur, couleur, robustesse Alfortville •Nombre de passages •Nombre de lieux à protéger •Comptage : entrée/sortie •Portillon •Séparation entrée-sortie •Décoration/personnalisation •Détection de plusieurs types de puces (13,56MHZ +…) NB : Une option : quand l ’alarme est activée, une fenêtre « popup » apparaît sur le PC de l ’agent , indiquant le code barre ou tout autre identifiant du document. Calais 8 novembre 2007 Le portique antivol Alfortville •Détection continue •Alimentation électrique •Présence d’un boîtier par antenne (distance maximum par rapport à l’antenne) •Environnement (distances de sécurité) par rapport à des zones métallisées •Champs de détection •Espacement des passages (normes) •Liaison informatique (facultatif) •liaison au SIGB (facultatif) Un boîtier par antenne Calais 8 novembre 2007 Le portique antivol •Poids (léger pour aller sur les étagères hautes et basses) •Vitesse, distance de lecture •Contrainte d’environnement •Signal sonore et visuel lors de la reconnaissance •Autonomie (batterie) -alimentation •Capacité mémoire, interface entre les données de la base de données et celles recueillies. •travail avec PC, imprimantes…, avec windows et autres compatibilités •interfaçage avec SIGB •Wifi Calais 8 novembre 2007 Le lecteur portable Pour les inventaires , pour le classement, pour les erreurs de cotation, pour la recherche d’ouvrages… Le dernier cri en matière de lecteur RFID portable. Plutôt qu’un classique terminal proche du lecteur de code barre, il s’agit ici d’un lecteur sous forme de gant, Les capteurs se situent ici au niveau de deux doigts. En les passant à moins de 5 cm du tag, l’utilisateur détecte le produit. Les données sont ensuite transmises sans fil via l’émetteur/récepteur fixé sur l’avant bras, pour alimenter la base de données centrale. (réalisé par l’allemand Deister Electronics. janvier 2007) Calais 8 novembre 2007 1 - distribution et optimisation de la chaîne de la production 2 - dispositifs de paiement ou de billettique, 3 - identification, qu’il s’agisse d’un individu ou d’un objet. La technologie est déjà utilisée dans de nombreuses situations de la vie courante : •le télépéage, •le pass Navigo de la RATP, •l'identification électronique des animaux de compagnies, (une puce sous la peau à peine plus grosse qu'un grain de riz •forfaits mains libres dans les stations de ski, •systèmes de contrôle d'accès sans contact dans les entreprises, dans les parkings. Calais 8 novembre 2007 Rfid : hors des bibliothèques •Une distance de lecture limitée à 50 cm en France compte tenu des niveaux de puissance autorisés aujourd’hui. •Une perturbation possible du signal radio par la présence de métal. • Pour les étiquettes , le prix est encore élevé, par rapport aux codes à barres. •Les ondes radio pourraient être nuisibles pour les consommateurs. •Les associations de consommateurs («Caspian»par exemple aux USA) dénonçant la traçabilité des étiquettes RFID. Calais 8 novembre 2007 Rfid : inconvénients Position de la CNIL : “La technologie de radio-identification (RFId) devient un enjeu économique majeur notamment dans les applications de la distribution et du transport. Du fait de leur dissémination massive, de la nature individuelle des identifiants de chacun des objets marqués, de leur caractère invisible, et des risques de profilage des individus, la CNIL considère que les RFIds sont des identifiants personnels au sens de la loi Informatique et Libertés..... “Les technologies de radio-identification peuvent être utiles pour des finalités légitimes bien définies, mais, parce que le maillage dense de milliers d’objets qui entoureront une personne pourra ainsi être analysé, de façon permanente (le potentiel de rayonnement d’un Rfid est illimité dans le temps car aucune batterie n’est nécessaire), permettant potentiellement le ‘profilage’ des individus, elles font peser sur les individus un risque particulier” pour mieux exploiter le potentiel de la RFID : promouvoir des systèmes ouverts et des standards communs Calais 8 novembre 2007 Rfid : dangers •Les opérations de prêt/retour sont facilitées. même opération rapide pour enregistrer et activer/désactiver, L’étiquette est lue quelque soit la position du livre •le classement, le système d’Identification Digitale permet de vérifier rapidement si les ouvrages sont bien classés sur une étagère et signale les ouvrages déclassés (et ceci en étant déconnecté du SIGB). Les erreurs de cotations sont signalées par l’Assistant Digital. En effet si un ouvrage n’a pas la même cote matériellement que sur le SIGB, il est signalé comme déclassé •la recherche d’ouvrages, on peut charger sur l’Assistant Digital la liste des ouvrages perdus ou déclarés rendus ou réservés par les lecteurs. L’Assistant Digital permet donc de retrouver facilement les ouvrages en balayant les rayons de manière très rapide sans avoir à déplacer les livres. •des inventaires beaucoup plus rapides Calais 8 novembre 2007 Rfid : avantages l'intégration de puces RFID directement dans le produit lui-même : tous les produits de notre quotidien équipés d'une puce RFID, appelée EPC pour Electronic Product Code. Cela permettra de garder dans la mémoire de la puce : le numéro de série, le lot de production, le mode d'emploi... Le consommateur pourra alors lire toutes ces informations sur son téléphone mobile ou PDA qui intégrera un lecteur de puce RFID. Cela développera des 'offres de prestations et de services dont on n'a pas encore idée aujourd'hui, mais qui iront vers une aide au consommateur. dispositifs de paiement originaux dispositifs de paiement originaux : tag autocollant” que l’on appose sur la lunette arrière d’une uploads/Litterature/ fonctionnement-rfid.pdf

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