1. Lа statut du narrateur : sa position dans le texte, les paramètres linguisti
1. Lа statut du narrateur : sa position dans le texte, les paramètres linguistiques de sa présence; Le narrateur est celui qui raconte une histoire, une suite d’événements, et met en scène les personnages de cette histoire. Il ne faut pas le confondre avec l’auteur, la personne réelle qui a inventé et écrit le texte.Le narrateur peut se situer dans ou en dehors de l’histoire. Si le texte est à la 1re personne, le narrateur se situe dans l’histoire. Il fait le récit de sa propre vie (narrateur-personnage) ou d’événements dont il a été témoin. Si le texte est à la 3e personne, le narrateur se situe en dehors de l’histoire et ne participe pas aux_événements. Il peut néanmoins apparaître par endroits, à travers des commentaires, des jugements ou des adresses au lecteur. La position du narrateur dans Le Rouge et Le Noir est fort complexe, Stendhal créant (крєан) un aspect hybride, entre le narrateur omniscient (омнисьен) , narrateur personnel, entre auteur (утєр) et narrateur dans le but de renforcer l’histoire racontée.Voulant renouer (рєнуе) avec le ton de Дидро et de Стерн, Stendhal insère(ансер) dans son œuvre(Євр) un ton journalistique. 2. La modalisation du texte littéraire La modalisation est l'emploi de verbes modaux (pouvoir, devoir, vouloir, etc.), d'adverbes (peut-être, probablement, vraiment (adverbes modalisateurs), sans doute, bien sûr (locutions adverbiales), de temps (futur, conditionnel, etc.), d'adjectifs (évaluatifs / affectifs), de noms par lesquels un. Pour comprendre ce que sont les procédés de modélisation, il faut faire la distinction entre ce qu'est un énoncé objectif et un énoncé subjectif. ... Pour exprimer cette subjectivité, l'énonciateur peut manifester un doute, la probabilité, un sentiment, un jugement mélioratif (positif) ou péjoratif (négatif). • Marque la plus évidente : 1° personne du singulier ou du pluriel. • Des formules signalent qui prend en charge les idées, qui donne son avis (Pour moi..., d'après.) • Le choix du lexique : termes mélioratifs et péjoratifs. Dans l’optique narrative, Le Rouge et le Noir est raconté à la troisième personne, donc adoptant une narration. Stendhal fait sans cesse varier les points de vue. Le narrateur nous semble omniscient ; c'est-à-dire, il en sait plus que son protagoniste, ses faits et gestes, voire même ses pensées, sont livrés au lecteur, mais aussi ceux des autres personnages. Contrairement à eux, son savoir n’est pas limité dans un cadre spatiotemporel. A titre d’exemple, l’évocation, dans le cadre d’une analepse, du passé Julien. Dès le début du roman, le narrateur se présente comme un narrateur-voyageur. Une voix mais beaucoup subjective se fait entendre : « Combien de fois, songeant aux bals de Paris abandonnés la veille, et la poitrine appuyée contre ces grands blocs de pierre d’un beau gris tirant sur le bleu, mes regards ont plongé dans la vallée du Doubs ! ». On voit dans cette voix narrative personnelle qui apparaît seulement dans le début du roman, et qui est représentée par la première personne du singulier.Les verbes de perception, en plus du discours direct et du discours indirect, nous font vivre la scène de l'intérieur au rythme des pensées de Mathilde : nous voyons comment progressivement elle est en attente de Julien, puis comment elle s'attache à l'observer, l'écouter, le suivre … se qui révèle le fort intérêt qu'elle porte à ce dernier. Le point de vue interne est adopté au moment où Julien contemple la lettre de Mme de Rênal. Lors de notre lecture de ce passage, nous avons eu l’impression de découvrir la lettre en même temps que lui, le narrateur renforce cette idée par la présence des modalisateurs tels que Le point de vue interne se trouve à l’heure où Julien contemple la lettre de Mme de Rênal, lors de notre lecture de ce passage, nous avons eu l’impression de découvrir la lettre en même temps que lui, le narrateur renforce cette idée par la présence des modalisateur tels que : « extrêmement longue» et « bien de la main de madame de Rênal ». La position du narrateur dans Le Rouge et Le Noir est fort complexe, Stendhal créant ainsi un aspect hybride, entre le narrateur omniscient, narrateur personnel, entre auteur et narrateur dans le but de renforcer l’histoire racontée.Voulant renouer avec le ton de Diderot et de Sterne, Stendhal insère dans son œuvre un ton journalistique. 3. L’histoire de la création du roman de G. de Maupassant «Bel ami»: le réalisme dans la littérature du dix-neuvième siècle Bel-Ami est un roman réaliste de Guy de Maupassant, publié en mille huit cent quatre-vingt-cinq. Le roman paraît (парэ) d'abord sous forme de feuilleton dans le quotidien Gil Blas(Жиль Бляс), avant d'être édité en volume aux_éditions (озидисьен) Ollendorff. L'action du récit se déroule à Paris pendant la seconde(сэгонд) moitié(муатье) du dix-neuvième siècle. Maupassant décrit les liens étroits entre le capitalisme, la politique, la presse mais aussi l’influence des femmes, privées de vie politique depuis le code Napoléon. Satire d'une société d'argent minée par les scandales politiques de la fin du dix-neuvième siècle, l’œuvre (ловр) se présente comme une petite monographie de la presse parisienne dans la mesure (мэзьюр) où Maupassant fait part de son expérience de reporter. Maupassant décrit surtout la vie des gens_aisés(жён зазэ), de la bourgeoisie, de l’élite du journalisme et de la politique. Ce sont des gens qui sortent souvent, vont au théâtre, invitent des amis chez eux, participent à des soirées mondaines.(мондэн). Cette société accorde une forte importance à l’argent, à la réussite sociale et au pouvoir. Bel-Ami est la description parfaite de l'inverse de Guy de Maupassant, Georges Duroy devenant une sorte de contraire de l'auteur, dont Maupassant se moquera (мокра) tout au long du roman. про реализм Le réalisme est un mouvement littéraire et culturel du dix-neuvième siècle (vers mille huit cent cinquantième - mille huit cent quatre-vingt- dix) qui donna pour mission au roman d'exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel sans l'idéaliser 4. L’histoire de la création du roman de Stendhal «Le rouge et le noir»: le réalisme subjectif Stendhal est passionné par les affaires criminelles qui révèlent les tréfonds de l’âme humaine et ce dont la nature humaine est capable quand elle est poussée dans ses_ultimes retranchements. En mille huit cent vingt sept, dans La Gazette des Tribunaux de Grenoble, il découvre une affaire qui va lui fournir la trame de son deuxième roman : un jeune séminariste, Антуан Бертэ, est jugé pour avoir tenté de tuer son ancienne maîtresse. Le jeune homme, est-il dit au procès, veut se venger d’une société. Il est remarqué par le curé de la localité. Celui-ci le place comme précepteur chez le maire, Monsieur Bichoud de la Tour. Après un séjour au séminaire, le jeune Antoine trouve une nouvelle place de précepteur chez le comte de Cordon dont il séduit cette fois la fille avant d’être à nouveau renvoyé. Antoine ne comprend pas son éviction et se persuade que son ancienne maîtresse, Жанн Мишу, a écrit au comte pour évoquer son passé et le discréditer. Décidé à se venger, le jeune homme entre dans l’église et tire sur son ancienne amante avant de retourner l’arme contre lui. Tous deux survivent mais Antoine est arrêté, jugé et guillotiné. (гийотинэ) Si les points communs sont très nombreux entre ce fait divers et l’histoire racontée dans Le Rouge et du Noir, le roman n’en reste pas moins superbe tant il sonde l’âme humaine, décrypte l’amour et dépeint la société française du dix-neuvième siècle, ses mœurs(мёр), conventions(конвёнсьён), absurdités et contradictions. Nous jugerons de la ressemblance entre l’histoire d’Antoine Berthet et celle de Julien Sorel, d’après les extraits de la gazette des tribunaux suivants Stendhal pense que chacun est enfermé dans sa subjectivité et ne peut percevoir le monde que dans les limites de son regard. Ainsi, la réalité dans Le Rouge et le Noir n’est perçue qu’à travers les regards des protagonistes et ceux de Julien qui sert, souvent, de foyer de perception. 5. L’histoire de la création de la nouvelle de P. Mérimée Carmen: à la frontière du romantisme et du réalisme Publiée en mille huit cent quarante cinq dans La Revue des deux mondes puis éditée en volume en mille huit cent quarante sept, Carmen est une nouvelle écrite de la plume de Prosper Mérimée qui traite de passion(пассон) amoureuse(амуроз), de jalousie et de meurtre(мёртр). Il s’agit d’un véritable chef-d’oeuvre de la littérature française du dix- neuvième siècle. Dans Carmen, Mérimée raconte une tragique histoire d’amour qui lie Carmen, une jeune gitane sensuelle et manipulatrice, et Don José, un brigadier-bandit. Irrésistiblement(ирезитиблемо) attiré par la belle bohémienne, Don José devient un voleur et un meurtrier (мёртрие), et finit par la tuer lorsqu’elle lui avoue qu’elle ne l’aime plus. Divisée en quatre chapitres et écrite dans un style froid et distant, Carmen de Prosper Mérimée inspire, un opéra-comique en quatre actes à Жорж Бизе. Carmen fait également l’objet d’une vingtaine d’adaptations cinématographiques durant les vingtième et vingt-et-unième siècles. 6. Les temps et le mode des verbes dans le texte littéraire! Le passé simple qui exprime une action terminée, délimitée dans le temps, uploads/Litterature/ francuzskiy-s-1-sem.pdf
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- Publié le Mar 28, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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