Stendhal s’inscrit dans le courant du réalisme mais est porté par le romantisme

Stendhal s’inscrit dans le courant du réalisme mais est porté par le romantisme. Vient à une époque où il n’y a rien d’intéressant à vivre Julien Sorel arrive à une époque où l’ascenseur social est bloqué Pour un jeune homme qui veut monter dans la société Voie de l’armée, le rouge n’est plus trop possible donc reste l’église, le noir qui permet de moter grâce à l’église Dans le titre, il y a cette interprétation là , entre l’église et l’armée Ou autre interprétation, amour et mort Le roman s’ouvre sur une première description de la ville de Verrière, située précisément, avec énormément de précision Encrage spatio-temporel Deuxième chapitre : présentation du maire, M. de Rénal, et à travers lui, présentation de la bourgeoisie, les ultras, situation politique. Il insiste sur son obsession pour l’argent, une classe sociale pour laquelle l’argent est la valeur essentielle. Le chapitre 3 est consacré à l’abbé Chelan, honnête homme de conviction et qui est libéral Dans le schéma actantiel, c’est le destinateur La situation du passage L’abbé Chelan, sous la demande de M. De Rénal, cherche un précepteur pour ses enfants. Il a des connaissances basiques en latin . Vu que c’est un très jeune homme, il faut demander au père qui est opposé mais qui va marchander. Il a vendu son fils. Pour faire monter les gages de Julien, il à fait semblant de ne pas être sûr pour espérer que M. de Rénal va surenchérir. Mouvements L1 à 6 : Julien, homme dans un monde de géant, en décalage par rapport à son milieu Un milieu industriel L6 à 10 : Opposition père fils L11 à 17 : Une scène violente Jusqu’à la fin : Un jeune homme sensible/ tourmenté/ humilié/ méprisé/le vilain petit canard « En approchant de son usine » Aspect industriel reprise dans tout le paragraphe qui fait l’unité du paragraphe « La scie » « la hache » « le hangar » le mécanisme On a cette description et ces mots très précis qui nous encrent dans ce milieu de cette usine « Stentor » personnage de la mythologie grec qui apparaît lors de la guerre de Troie qui porte très loin et qu’on entend lors de la guerre de Troie L’Assimiliez à un personnage surnaturel « Personne ne répondit » Julien l’habitude de se recroqueviller et de ne pas se « Espèce de géants », allusion au surnaturel « Lourde hache » Image que ça fait naître, des trolls , image mythique , à peine humains « Équarrissaient » appliquer une technique très précise L’emploi de terme technique et de métiers est la touche de réalisme Les outils sont présentés « tronc de sapin » « Marque noire tracée sur la pièce de bois » ils sont des exécutants, et ne pensent même pas Personnages effrayants Ça montre leur puissance et force physique « copeaux énormes » Julien n’est pas là où il doit être et c’est presque symbolique. Il n’est pas dans le milieu où devrait être « Ce n’est pas là où il devrait être » Il va se retrouver sur l’échafaud et ce n’est pas là où il devrait être Julien à une certain caractère et n’est pas « il le chercha vainement » IL fait quand même ce qu’il veut même s’il sait à quoi il s’expose A cheval sur une des pièces de la toiture Drôle car il lit l’épopée Napoléonienne à cheval sur une poutre. Stendhal le précise car ce n’est pas évide « rien n’était plus emphatique » CE n’est pas la sécurité des frères (consigne de sécurité ) rôle d’observateur Ce qui le révolte plus que tout, c’est la lecture. Pb de classe social et de transfuge social En lisant alors que son père ne sait pas lire, Julien amorce son transfuge . Le profil de Julien contraste avec celui de ces frères, avec sa taille mince et la taille de géant des frères Notion de manquement chez Julien « Manie » veut dire folie, dérèglement mental L’asyndète, pas de mot de liaison « odieuse, il ne savait pas lire lui-même » . Ça lui semble presque une insulte de lire en sa présence. On précise de plus en plus, ça va se rétrécir d plus en plus : d’abord l’usine, puis à ‘l’intérieur, le banc de scie, puis la scie. Juline n’est pas dans l’action, il est passif, du moins pour le père « Vainement » : Julien n’est toujours pas où il devrait être Encore le verbe « empêcher » car Julien ne peut pas, n’arrive pas L’auteur varie pour dire la même chose : reprise lexicale et reprises pronominales « Le jeune homme » pour parler de Julien. Formule assez distinguée et respectueuse qui est opposée à la manière dont les frères sont présentés, comme un « espèce de géants » alors que Julien est un homme. Stendhal l présente comme des brutes « L’attention que le jeune homme donnant à son livre ». Certains s’intéressent au travail manuel et Julien s’intéresse à la littérature. IL est tellement absorbé par la littérature qu’il ne peut entendre son père Julien a déjà quitté l’environnement familial : la lecture st une fuite pour lui « Terrible » : qui provoque la terreur, sentiment extrêmement violent que l’on retrouve dans la mythologie et dans la bible Le mot de terreur reprend presque le côté surnaturel La peur est tellement violente qu’elle pousse à l’instinct primaire. « Malgré son âge », Cela appuie sur l’aspect surnaturel : le père aune souplesse quasiment surnaturelle pour son âge. Cela veut dire que c’est vraiment un personnage effrayant « L’arbre » est un arbre de transmission, une colonne de transmission. « Et de là, sur la poutre transfert »Cet homme de manière magique pour monter sur la poutre du toit en deux bons « Un coup sur le toit » Asyndète, sans intermédiaire : on comprend que les deux bonds ont mis Julien à sa portée, mais ce n’est pas dit. IL y a une accélération de l’écriture qui va montrer la rapidité de l’action. « UN coup violent » déterminant indéfini un: Cela traduit la surprise de Julien où le père à disparu de la phrase. Le lecteur rétabli ce qu’il manque Cela déplace le point de vue et nous met dans la place de Julien « Ruisseau » désigne les caniveaux au 19e siècle :plus probablement un écoulement d’eau sale qu’un vrai ruisseau. « Je suis tombée par terre, c’est la faute à Voltaire, je suis tombé dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau » « Le livre que tenait Julien Très symbolique car le livre qui et pour Julien est le summum est tombé dans la fange par le père et est rendu inutilisable. Opposition entre les deux mondes, où un le livre et sacré et l’autre est méprisable Calotte : pièce de tissus assez ronde qui es portée sur l’arrière du crane , portée par les évêques et le pape/ C’est aussi un geste associé à une certaine humiliation Cette tape va complètent le déséquilibrer « Il allait tomber douze à quinze pied plus bas » : entre 3,5 et 4,5 m Pas sur la scie elle-même mais sur le système de piston qui permet de faire marcher la SCE, avec les grands manches en métal «Le père, être extraordinaire, le père le rattrape de la main gauche, un corps humain sans perdre l’équilibre : il faut une force absolument surnaturelle. Le père est littéralement effrayant par son aspect extraordinaire : ce n’est pas possible ! L’intervention u quasi surnaturel dans un récit qui se veut réaliste Opposition entre Julien qui est dans le domaine de l’intellect, et de la vie intérieure (Julien) , et le père débordant de la vitalité. On mesure ce que à peut faire de prendre une raclée par un montre mythologique . Son père le retient et lui dit « eh bien paresseux » Ne l’appelle pas par son nom*$ On sent tout le mépris pour le livre qu’il a envoyé dans le ruisseau Pour le père, lire, se cultiver intellectuellement, la connaissance, ça ne sert à rien, ça n’en sert à rien. Tout ce qui est lié au texte n’a aucune espèce d’intérêt par le père Champ lexical de la violence est arrivé « coup, violent » Etourdi « sanglant » : La scène est visualisée Julien va essayer de se rattraper en prenant el poste qu’il doit prendre « Larmes aux yeux » soit la douleur, soit l’émotion On se pose la question, et on a la réponse tout de suite Il est habitué probablement à la douleur physique Cela suppose une force mentale, et une résistance physique remarquable : il st tout endolori, KO, mais pense à son livre, qu’il adorait. Pour Julien, ce livre est comme un Die, t que son Dieu, c’est Napoléon. On l’a dans le mot « adoré ». ON a ici le portrait d’un jeune homme méprisé dans ce qu’il est, dans le goût par uploads/Litterature/ lecture-lineaire-1-standhal.pdf

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