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Les liaisons dangereuses Fiche auteur Pierre-Ambroise-François Choderlos de Lac

Les liaisons dangereuses Fiche auteur Pierre-Ambroise-François Choderlos de Laclos est un militaire et auteur français qui est né en octobre 1741 à Amiens. Avec sa carrière militaire, il écrit plusieurs œuvres appartenant au courant de pensée du libertinage. Ayant seulement trois quartiers de noblesses, et ayant besoins de quatre pour devenir officier, Laclos fait une école d’artilleries, la seule a ne pas avoir besoins de ceux-ci. Il devient sous-lieutenant en 1761 et reste comme militaire de garnison. En 1783 il entre au service du duc d’orl »an puis se rallie aux idées de Napoléon Bonaparte en 1800. Il participe activement et est réintégré comme général. Ce serait durant ses campagne militaire et plus précisément à Grenoble que lui vient l’idée de l’œuvre des liaisons dangereuses. Son roman le plus populaire est les Liaisons Dangereuses, un roman épistolaire parut 1782. Un autre roman plus ou moins populaire de Laclos est de l’Éducation des femmes, quant à lui parut en 1785 est quand a lui une dissertation quand aux femmes et à leur éducation. Enfin, l’auteur a aussi écrit Ernestine qui est un opéra-comique parut en 1777. Passage préféré “Peut-être ces mêmes Liaisons dangereuses tant reprochées aujourd’hui par les femmes, sont une preuve assez forte que je me suis beaucoup occupé d’elles ; et comment s’en occuper et ne les aimer pas ?” Dans cette lettre possum de Laclos à madame Riccoboni, Laclos présente pourquoi les liaisons dangereuses sont un live à part entière. Malgré cela on voit le masque de Laclos qui tombe en dévoilant son avis sur le libertinage. Dans la première partie de ce passage, Laclos dévoile que le Libertinage à reçu une grande critique que très récemment « aujourd’hui » et que ses lettres vont pouvoir apporter une base d’argumentation ou même de montrer qu’elle existe. Dans la deuxième partie il dit que tout le monde les aiment, tout le monde veut être libertin mais que personne ne veut dire que cela est mauvais. Lien littéraire “Les inclinations naissantes, après tout, ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement. Quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable ; et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avois dix mille, je les donnerais tous.” Dom Juan Acte premier Scène 2 Dans cette extrait, Dom Juan explique pourquoi il se plait a charmer les dames, ce qui rappelle Le Vicomte de Valmont qui se plait a aller de relation en relation sans pour autant en être marqué. Il préfère la relation courte sans sentiment à une vraie qu’il abandonne. Les deux protagonistes se vont de jouer avec des manipulations pour se jouer des femmes. Dom Juan en créant un quiproquo, le Vicomte de Valmont en utilisant l’excuse afin de profiter de Cécile de Volanges. Enfin les deux semblent n’avoir aucune morale et se jouer de de ce qu’il se passent en dehors de leurs vies et des sentiments des autres, même si le Vicomte semble toucher lorsqu’il écrit à la présidente de Tourvel pour lui annoncer sa rupture. Enfin, lien qui que n’a peu d’intérêt, mais les deux personnages semblent être sûr de ne pas mourir mais pourtant finissent tous les deux par mourir, Dom Juan de la statue et le Vicomte de la main du Chevalier de Danceny. Enfin comme Dans Dom Juan, on peut retrouver un jeu de masque pour diffuser son message. Lien Iconographique Le Verrou (1778), Jean-Honoré Fragonard est une Huile sur toile conservé au Louvre. Sur cette peinture, on retrouve un personnage qui embrasse l’autre personnage en fermant la porte avec un verrou, d’où le titre. Cette œuvre fait penser au passage où le vicomte de Valmont se retrouve dans la chambre de Cécile de Volanges la nuit. Cela dit, dans le livre, elle n’accepte pas immédiatement d’entrainer cette relation et le chevalier de Danceny est obligé de lui écrire afin qu’elle l’accepte. Ce passage est représenté par la main de la femme qui essaye d’accéder au verrou afin de prévenir des gens de la venue du vicomte de Valmont. L’homme essaye de lui donner un baiser qu’elle semble ne pas vouloir comme dans le livre. Avis sur l’œuvre Les romans épistolaires peuvent être bien. Par exemple Les lettres Persanes de Montesquieu sont intéressantes et vivantes du fait de la description de la France à ce siècle. Dans le roman de Laclos, Les personnages sont inintéressants. De ce fait, ils peuvent s’écrire une multitude de lettre pour souvent dire la même chose sur la suivante. Le roman épistolaire rend la lecture saccadée avec un éloignement des personnages. Le style quoique classique rend aussi la lecture compliquée ce qui rend le livre beaucoup plus complexe qu’il n’en a l’air. Evidement on ne peut rien faire au style de l’écriture celui-ci ayant été écrit il y a plus de 240 ans. J’en garde donc une idée brouillonne et chaotique. Cela dit, ce livre permet de faire une étude du libertinage au siècle de Laclos le fond reste donc intéressant malgré une forme un peu laborieuse. Même si on ne sait pas si les personnages existent vraiment on peut deviner que le but de l’œuvre et de créer un jeu de masque pour pouvoir diffuser son message. uploads/Litterature/ les-liaisons-dangeurseue.pdf