Aenomel => intelligente, très positive, pas tellement sure d elle, timide, char
Aenomel => intelligente, très positive, pas tellement sure d elle, timide, charme naturel, née en Angleterre de père français, très intéressée par l’histoire, visite souvent des musés, a des amis anglais, père avocat mais pas vraiment très proche de lui car il travail beaucoup et ne passe pas beaucoup de temps avec sa famille et ne montre aucune affection envers sa fille, mère au foyer mais passe clairement son temps en ville avec ses amis et à montrer son argent, veut devenir médecin car elle a perdu sa grande sœur dans un accident de voiture, extrêmement proche de sa grand-mère paternel qui l’a élevée comme sa fille et qui a aidé à se remettre de la perte de sa grand sœur Revigorée par le soleil d’été, Aenomel essaye de porter plus attention au cours d’histoire : « la seconde guerre mondial et ses conséquences » la fatigue revient à la charge rien qu’en lisant ces mots écrit sur le tableau vert. En réalité ce n’était pas le sujet en lui-même qui fatiguait la jeune fille mais le professeur. Aenomel est mordue d’histoire toujours intéressé et a tendre l’oreille au moindre sujet. Or, ici le professeur ne lui apprenait rien de plus que ce qu’elle ne savait déjà : Hitler élu chancelier le 30 janvier 1933, 1939 le pacte de non-agression entre les russes et les allemands… La seconde guerre mondiale..... Sujet intéressant mais surtout révélateur de comment les rouages de la société capitaliste ce sont mis en marchent. Et les secrets que renferme cette dernière. Mais ça bien entendu jamais on en parlera dans un cours d histoire. Elle se demanda si le professeur savait qu Hitler avait collaboré avec le pape de l’époque, Pie XII. Aenomel rougis à cette idée, bien trop timide pour avoir l’audace de poser une tel question et ce devant toute la classe. Pas du tout concentrée sur le cours, elle regarda les gens autour d’elle. Ses yeux bleus traversèrent la salle de part en part, la plupart des élèves discutaient avec leur voisin des derniers ragots et actualités de leur vie. D’autres étaient sur leur écran portable en train de jouer. Certains écoutaient même leur musique. La jeune fille de 17 ans regarda le professeur. Les paroles de ce dernier se noient dans le flot sans fin des bruits créés par la classe. Le respect, si il était présent, était difficile à voir. Voici donc l’image de l’éducation occidentale se dit Aenomel, celle que l’on prise tant dans les médias. Malgré le brouhaha incessant Aenomel capta quelques paroles : « l’attaque de Pearl Harbor fût une total surprise pour les américain ». La jeune femme ouvrit grand les yeux à ce commentaire. N’est-il pas Un professeur d’histoire ne devrait-il pas savoir que les américains savaient que les japonais arrivaient d’où le fais qu’ils aient retiré les trois porte-avions du port quelque heure auparavant ? Et que cette attaque servirait de parfait prétexte pour une déclaration de guerre ? Face à ce commentaire, Aenomel décrocha, sourit devant la naïveté de certaines personnes. Restant positive, elle sortit un livre de son sac : « les crimes de Napoléon ». Voilà un sujet dont on devrait plus souvent traiter lors des cours d’histoires. De manière presque religieuse elle ouvrit le livre et caressa le fin papier appréciant la texture de ce dernier. Oubliant la seconde guerre mondiale, le professeur et le bruit tout autour d’elle, Aenomel se plongea dans la lecture de son livre. La sonnerie de l’école fût la seul chose qui ramena Aenomel à la réalité, déçue d’arrêter de lire mais en même temps ravie car cela la délivrait de ce cours barbant. Rangeant rapidement son livre et ses cahiers, elle prit rapidement la direction de la porte de sortie en saluant timidement sont professeur. Ce dernier la regardait d’un mauvais œil surement dû au fait qu’elle lisait pendant son cours. Peu importe ce n’est pas elle qui aura une mauvaise note à son prochain examen. Arrivant dans le couloir elle se fit prendre par surprise par la marée humaine. Essayant de ne pas se faire bousculée ou de se prendre un commentaire désobligeant de la part de ces camarade, Aenomel se mit à slalomer entre les élèves pour arriver le plus vite possible au niveau de la sortie sud du lycée. Elle déteste être parmi la foule : être coller les uns contre les autres, sentir leur odeur et leur transpiration. Elle suffoque dans un tel environnement et elle n’a qu’une envie c’est d’être enfin seul, loin de cette école. Contournant un sixième année elle sortit du couloir par une petite porte et prit l’escalier en face d’elle, descendit deux étages et se trouva dans un nouveau couloir bien moins fréquenté, seulement trois étudiant s’y trouvaient. Ils stoppèrent leur discutions et regardèrent Aenomel passer devant eux. Cette dernière leur adressa un sourire timide. N’attendant pas de réponse de leur part elle sortie promptement du petit couloir pour enfin sentir l’air frais et la douce chaleur du coucher de soleil. Elle resta quelques instants immobile, appréciant ce doux moment de liberté. Très cours cependant, les gens commençaient à sortir en rigolant et en braillant. La jeune fille aux cheveux d’or se remis en route. Sortant de l’enceinte du Lycée elle prit l’itinéraire pour rentrer chez elle. La ville de son lycée n’est pas sa ville natale mais Aenomel se sentait bien dans celle-ci, calme, petite, tout y était présent : Musé, cinéma, espaces vert. Elle avait décidément un charme qui faisait qu’elle aimait s’y balader. Les voitures commençaient à s’accumuler devant l’entrée, Aenomel accéléra afin de s’éloigner le plus rapidement possible. Laissant derrière elle les cris et l'agitation typique des jeunes, elle remonta la rue menant au cinéma et vers le centre-ville. Passant devant l’hôtel de ville elle croisa l habituel BNW. Tous les jours ou presque, cette BMW passe dans le cartier dans les environs des (vers) 18 h. La voiture était vieille et tombait en désuétude : le pare-choc avant gauche en ruine, à peine raccorder à l avant de la voiture, de la mousse verte était présente sur le bord des vitres et la vidange d huile n as sûrement pas était faite car la voiture cracha d épais nuages de fumée. Contrairement au fossile que devenais la voiture son conducteur est jeune et très séduisant. Cheveux brun foncés variant parfois vers le châtain suivant le reflet du soleil. Des fossettes profondes marquaient son visage lui donnant un charme fou, comme une promesse de beauté au moindre sourire. (Attention à la description, on dirait que tu vas commencer à donner une liste d’attributs mais ensuite tu reprends avec une narration normale, il faut choisir l’un ou l’autre Olivier ! Ahah) Ses yeux verts étaient concentrés sur la route et ne remarquèrent pas qu'Aenomel le regardait avec avidité. Elle détourna le regard et rougis de l avoir autant fixer. Il faut dire qu’il avait du charme et nombreuses sont les filles du Lycée à l avoir remarqué. Nombre d entre elle voulait savoir qui il était mais Aenomel ne désirait pas le savoir, sous son air charmeur elle sous entendait (sentait) une certaine arrogance. Rêveuse elle continua son chemin de bon train, laissant son corps diriger ses pas. Passant devant les anciens murs médiévaux de la ville, le viaduc et ses milles et un nénufars, le centre ville et sa pharmacie, Aenomel arriva enfin chez elle. - Bonjour Maman !!!!!!! Personne ne lui répondit, déçue mais pas surprise que sa mère ne soit pas là, la jeune fille fit demi tour, ferma la porte et reprit la route. Quelques centaines de mètres plus loin, un tunnel et deux tournants, (trop descriptif) la jeune fille arriva devant une maison plus traditionnel garnis de poutres en bois et de vitre soufflée à l'ancienne. Aenomel sonna et entendit les pas lents et calculés qui venaient lui ouvrir. C’est avec un grand sourire qu’elle fût accueillit par sa grand- mère - Ta mère est encore absente ? La jolie blonde ne répondit pas et son silence en disait long. La vieille femme enroula ses bras autour de la jeune fille de manière protectrice, presque maternelle et la fit rentrer dans l'enceinte de sa demeure. Hélène, la mère de son père, représente beaucoup pour l adolescente. Elle fût présente lors des moments difficiles que la jeune fille traversa, la où son père travaillait et sa mère s amusait à dépenser l'argent que ce dernier avait si durement gagné. - As tu faim ma puce ? Aenomel répondit non a l invitation mais avec un sourire malicieux sa grand mère ajouta : « J ai une petite tarte au pommes et aux noix fraiches qui attend dans le four. » - Tu sais comment me prendre par les sentiments, n est ce pas ? Répondit Aenomel avec un sourire complice. Sans répondre la vieille femme fit chauffer de l eau et prépara une théière pour accompagner la tarte, qu’elle sortit du four. L odeur réconfortante de la tarte fit uploads/Litterature/ livre-aenomel-apocalyspe.pdf
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- Publié le Jul 20, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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