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1/7 c:\users\serge\documents\pinel\textes_serge_en_cours\nde_et_h3_5.docx Tentative d’interprétation des expériences de mort imminente A partir du modèle cellulaire de Pinel par Serge Nahon Résumé : Nous avons tous lu des histoires extraordinaires relatives aux expériences dites de mort imminentes (EMI) appelées aussi NDE (Near Death Experiment). Elles reposent toutes sur la sortie –réelle ou perçue comme telle- du « corps psychique ». Le modèle cellulaire de Pinel fait intervenir 3 champs : H1, H2 et H3 ce dernier étant physico-psycho-biologique ce qui signifie qu’une partie de ce champ est lié au psychisme. En revoyant ce modèle cellulaire il semble possible d’en déduire une « interprétation » pour essayer de comprendre pourquoi le corps psychique - donc lié au champ H3 - peut « sortir » sous certaines conditions seulement. L’interprétation proposée repose essentiellement sur le fait que ce champ H3 apparait dans l’équation fondamentale comme complètement séparé des champs H1 et H2 qui eux, sont attachés au fonctionnement de la cellule par l’intermédiaire d’un coefficient γ. En conséquence si le fonctionnement de la cellule est affecté, cela ne touchera pas le champ H3. Par ailleurs l’expérience courante montre que le psychisme est en quelque sorte « bien accroché au corps physique » quand la cellule fonctionne correctement, mais si ce n’est pas le cas cet « accrochage » est affaibli et cela permet au champ H3 de « s’échapper » plus facilement du corps physique. Quand la cellule revient à son état normal elle « raccroche solidement » H3 qui revient dans le corps physique. Il faut bien dire que cette « interprétation » n’a aucune prétention et qu’elle doit être prise avec .....une grande prudence ! Table des matières Quelques histoires surprenantes ........................................................................... 2 Exemple de recherches en cours : ......................................................................... 2 Tentative « d’interprétation » des EMI à partir du modèle cellulaire d’Emile Pinel. ...................................................................................................................... 3 Préliminaires : .................................................................................................... 3 Le principe de l’interprétation proposée : ........................................................ 4 Rappel du fonctionnement des 3 champs .......................................................... 4 L’interprétation proposée .................................................................................. 5 Conclusion : ........................................................................................................... 6 Bibliographie ......................................................................................................... 7 2/7 Quelques histoires surprenantes Les histoires de ceux qui ont vécu une EMI sont impressionnantes. En voici trois exemples issus d’émissions de Télévision sur le sujet. Histoire N°1 : Un homme en état « hors du corps » raconte qu’il a vu son frère à l’hôpital et qu’il a voulu lui faire signe en le touchant .....mais..... il l’a « traversé » et le frère n’a rien senti ! Histoire N° 2 : Une personne « hors du corps » a pu traverser un mur épais et voir à l’intérieur de ce mur quelque chose qui avait été caché et qui a effectivement été découvert à l’ouverture du mur ! Histoire N°3 Un patient raconte que pendant l’opération il a l’impression d’être au plafond, il « descend » et va sous la table d’opération où il lit un numéro de série qui va s’avérer être exact à la grande surprise du chirurgien ... Exemple de recherches en cours : Bien évidemment des recherches sont en cours sur ces phénomènes. Voici, par exemple, un extrait de la revue « La Vie » du 30 octobre 2008. Il s’agit de l’article de Claire Legros, intitulé « Expérience de Mort aux limites de la Raison » « Le projet ressemble à une histoire de fous. Il a pourtant été accepté par 25 hôpitaux anglais et américains. Dans leurs salles de réanimation vont être installées des étagères près du plafond. Des images y seront affichées, face vers le haut, de façon à ce qu’elles ne soient vues que par des personnes ....flottant dans l’espace et survolant la salle ! L’étude n’ a rien d’une plaisanterie : elle va durer trois ans et sera coordonnée par l’Université de Southampton en Grande Bretagne. Son but ? Vérifier si des patients peuvent décrire ces images - théoriquement invisibles depuis leur lit - après réanimation. L’expérience n’est pas unique en son genre. En France l’hôpital de Sarlat (Dordogne) vient de mettre en place un projet équivalent, sauf que cette fois il s’agit d’une boite hermétiquement fermée..... » Compte tenu des trois histoires ci-dessus on peut présumer que les résultats de ces projets seront positif s mais l’un des apport s les plus importants sera 3/7 sans doute un « contrôle » rigoureux en bonne et due forme de ces faits surprenants a priori. Comme l’écrivait Laplace « Le poids des preuves doit être proportionné à l’étrangeté des faits » Si les contrôles s’avèrent positifs, on pourra alors se lancer dans une tentative d’explication car, comme l’écrivait Fontenelle (1657-1757) dans son « Histoire des oracles » : « Assurons nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause. Il est vrai que cette méthode est bien lente pour la plupart des gens qui courent naturellement à la cause, et passent par dessus la vérité du fait;Mais enfin nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point » Ici je vais me risquer à admettre ces faits, et à en tenter une interprétation en m’appuyant sur le modèle cellulaire de Pinel. Tentative « d’interprétation » des EMI à partir du modèle cellulaire d’Emile Pinel. Préliminaires : Dans des articles précédents j’ai rappelé que Pinel avait développé une théorie du fonctionnement d’une cellule et montré l’existence de 3 champs H1, H2 et H3 . Je reprends ici une partie de mon article « Présentation succincte des travaux d’Emile Pinel-V2 » « L’équation fondamentale est la suivante : (1) E = γ [ A x H1 + B x H2 ] + C x (dH3/dT) E correspond à un voltage et H1, H2, H3 sont les 3 champs cités. γ, A, B, et C sont des coefficients (remarque : l’équation est homogène car ces coefficients sont dimensionnels) A la mort de la cellule il n’y a plus de voltage et donc E est nul. Il s’ensuit bien sûr que la partie à droite du signe égal doit être nulle elle aussi. Il se trouve qu’à la mort de la cellule le coefficient « γ » est nul , ce qui rend les champs H1 et H2 inactifs. C’est pourquoi nous disons – pour simplifier- que les champs H1 et H2 "meurent" . Mais le champ H3 ne "meurt" pas, c'est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l'individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu'il a soignés. » Il faut remarquer que les mouvements de la cellule, qui reflètent sa vie, sont représentés dans l’équation (1) ci-dessus par le seul coefficient γ. On voit donc que déjà, dans cette équation, le psychisme - porté par le champ H3 - est en quelque sorte séparé du fonctionnement de la cellule. 4/7 Le principe de l’interprétation proposée : L’idée de départ, osée, il faut bien le dire, est la suivante : Admettons que le coefficient γ ne soit pas nul mais très petit parce que les cellules du patient sur la table d’opération sont mal en point mais pas mortes... Le voltage E serait alors si faible qu’il deviendrait indétectable par nos moyens de mesure, l’action des champs H1 et H2 serait très affaiblis mais pas celle du dH3/dT qui comme on le voit dans l’équation (1) n’est pas affecté par le coefficient γ. Dans ces conditions, le psychisme qui est lié à H3, n’est nullement touché par l’état cellulaire et peut se « promener » hors du corps .Mais alors comment expliquer qu’à l’état normal de la cellule, cela ne se produit pas ? Pourquoi le champ H3 ne se « promène » pas hors du corps quand la cellule est à l’état normal ? Pourquoi n’avons-nous pas, à l’état normal et de façon courante des expériences de « sortie du corps » ? Une proposition de réponse à cette question est donnée dans le texte ci- dessous, mais continuons jusqu’au « réveil » du patient. Au bout d’un moment et pour une raison « X » la cellule se relance – le coefficient γ reprend une valeur « normale », les champs H1 et H2 redeviennent opérationnels et les échanges d’information entre H1, H2 et H3 retrouvent leur « bonne qualité ». Bien sûr tout cela est plutôt flou... mais reprenons le modèle de Pinel. Rappel du fonctionnement des 3 champs Revoyons comment fonctionnent ces 3 champs qui en réalité sont les trois composantes d’un champ unique. Dans « Physique de la Cellule Vivante » page 51, Pinel écrit : « Dans mes précédents ouvrages on a vu que ce champ, dans le noyau cellulaire, a trois composantes ayant des caractères propres : l’une d’elles H², dans les équations, est précédée du symbole imaginaire i de Cauchy, c’est par conséquent, une composante devant être douée de propriétés dont certaines n’appartiennent pas au domaine réel. [......] La composante H1 est un champ magnétique que l’on peut considérer comme exécutant. Le troisième champ uploads/Litterature/ nde-et-h3-5.pdf

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