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StuDocu n'est pas sponsorisé ou supporté par une université ou école Psychologie du développement 1 Psychologie du développement (Université du Québec à Montréal) StuDocu n'est pas sponsorisé ou supporté par une université ou école Psychologie du développement 1 Psychologie du développement (Université du Québec à Montréal) Téléchargé par felipe leon (felipeleonc@gmail.com) lOMoARcPSD|7669432 Psychologie du développement (PSY4100) EXAMEN 56 QUESTIONS À CHOIX MULTIPLES 6 VRAI OU FAUX 6 PHRASES À COMPLÉTER 6 QUESTIONS À COURT DÉVELOPPEMENT (QUELQUES PHRASES) Touche à la fois l’information dans le livre et ce qui est présenter dans le cours. La grande majorité de l’examen va porter sur la matière qui se chevauche mais il y aura de la matière sur la méthodologie dans le livre qui a pas été présenté en classe, sur certaine matière aussi de la classe qui n’était pas dans le livre. Les définitions sont importantes, comprendre les concepts, les distinguer entre eux c’est important. Il faut connaître les âges en fonction du stade. Peut avoir des questions sur les articles dans le livre. Cours 1, Introduction à la psychologie du développement Introduction à la psychologie du développement À quoi s’intéresse la psychologie du développement ? o Les chercheurs en psychologie du développement, essaie de dégager à partir de ce qu’ils observent le pourquoi les individus changent. On essaie de dégager des explications à l’ensemble des individus qui proviennent de milieux et de contextes variés. On s’intéresse à comprendre le développement des individus pour intervenir quand le développement dévie vers quelque chose de problématique pour le ramener vers une trajectoire qui est plus adapté. On veut aussi pouvoir prédire ce qui s’en vient. o Tout le monde fait des observations, ce qui est différent chez les chercheurs c’est qu’on va tester nos hypothèses avec des méthodes qui sont vigoureuses. L’étude du développement humain de nos jours o Le cycle complet de la vie, de la conception à la mort. L’accent n’est plus mis juste sur l’enfance. On voyait la période de l’âge adulte comme une période de vie très stable. Mais l’évolution de l’espérance de vie fait en sorte que la période de l’âge adulte est beaucoup plus longue et qu’il y a beaucoup plus d’instabilité. La vieillesse aussi n’est plus vue comme une petite période d’instabilité. On veut reconnaître les facteurs qui prévient le déclin cognitif. o Les changements importants qui se produisent à chaque période du développement humain. À l’enfance les changements sont beaucoup plus visuelles, mais il y en a autant à chaque période de la vie. o Ces changements sont interprétés en fonction de la culture et du contexte dans lesquels ils ont lieu. Domaine du développement o Domaines distincts mais ils ont une influence l’une sur l’autre. o Domaine physique : aspects liés à la santé, à la croissance et au vieillissement du corps, à l’évolution du cerveau, au développement des capacités sensorielles et motrices. o Domaine cognitif : aspects liés à la pensée, au langage, à la mémoire et à l’apprentissage de diverses habiletés intellectuelles (la résolution de problèmes), ainsi qu’à la détérioration des fonctions cognitives associées au vieillissement mais aussi la prévention. o Domaine socioaffectif : Le domaine social : aspects liés aux relations de l’individu avec les autres et avec la société, le développement des habiletés sociales. Qualité des interactions avec la famille, les amis, à l’école, etc. Le domaine de la personnalité : aspects liés au concept de soi (qui suis-je, comment on se perçoit), aux émotions et aux réactions de l’individu face à son environnement. Ce sont des conduites stables. 1 Téléchargé par felipe leon (felipeleonc@gmail.com) lOMoARcPSD|7669432 o Influence simultanées : bébé de 12 mois Physique : il apprend à marcher, ces premiers pas Cognitif : meilleure représentation mentale de l’envi, permanence de l’objet Social : recherche du parent, il peut se diriger vers lui Personnalité : niveau d’exploration lié aux réactions envers la nouveauté (exploration très riche ou plus faible selon si l’enfant a peur ou non) Définition : L’étude scientifique des phénomènes de changement et de continuité qui marquent la vie d’un individu et des facteurs qui influent sur ces phénomènes. o Changements Changement quantitatifs (compter ou mesurer) La taille physique (l’enfant grandi de 4cm) ou la richesse du vocabulaire (l’enfant utilise 100 mots plutôt que 10). Changement qualitatifs (nature ou organisation interne de l’individu) Apparition d’un comportement différent, nouveaux acquis émotionnels d’un enfant qui devient adolescent (il devient plus empathique) o Continuité : certains traits de caractère perdurent de la naissance jusqu’à un âge avancé. Ce type de continuité s’explique presque toujours par des influences biologiques : comme nous gardons nos prédispositions génétiques toute notre vie, certains aspects de notre comportement tendent à rester relativement constants. Les recherches montrent qu’environ 10-15% des enfants très timides et 10-15% des enfants très sociables le seront encore à l’âge adulte (Kagan, 1989) Même si on a des vulnérabilités psychologiques, l’environnement pour compenser jusqu’à un certain point. Continuité cumulative : renforcé par nos choix personnels On cherche à maximiser notre plaisir et minimiser les émotions négatives. Un enfant bon dans les sports et mauvais à l’école maximisera son énergie dans le sport donc à long terme il sera très bon dans les sports encore et continuera à avoir de la difficulté à l’école. Continuité interactive : renforcé par la réaction des autres Enfant bon dans les sports, quand il réussit bien il est encouragé par ses parents et ses pairs. Il va donc continuer dans la même voix. Le tempérament o Style comportemental de l’enfant : le comment du comportement o Relativement stable dans le temps o Présent très tôt dans le développement o Une partie prédéterminée à la naissance : génétique o En partie modifiable par l’expérience Thomas & Chess (1960) o Tempérament : réactions comportementales basées sur des différences biologiques pouvant être influencées par le contexte social. o 9 dimensions : Seuil de réaction : à quel point l’enfant est facilement dérangé par des changements dans son environnement (par un bruit, changement de lumière) Rythme : à quel point l’enfant s’intègre bien dans une routine (manger à la même heure) Approche/retrait : à quel point l’enfant approche la nouveauté ou à l’inverse évite la nouveauté (une nouvelle pièce avec des jouets, va-t-il s’approcher) Niveau d’activité : est-ce qu’il est capable de rester assis durant un exercice ou il a besoin de bouger 2 Téléchargé par felipe leon (felipeleonc@gmail.com) lOMoARcPSD|7669432 Adaptabilité : à quel point l’enfant peut s’adapter à des changements de routine (l’été il se réveille à 8 et durant l’école à 7, comment il s’adapte) Intensité de la réaction : à quel point c’est intense ou minimisé Propension à la distraction : à quel point l’enfant lorsqu’il est sur une tâche il est facilement distrait Capacité d’attention et persistance : à quel point l’enfant peut persister sur une tâche qui est difficile ou frustrante Qualité de l’humeur : est-ce que l’enfant en général est de bonne humeur ou de mauvaise humeur o Conséquences des caractéristiques du tempérament, Goodness of fit (à quel point l’enfant s’intègre bien avec l’environnement de sa famille) Impose des contraintes et des opportunités dans les interactions sociales Caractéristiques de l’enfant interagissent avec celles de l’entourage Importance de l’ajustement réciproque entre l’enfant et le parent On aide le parent à comprendre son tempérament à s’ajuster au tempérament de son enfant. Le rôle du parent c’est d’aider l’enfant alors c’est de donner à l’enfant une stratégie pour composer avec les diférents tempéraments. L’inhibition comportementale o La tendance à réagir négativement et à se retirer face à de nouvelles personnes, situations, événements et objets. o Les enfants inhibés sont souvent décrits comme étant timides ou gênés. o Plus spécifiquement, «vulnérabilité à l'incertitude, causée par des événements inconnus ou nouveaux, qui ne peuvent pas être facilement assimilés». Ils n’ont pas peur, ils ne tolèrent seulement pas l’incertitude ce qui est très problématique pour eux. o Selon Kagan (1999), la caractéristique fondamentale de l'inhibition est une intolérance à l'incertitude plutôt qu’une prédisposition à la peur. o Enfants inhibés Comportements introvertis en présence d’étrangers ou dans de nouvelles situations, tels que : Timidité, appréhension Retrait Cessation ou interruption de vocalisations ou d’activités en cours o Aussitôt qu’un étranger entre dans la salle il arrête ce qu’il fait. Affect négatif, pleurs Lors d’observation dans un contexte expérimental : Prennent typiquement plus de temps avant d’explorer leur environnement Restent proches de leur parent Parlent moins Jouent moins Dès leur naissance, les enfants inhibés auraient un seuil d’activation du système nerveux sympathique (lutte ou fuite) plus bas, particulièrement en réaction aux stimuli nouveaux, incertains ou ambigus. Donc, un stimulus moins intense serait suffisant pour activer leur système nerveux comparé aux enfants non inhibés. Ils sont activés très facilement. Cette vulnérabilité uploads/Litterature/ psychologie-du-developpement-1.pdf
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- Publié le Aoû 12, 2021
- Catégorie Literature / Litté...
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