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Présente? to Zbc Xibrarç of tbe XHniPcrôitç of ^Toronto b\2 Xabi? jfalconer from tbe boohs et tbe late Sir IRobert Jfalconer, Hx.c./id.o., prcs(?cnt of tbe "anlversitç of Goronto, 1907=1932 Digitized by the Internet Archive in 2010 with funding from University of Ottawa http://www.archive.org/details/tudesurlegrecdOOvite ÉTUDE GRFX DU NOUVEAU TESTAMENT LE VERBE : Syntaxe des Propositions. ETUDE GREC DU NOUVEAlî TESTAMENT LE VERBE : Syntaxe des Propositions. M. L'ABBÉ Joseph VITEAU KLÈVE DIPLÔMÉ DE l'ÉCOLE DES UAUTES ÉTUDES DE L.V SORISÛN.NE ANCIEN ÉLÈVE DE l'ÉCOLE DES CARMES PARIS EMILE BOUILLON, ÉDITEUR 67, RUE DE RICHELIEU, 6" 1893 Tous droits réservés. S^' / M. LE COMTE DE CHAAIBRUX ANCIEN DEPUTE, ANCIEN SENATEUR A LA MEMOIRE DE LA COMTESSE MARIE-JEANNE DE GHAMBRUN ADDITIONS ET CORRECTIONS N. B. Le texte du N. T. est cité tantôt d'après C. Tischendorf, tantôt d'après Westcott et Hort. — Le texte varie parfois d'une manière im- portante entre les deux éditions. — L'ortliograpliie varie beaucoup, non seulement d'une édition à l'autre, mais même d'un livre à l'autre dans la même édition. — La ponctuation, et, dans certains cas, l'accentuation varient de même. Le texte des LXX est ciié d'après G. Tischendorf et Nestlé. Mais les citations des LXX qui se trouvent dans le N. T. peuvent ne pas s'ac- corder avec ce texte. Nous ne relevons pas ces variations. Page XV, ligne 21, lire 6io"/.ôpa£. — XXI — 16 — y.T.-a.y.izx'i.x. — LX — 34 — Novus. — o — 47 — (j-r,. — 14 — 22 — (OCTTÏ. — 24 — 31 — /Ot'.v. — 26 — 6 — nous aimerions à écrire. — — — 18 — 6côv;— Et ajouter : L'exemple des LXX (-/.ai t(; èyÙ) oi/.ocoawv a-j-:w olxov;) nous paraît décisif en faveur de la pre- mière interprétation. Page 30-31, sub lit. c, ajouter : LXX, i R., XX, 10 : v.r.t Aavlo ttoô; 'Iw- vaôàv Ti'î àTtaYYcO.r, (lot âàv aTioxpiÔ?,... ; Page 36, n° 76, "cf. LXX, Tobie,' VIU, 12; Daniel, III, 15. — 37 — 19 — employée avec négation. — 38 — 33 — jj-r,. — 39 — 13 — ok. — 43 — 27 — oCto;. — 49-30, exemple de o-i de citation et de iléclaratiou en même temps, J., XX, 18. Page 30 — 12 : cette assimilation est post-classique. — — — 38, lire (7U[i[Aap-;-jpàJ. — 59 — 26 — Ô£ty.vy(i.'.. — 60, n» 124, la proposition est introduite par oTav {=T.6-t), L., XXI, 7 ; par èàv avec l'indicatif, dans les LXX, Job, XXII, 3. Page 61, ligne 4, lire ù-kô-.z. — 64 — 8 — £Î<7-r,).0£V. — 76 — 9 - -•-,-. — 92 — 38 — abstraction. — 100 — 1 — (L. — 123 — 27 — subjonctif, — 134, cf. encore L., XVIII, 29-30, et Mar., X, 29-30; et LXX, Es. ADDITIONS ET CORRECTIONS. X, 14 : y.a'; oùx £<mv o; cix^vJle-xi u.z f, àvTîiTrr, ulo-.. Page 148 — 30 — î'vai. — 163, n» 270, sub lit. d, cf. LXX, 2 M>ic., VII, 9 : à/, to-3 ^rapdvTo; Page 182, ligne 19, lire : à l'une. — 201 — 2 — /.al. — 205 — 25 — Ko-Jç'.dov... ; — 2U — Itj — genre» (KOCH, 130, 3, 6). — 218 — 33 — oi/.a-.o;. ETUDE GREC DU NOUVEAU TESTAMEiNT LE VERBE : Syntaxe des Propositions. 4 INTRODUCTION I I. — En présentant comme thèse de doctorat ses Éludes sur la langue et la grammaire de Tite-Live,M.. Riemann adonné de ce genre de travail une apologie qui ne nous laisse rien à dire et à laquelle nous sommes heureux de renvoyer. Nous abordons immédiatement les considérations générales qui doivent précéder l'étude spéciale de la syntaxe des propo- sitions dans le grec du N. T. Nous examinerons rapidement ce qu'est le grec post- classique, et, en particulier, le grec du N. T., auquel le premier sert pour ainsi dire de cadre. Puis, nous déterminerons les li- mites de notre travail; nous indiquerons pour quelles raisons nous l'avons entrepris, et de quelle manière nous l'avons exécuté. II Formation du Grec post-classique. II.— « Une langue, dit E. A. Sophocles\ ne change pas instan- tanément, mais peu à peu, par degrés insensibles ; il est donc impossible de fixer le moment précis où un état de la langue a succédé à un autre. Quoique Tattique soit arrivé à son apogée pendant les guerres avec la Perse, le Péloponnèse et la Macé- 1. Cette citation et les suivantes sont .extraites de l'introduction mise par E. So- phocles en tète do son Greek Lexicon, etc. On peut comparer F.-W.- A. Mullach, Grammalik der (jricc. Vulf/arspraclte ht liislorischer lùtlicickelttn;/ ; Intriuluc- lion, 1-3.3. IV INTHODUCTION. doine, il ne faut pas conclure de là que celte apogée ait com- mencé le lendemain de l'incendie de Sardes et Uni le jour de la mort d'Alexandre. « L'histoire de la langue grecque se divise commodémonl en six i)ôriodes, savoir : « IV. — La période alexandrinc : de l'avènement au trône de Ptolémée Philadelphe (en 283 avant J.-G.) à la réduction de la Grèce en province romaine (146 avant J.-C). « V. — La période romaine : de 146 avant notre ère au trans- fert du siège de l'empire à Gonstanlinople en 330. « VI. — La période byzantine : de l'an 330 à la prise de Constantinople par les Turcs en 1453. » La langue de la quatrième et de la cinquième période est le grec post-classique, qui forme la transition entre le grec clas- sique de la troisième et le grec byzantin de la sixième. « Arrivé au pins haut point de son développement et à son apogée en tant que langue littéraire, l'attique tenait la tête des dialectes grecs... Dès lors, il commence à les dominer et à les refouler... » Au m° siècle, le dialecte attique a déjà pénétré chez les Ioniens d'Asie (C. 1. G., 3137, 2832, 3043, 3067, 2833, 3069). Au premier siècle avant J.-C, les Béotiens l'ont adopté, comme le montrent clairement les inscriptions (C. /. G., 1370). L'éolien d'Asie et quelques divisions du dorien résistent à ses empiétements jusqu'au second siècle de notre ère (C. /. G., 2176, 2181, 2187, 2189, 2190, 3324; 2060, 1346, 1317, 1124). En Macédoine, la cour royale et les personnes lettrées sont familières avec la langue et la littérature d'Athènes. « Dans la seconde moitié du second siècle de notre ère, l'attique a réussi à supplanter Ions les autres dialectes (AnisTiD,, I, 293). » « En Egypte et dans la plus grande partie de l'Asie occiden- tale, le grec n'était pas la langue indigène. Ptolémée, fils de Lagus, premier roi macédonien de l'Egypte, introduisit le dia- INTRODUCTION. V lecte attique dans ce pays. Les Grecs qui s'y établissent suivent l'exemple du roi, de ses officiers et de ses flatteurs. Dès lors, les inscriptions grecques de l'Egypte sont en attique [C. I. G., III). » « Séleucus et ses successeurs introduisent l'attique en Syrie ; Eumène et ses successeurs dans l'intérieur de l'Asie- Mineure. Les deux grands centres de ces royautés macédo- niennes d'Asie étaient Antioche et Pergame. (Cf. Josêp., Antiq., XVII, II, 4; Bel. JucL, II, 14, 4; III, 9, 1. Pour les inscriptions grecques de la Syrie, de l'Assyrie et de la Mésopo- tamie, voy. C. /. G., III, p. 211 seqq.) » On parlait et on lisait aussi le grec jusque chez les Parthes. III. La Langue commune. — Avant Alexandre, il n'existe que des dialectes grecs ; la langue grecque n'existe pas ; ce terme ne pourrait être appliqué qu'à l'ensemble des dialectes généralement parlés et parfois écrits des deux côtés de la mer Egée, dans les îles et les colonies grecques. Quatre ou cinq seulement de ces dialectes avaient été employés, dans une certaine mesure, pour des œuvres littéraires. A l'époque de la diffusion de l'hellénisme, l'attique seul servait en prose et en poésie pour les genres les plus variés. Ce fut donc l'attique comme il vient d'être dit, qui remplaça les autres dialectes. ft A partir du second siècle avant notre ère, les grammairiens lui donnent le nom de langue commune (-î) xotv/^), parfois celui de langue grecque [% 'EXXT,vtx7,), pour le distinguer du dialecte attique qui est proprement la langue des auteurs attiques de l'époque classique. Quand ils appliquent par ailleurs l'épithète de xo'.vY, , au dialecte de Pindare par exemple, ce mot reprend son sens ordinaire, et ils veulent dire simplement que ce poète a écrit dans un dialecte mêlé; on peut dire, à bon droit, la même chose de la langue d'Homère et d'Hésiode. » Pendant les périodes alexandrine et gréco-romaine, mais surtout pendant la seconde, la langue commune éVàil \A\\s ow moins parlée et écrite, non seulement dans les pays grecs, d'un dialecte autre que l'attique, mais même chez des races VI INTRODUCTION. non grecques, et « dans des provinces singulièrement éloi- gnées : en Espagne et en Mésopotamie, et depuis l'Ethiopie jusqu'à la Sarmatie. G'ét-ait une sorte de langue universelle, un moyen de communication internationale. Toute personne ([ui avait uploads/Litterature/ viteau-etude-sur-le-grec-du-nouveau-testament-le-verbe-syntaxe-des-prepositions-1-1893-pdf.pdf
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- Publié le Mar 25, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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