RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUP
RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITÉ DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE D’ORAN MOHAMED BOUDIAF U.S.T.O – MB FACULTÉ DE CHIMIE DÉPARTEMENT DE CHIMIE ORGANIQUE INDUSTRIEL 3ÉMÉ ANNÉE HYGIÈNE SÉCURITÉ INDUSTRIEL THÈME: GESTION DES RISQUE ASSURABLES Madame: khiricie Si Youcef Azzeddine Mortada Ikache Kaarer Khaled Si Youcef Azzeddine Mortada Ikache Kaarer Khaled Plan de Travail Plan de Travail on Définition Objectifs Avant le sinistre Apres le sinistre Processus de gestion des risques 1- Identifier les risques 2 - Évaluation des risques 3 - Le contrôle des risques 4 - L’implantation de la stratégie 5 - Le suivis 6 - Le contrôle 7 - La Communication 8 - Le financement Conclusion Introduction Introduction le secteur industriel est en plein essor depuis des années en algerie, il est aussi exposé à des risques plus ou moins considérables dont les conséquences sont souvent pesantes sur les entreprises. Un incendie, une intoxication, une perte de l’exploitation sont autant de risques qui guettent c’est entreprise, quelle que soit leurs taille. Ce qui reviens aux dirigeants d’entreprise de gérer et avant tout d’évaluer ces risques. Pour cela, il faut les identifier puis les diminuer au minimum en assument financièrement la charge de ceux qu'ils jugeront acceptables, traiter par des tiers selon des processus d'externalisation (ex. assurance crédit) les risques liés à certaines activités, et enfin transférer certains risques auprès de professionnels de l'assurance qui assureront une garantie financière. Définition de la gestion des risques Il est défini dans la norme ISO 31000 (Management du risque — Principes et lignes directrices) [ISO 2009] comme des « activités coordonnées dans le but de diriger et piloter un organisme (par exemple, une entreprise) vis-à-vis du risque ». La gestion des risques est un effort organisé visant à réduire les risques qui pourraient compromettre la réalisation des missions et des objectifs d’une organisation. Elle est née dans les secteurs de l’assurance et de l’industrie et s’étend désormais à toutes les sphères de la société La gestion des risques est un effort organisé visant à réduire les risques qui pourraient compromettre la réalisation des missions et des objectifs d’une organisation. Elle est née dans les secteurs de l’assurance et de l’industrie et s’étend désormais à toutes les sphères de la société La gestion des risques met l'accent sur l'identification de ce qui pourrait mal tourner, l'évaluation de quels risques devraient être traités et la mise en œuvre de stratégies pour faire face à ces risques. Les entreprises ayant identifié les risques seront mieux préparées et auront une façon plus rentable de les traiter. Le risque en assurance Dans le jargon assurantiel, la notion de risque est la probabilité qu'un dommage, un accident survienne. C'est contre cette probabilité que le particulier ou le professionnel souhaite s'assurer. L'assurance permet de prendre en charge (suivant les garanties du contrat) les éventuelles conséquences financières humaines et/ou matérielles. Il est alors possible de couvrir ce risque via un contrat d’assurance - on parle alors de « risque assurable ». Ce risque doit alors présenter certaines caractéristiques : Il doit être licite, c’est-à-dire non contraire à la loi Il doit être licite, c’est-à-dire non contraire à la loi Il doit être futur Il doit être futur Il doit être aléatoire Il doit être aléatoire Il doit être assez courant pour permettre de calculer sa probabilité Il doit être assez courant pour permettre de calculer sa probabilité Il doit être réel, c’est-à-dire que le bien assuré doit exister Il doit être réel, c’est-à-dire que le bien assuré doit exister Il doit être involontaire, c’est-à- dire indépendant de la volonté de l’assuré Il doit être involontaire, c’est-à- dire indépendant de la volonté de l’assuré Pour qu’une compagnie d’assurances ou une mutuelle accepte de garantir un aléa, elle doit être en mesure de déterminer un tarif pour le risque à assurer. Il s’agit bien entendu de la prime d’assurance selon le type de contrat concerné. Pour la détermination du montant du tarif d’assurance, il est indispensable que la perte moyenne soit finie, tout comme la variabilité des pertes. Dans le cas contraire, le risque ne satisfaisant pas à ces exigences ne pourrait pas être assurable. Si l'assureur accepte d'assurer le demandeur, ce dernier doit alors verser une cotisation. Elle peut être mensuelle et déterminée en amont par l'assureur dans le contrat. LES PRINCIPAUX OBJECTIFS DE LA GESTION DES RISQUES LES PRINCIPAUX OBJECTIFS DE LA GESTION DES RISQUES Analyser et gérer l’ensemble des risques (risques financiers, humains, du système d’information, stratégiques...) afin d’éviter les effets néfaste d’un fonctionnement Proposer et coordonner la mise en place des plans d’actions pour réduire et / ou changer le profil de ces risques. Alerter le Directoire sur la survenance possible de risques majeurs et de risques jugés inacceptables. Eviter tous les impacts potentiels de ces risques (impacts financiers et non financiers comme la réputation, le savoir-faire...) Assurer la continuité des opérations et la survie de l’entreprise toute en stabilisant mes bénéfices Aider à diffuser les meilleures pratiques et la culture de gestion des risques Les avantages du processus de gestion des risques améliore la prise de décision, la planification et la priorisation vous aide à allouer le capital et les ressources de façon plus efficace vous permet d'anticiper ce qui pourrait mal tourner, de minimiser le nombre de feux que vous aurez à éteindre ou, dans le pire des cas, d'empêcher un désastre ou une grave perte financière améliore de façon importante la probabilité que vous livriez votre plan d'affaires en temps voulu et conformément au budget Stratégies de gestion du risque La prévention : Des mesures peuvent être prises pour limiter la naissance de l'événement redouté. Cette stratégie est le plus fréquemment appliquée en premier lieu et en particulier quand le danger est dramatique (brûlure grave, chute de grande hauteur, coupure, pouvant entrainer la mort ou des effets subléthaux). L'acceptation : L'acceptation d'un risque fait suite à une étude de danger. Cette étude permet d'évaluer les dommages pouvant être causés à des personnes exposées si l'événement redouté a lieu. Ainsi, un risque sans gravité conséquente peut être accepté par les travailleurs au compte de l'entreprise. La réduction du risque : veille, identification des risques par l'audit, analyse par la recherche des facteurs de risques et des vulnérabilités, maîtrise des risques par les mesures de prévention et de protection : c'est la démarche classique de gestion des risques. Le transfert : a titre financier, le transfert de risque s'établit quand qu'une assurance ou toute autre forme de couverture de risque financier ou garantie financière est contractée par le dirigeant confronté au risque (ex. assurance crédit). Ces garanties ne sont pas exhaustives pour couvrir le risque économique et financier. En cas de risque pénal pris par le dirigeant, ce transfert peut être réduit à néant. On peut distinguer quatre manières de gérer le risque, par ordre croissant de coût Processus de gestion des risques 1 – Identifier le risque et établir le contexte Il faut, tout d’abord, Définir les risques ou les bonnes occasions à venir, la portée, le contexte (social, culturel, preuves scientifiques, etc.) et les questions connexes. Décider quels outils, expertise, personnes et techniques sont nécessaires (scénarios, séances de remue-méninges, listes de contrôle). Effectuer une analyse des personnes touchées (déterminer les degrés de tolérance à l'égard du risque, la position des intervenants et les attitudes). 2 - Évaluation des risques : 1. Évaluer les principaux secteurs à risque Analyser le contexte et les résultats de l'évaluation de l'environnement opérationnel et déterminer les types ou catégories de risques à traiter, les questions importantes pour toute l'organisation et les questions locales primordiales. 2. Mesurer la probabilité et l'incidence Déterminer le degré d'exposition aux risques évalués, soit la probabilité et l'incidence, et choisir les outils appropriés. Examiner les preuves empiriques, de même que le contexte public. 3. Classer les risques par ordre de priorité Classer les risques en tenant compte de la tolérance à l'égard du risque, en se servant de critères ou d'outils existants ou en en élaborant de nouveaux. 3 - Le contrôle des risques : A chaque type d'activité correspond un ou plusieurs risques potentiels. Il convient donc de les contrôler et d'en atténuer leur ampleur par l'utilisation de moyens de prévention et de lutte contre le péril L’entrepreneur dispose de plusieurs solutions envisageables pour trouver la plus adaptée. Il peut définir la solution en fonction du risque lui-même en étudiant la possibilité d’une élimination ou d'une limitation de ses effets. Il peut tenir compte des caractéristiques du projet et y appliquer quelques modifications afin d’esquiver les risques. - Les options Évitement : vous devez vous demander si le risque n’est pas trop important pour conserver l’activité en question; Prévention ou modification : pensez à des mesures que vous pourriez prendre afin de réduire les possibilités que survienne un sinistre; Atténuation : analysez s’il existe des moyens qui permettraient de réduire l’incidence des sinistres qui pourraient uploads/Management/ gestion-des-risque.pdf
Documents similaires
-
13
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Jul 15, 2022
- Catégorie Management
- Langue French
- Taille du fichier 1.9882MB