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Thème : Aménagement et gestion de l’espace à Port-Bouët Dynamique d’évolution d

Thème : Aménagement et gestion de l’espace à Port-Bouët Dynamique d’évolution du quartier précaire de Vridi canal TANOH Eric Yao Kan RESUMES DE DOCUMENTS LUS 1. Dembélé O., 1999, Evolution des structures spatiales de quartier et aménagement de l’espace urbain, Institut de Géographie et d’Aménagement Régional, Université de Nantes 25-37 Cet article veut comprendre l’évolution des structures spatiales du quartier de Port Bouët. Les résultats montrent d’emblée un découpage par maille de la commune, subdivisée en dix-neuf(19) quartiers. Ainsi, des présidences de quartier qui fédèrent les associations ont été instituées pour servir d’interlocuteur à la Mairie. Plus tard, l’incapacité de certains présidents de quartier à contrôler des espaces trop étendus a donné lieu à une nouvelle configuration spatiale avec la création de vingt neuf (29) autres quartiers portant le total à quarante huit(48) 2. Attahi Koffi Lazare, 1992, Analyse des pratiques spatiales dans l’habitat économique à Abidjan, Centre de Recherche Architecturales et Urbaine, 104p. Cet ouvrage analyse les stratégies d’utilisation de l’espace dans l’habitat de moyen standing a Abidjan. Il ressort de cette étude que l’habitat économique a subi des modifications afin d’ajuster le logement a la taille des ménages, de créer des activités génératrices de revenues, d’adapter le logement à la perception culturelle de l’habitant .Ainsi, on assiste à des modifications non structurantes qui n’affectent pas la structure et la configuration de l’espace et les modifications structurantes qui affectent l’aspect global de l’habitat. 3. R.E.Stren,R .R.White,CoqueryM. (1993),Villes africaines en crise :gérer la croissance urbaine au sud du Sahara(Cote d’Ivoire ,Kenya,Nigeria,Soudan,Senegal,Tanzanie,Zaire,Harmattant,341 pages Le texte est une analyse de la croissance des villes africaines au sud du Sahara. Il ressort que les pays en question sont sujets à une croissance démographique galopante alors que les municipalités n’arrivent pas à faire face en termes d’équipements et d’infrastructures socio – économiques. On assiste à détérioration des services et des infrastructures. Par ailleurs, la croissance de la ville n’a pas suivie le rythme de la main d’œuvre 4. Appril .E.D Jaglin, 2002, Introduction : gestion urbaine en mutation : du modèle aux arrangements locaux Cet article veut comprendre les arrangements locaux faits du model global initial de gestion urbaine dans les pays en voie de développement . Les résultats montrent que le modèle initial de gestion urbaine est conditionné par l’affranchissement de la tutelle publique, L’ouverture aux principes du marché ,et l’amélioration de la productivité urbaine. Ainsi en analysant le remembrement urbain proposé a Bangkok en vue d’aménager une trame viaire déficiente des acteurs de l’économie financière foncière échappent aux règles des organismes internationaux, prometteurs de la rationalisation de cette trame .En outre la recherche de partenariat avec le secteur privé amène les collectivités locales à spécialiser et territorialiser leur interventions . De plus la privatisation des marchés à Abidjan porte atteinte aux rôles régulateur des pouvoirs publiques en ce sens qu’il y a une profonde remise en cause des conditions accessibilités des consommateurs et des commerçants à l’équipement au détriment des plus vulnérables d’entre eux . Faure Y.,Labazé P, (2002),Socio-économique des villes africaines de Bobo et Korhogo dans les défis de la décentralisation, Paris_ IRD Karthala,559p. Cet article vise mettre en évidence le potentiel socio économique comparatif des villes de Bobo Dioulasso et de Korhogo (c’est une étude comparée du potentiel socio-économique des villes de bobo et de Korhogo). Comme résultats, il ressort que les grandes unités industrielles implantées à Bobo Dioulasso catalysent l’économique de cette ville alors que Korhogo est desservie en unité industrielle. Les productions urbaines sont quasi similaires avec 370 000 FCFA pour Korhogo et 397 000 FCFA pour Bobo. Au niveau de l’investissement par habitant, le secteur privé apporte une large contribution avec 67 pou cent à Korhogo contre 72 pour cent à Bobo Dioulasso tandis que les pouvoirs centraux ne couvrent que respectivement à hauteur de 32 et 27 pour cent. La structure comparée du produit local selon les secteurs d’activités économiques montre une infirme proportion du secteur primaire 1,7 à Korhogo et 1,8 à Bobo. Le secteur secondaire ne représente que 27 pour cent du produit local à Korhogo contre 41 pour cent à Bobo. Le secteur tertiaire apparaît plus importante à Korhogo avec 71 pour cent conte 57 pour cent pour Bobo Manou S., 1986, Politiques et pratiques urbaines à Abidjan, Thèse, Paris, panthéonSorbonne, 445 p. Manou dans cette étude vise éclairer les modèles urbains adoptés par les autorités et les réalités en termes de leur application. Manou veut comprendre l’évolution des politiques et pratiques urbaines à Abidjan. .Il ressort de cette étude que la volonté de modernisme des autorités en termes d’urbanisation a donné lieu à la réalisation de projets urbanistiques prestigieux qui transparaissent à travers certains ouvrages autoroutiers, de logements individuels entièrement équipés sans omettre une élévation des cahiers de charges pour les constructions privées. Ainsi, la réussite de ces projets est à mettre à l’actif des organes spécialisés commis par le gouvernement afin de réaliser des études inhérentes à ces projets urbains. Cependant, parallèlement à ce modèle il y a un développement et une persistance des formes qui lui sont extérieurs et qui se perçoivent à travers la multiplicité des habitats collectifs caractérisés par un surpeuplement. Les habitats qui y sont produits se font sans l’aval des structures spécialisées de l’Etat et sont insuffisamment équipés. Ouédraogo E(2010), La gestion urbaine dans les pays du sud, DEA, Université d’Ouagadougou, 69p Cet article fait une analyse des outils et des modalités de la gestion urbaine dans les pays en voie de développement. Cet article veut comprendre les stratégies utilisées par les pays ouest africains en matière de gestion urbaine. Les résultats de cette étude montrent que la gestion urbaine se fait en utilisant des outils adapté tels que le budget programme, les opérations d’urbanisme, le plan d’occupation du sol, le plan de développement communal, le plan stratégique, le schéma directeur d’aménagement urbain et les systèmes d’information géographique. Par ailleurs, les acteurs qui interviennent dans la gestion urbaine s’entrevoient à travers l’Etat qui définit les principes nationaux et les outils qui régissent l’urbanisme, la municipalité qui contrôle et planifie l’urbanisme, les partenaires financiers et techniques et enfin la population qui bénéficie de la politique de l’aménagement tout en y participant. Coquery M., 1997, La planification urbaine et distribution alimentaire en Afrique Cet article analyse les influences réciproques entre la, planification urbaine et la commercialisation des denrées alimentaires. Il ressort dans cette étude une inadéquation entre planification urbaine et commerce alimentaire du fait de la rapide et forte croissance de la population e de l’extension rapide et des espaces urbanisés. En outre, l’essor du commerce de détail des produits alimentaires n’a pas été accompagné par l’édification d’infrastructures commerciales Dubresson A.,Jaglin S, 1993, gérer la ville du prince, le difficile exercice communal à Yamoussoukro, rapport de mission, Paris Cet article veut mettre en évidence les éléments explicatifs des difficultés de gestion de la ville de Yamoussoukro. Ce rapport nous explique que les difficultés de gestion de la ville de Yamoussoukro se trouvent dans l’inexistence d’activités industrielles et donc d’activités économique susceptibles de soutenir la gestion les infrastructures d’envergure qui y sont réalisées. Il se pose par ailleurs le problème du transfert de compétence qui fragilise la municipalité car elle est sous la coupole des autorités étatiques. A la fragilité économique de la ville vient s’ajouter le difficile recouvrement des taxes et impôts .Enfin, le standing de ville princière de Yamoussoukro avec des cahiers de charge élevé ne permet pas de réaliser des infrastructures et équipements dont le cout est supportable pour la municipalité. Myriam A., 1998, Tissu urbain et tissu social : stratégie antagoniste d’occupation de l’espace à Abidjan, Espace, Population, Société, pp261-274 Myriam dans cette étude vise comprendre les stratégies d’occupation de l’espace urbain par la population. Comme résultats de cette étude, plusieurs stratégies sont développées Nous avons d’abord la stratégie des catégories proches du pouvoir à travers les planteurs détenteurs d’une plus grande partie des immeubles de luxe à Abidjan. Les procédures administratives d’expropriation des terrains coutumiers ont permis à l’Etat de se constituer un patrimoine tout en aidant les élites urbaines à s’y installer. A coté de stratégies dirigées par l’Etat nous avons la stratégie populaire se traduisant par l’habitat spontané réalisé par les populations citadines relativement aisées. En conséquence ‘il y a une ségrégation sociale dans la répartition des populations dans ville offrant le meilleur en termes de logement d’infrastructures et d’équipements aux nantis et reléguant les populations démunis dans des espaces peu commodes. Au niveau de l’habitat, il est constaté que pour un type d’habitat donné, la pression démographique est inhérente au niveau de vie en vigueur dans le quartier. Enfin au plan ethnique, il y a une distribution de la population selon un certain type d’habitat . Attah K(1993) Evaluation des réformes de la gestion urbaine, Paris, harmattan 125-156 Cet article fait le bilan des reformes de gestion urbaine en Cote d’ivoire. Les résultats montrent que l’Etat à travers la direction des collectivités locales du ministère de l’intérieur a permis le maintien de l’exercice de la fonction municipale dans le cadre légal. uploads/Management/ golly-texte.pdf