Les conséquences financières du covid19 sur les PME : Impact potentiel sur l'en
Les conséquences financières du covid19 sur les PME : Impact potentiel sur l'endettement, la rentabilité, la trésorerie, ... REMERCIEMENTS La réalisation de ce projet de recherche a été possible grâce aux apports de plusieurs personnes à qui je voudrais témoigner toute ma reconnaissance. Je voudrais tout d’abord exprimer ma reconnaissance envers mon encadrant Monsieur Khalid ELBADRAOUI, enseignant chercheur à l'ENCGA pour sa disponibilité, son soutien et ses précieuses directives, qui ont contribué à alimenter ma réflexion. Je remercie également toute l’équipe pédagogique de l’Ecole Nationale de Commerce et Gestion d’Agadir et les intervenants professionnels responsables de ma formation, pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci. Qu'ils puissent trouver dans ce travail le témoignage de ma sincère gratitude et de mon profond respect. Mes remerciements s'adressent également aux membres du jury pour le grand honneur qu'ils me font d'évaluer ce travail. AVANT-PROPOS TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS.................................................................................................................... x AVANT-PROPOS………………………………………………………………………………. LA TABLE DES MATIERES .................................................................................................. vii LISTE DES ABRÉVIATIONS ........................………............................................................... ix LISTE DES FIGURES ET DES TABLEAUX...........................................................................viii INTRODUCTION GENERALE...... ........................................................................................... Il CHAPITRE I. DOMAINE, PROBLÉMATIQUE ET QUESTION DE RECHERCHE 1 1.1. Domaine de la recherche 1 1.2. Problématique 3 1.3. Question de recherche CHAPITRE II. CADRE CONCEPTUEL DE LA RECHERCHE 3.3. Modèle théorique de recherche. 3.1 APPROCHE UTILISÉE ....................................................................................... 56 3.2 DÉMARCHE SCIENTIFIQUE ................................................................................... 58 3.3 MÉTHODOLOGIE ..................................................................................... .......... 59 3.3.1 Stratégie de recherche .................................................................................... 59 3.3.2 Traitements des données ......................... ....................................................... 60 3.3.3 Analyse des données ...................................................................................... 62 3.3.4 Fiabilité et Validité ......................................................................... ............... 63 CHAPITRE V. PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L'ANALYSE DES DONNÉES 97 5.1. Analyse descriptive 97 5.1.1. Résultats concernant l'échantillon 98 5.1.2. Résultats concernant les caractéristiques du propriétaire-dirigeant... 99 5.1.3. Résultats concernant les caractéristiques des entreprises 101 5.1.4. Résultats concernant les caractéristiques des activités administratives pratiques de gestion104 5.1.5. Résultats concernant la performance financière des entreprises 112 5.1.6. Résultats concernant les facteurs environnementaux 115 5.2. Analyse explicative 118 5.2.1. Résultats de l'analyse de corrélation 120 5.2.2. Conclusion concernant l'analyse de corrélation 140 5.2.3. Vérification des hypothèses de recherche 142 CONCLUSION 158 BIBLIOGRAPHIE 167 ANNEXES …. ................................................................................................................ 110 Annexe 1 : Schéma d'entrevue, lettre d'information et formulaire de consentement ... 110 Annexe 2 : Base de données - recueil des informations par entreprise ......................... 118 INTRODUCTION GENERALE La pandémie de coronavirus (COVID-19) lance un défi historique aux marchés mondiaux. En effet, La crise du Covid-19 provoque logiquement une ruée vers la sortie des investisseurs qui vendaient même les valeurs les plus sures. Cela dit, une chute des cours des actions, mais également des pertes énormes subies par les actifs à risque qui pourraient atteindre au moins la moitié de celles enregistrées en 2008 et 20091.Sur les marchés des dettes, les écarts de taux se sont élargis. Les prix du pétrole se sont à leur tour effondrés après de la chute de la demande et de la décision de l'Arabie saoudite d'augmenter sa production et casser ses prix. Tout cela entraîne de grandes incertitudes concernant l’impact et la gravité de cette crise mondiale. Dans cette perspective, il s'avère donc indispensable de mesurer cet impact sur la stabilité financière au Maroc. (DES QUESTIONS !!!!) Certains auteurs ont tenté de déterminer A la recherche d’un cadre théorique adapté à notre problématique, nous aborderons les travaux et revues de littérature de Allen et Wood (2006), Borio et Drehmann (2009) et Padoa- Schioppa (2003), que pourraient nous amener à se pencher un peu plus sur notre thème de recherche. Pour apprécier l’impact de la crise financière sur la stabilité des marchés financiers au Maroc, nous procédons en deux étapes. Dans un premier temps, nous estimons la courbe de Taylor qui caractérise la combinaison optimale de la variance de l’activité et de la variance de l’inflation sur la période qui a suivi la crise financière, et nous la comparons à celle qui prévalait pendant la grande modération. Dans un second temps, nous évaluons l’évolution trimestrielle de l’efficacité de la politique monétaire, en distinguant les fluctuations dues au déplacement de la courbe de Taylor et celles provenant de l’écart entre la pratique constatée de la politique monétaire (estimée sur la base d’une règle simple) et la règle optimale. Nos résultats s’attachent tout d’abord à caractériser l’évolution de l’arbitrage optimal entre la variance de l’activité et la variance de l’inflation défini par la courbe de Taylor.Nous aborderons ainsi au cours de la première partie la question de la crise, ses enjeux et la manière d’en tirer parti. Puis, nous étudierons quelques situations concrètes de gestion de crise au travers d’interviews et de cas pratiques. Enfin, les préconisations porteront sur la mise en place d’un processus de gestion de crise de la maitrise Del ‘environnement à l’amélioration des processus en passant par la gestion concrète au sein de la cellule de crise. CHAPITRE II : CADRE CONCEPTUEL DE LA RECHERCHE 1 FMI, Rapport sur la stabilité financière dans le monde, Avril 2020 Dans ce premier chapitre, nous présentons le cadre théorique dans lequel s'inscrit cette recherche sur l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les PME au Maroc. Il s’agit d’abord d’aborder une explication des principaux concepts qui apparaîtront tout au long de ce travail, puis une analyse des constatations dégagées par des études antérieures s'inscrivant dans le même domaine de recherche que le nôtre. De cet ensemble de parties découle le cadre à partir duquel a été développé le modèle sur lequel repose la présente étude. 2.1 Définition des concepts utilisés : 2.1.1 La définition de la crise : De nombreuses définitions d’une crise se bousculent et s’entrecroisent, preuve de la complexité des crises tout comme de la nécessité de s’arrêter sur le sujet pour mieux l’appréhender.2 L'étymologie du mot crise en grec, crises, signifie « décider » « faire un choix » et plus précisément « l’action ou la faculté à décider, être en capacité de distinguer une décision entre deux choix possibles »3. Nous pourrions donc en guise de définition désigner une crise comme un moment transitoire et critique qui peut amener à une rupture définitive entre deux états. Pour Christophe Roux-Dufort, la crise est l’accumulation de fragilités, plus l’ignorance4. Il dessine les terrains propices pour une crise, nous montre la situation préalable pendant laquelle les vulnérabilités échappent à la vue, se placent hors champ statistique de gestion et de prévention des risques. Bien que ces fragilités semblent normales, plusieurs failles apparaissent, dysfonctionnement des systèmes, petites pannes, défaillances réparés dans l’urgence, cumul de décisions fondées sur des renseignements erronées, malaise social, travaux confiés à une main- d’œuvre peu formée, bugs informatiques non maîtrisés… Quant à l’ignorance, elle peut être complétement involontaire, à cause de la complexité des systèmes, de batailles d’experts, d’un manque d’une donnée essentielle, des « boîtes noires » délivrant une donnée sans que l’on sache comment celle-ci est obtenue, d’un manque de lisibilité, de l’absence de grilles de lecture, etc. 2 Didier Heiderich, Plan de gestion de crise, Page7, DUNOD, 2010. 3 Centre National de Ressources Textuelles et Linguistiques (CNRTL). 4 Christophe Roux-Dufort, Gérer et décider en situation de crise, Dunod, 2003. Hermann (1963) considère la crise comme « un événement surprenant les individus, restreignant leur temps de réponse et menaçant leurs objectifs prioritaires ». Dans le même sens, Shrivastava et al. (1988) la définissent comme un « événement à faible probabilité et à fort impact ». D’après ces auteurs, la crise peut correspondre à un fait inéluctable, ponctuel, difficile à prévoir et encore plus difficile à gérer, car la probabilité de son avènement est faible mais dont les conséquences sont fortes. Pour sa part, Reilly (1993), considère la crise comme « une situation nocive et perturbatrice de grande ampleur, soudaine, consommatrice de ressources et qui s’inscrit généralement en dehors des cadres opératoires et des schémas de références typiques des gestionnaires ». Dans le même sens, Lagadec (2005) l’explique comme « une situation où de multiples organisations, aux prises avec des problèmes critiques, soumises à de fortes pressions externes, d’âpres tensions internes, se trouvent brutalement et pour une longue durée sur le devant de la scène... ». Selon Combalbert (2005), la crise peut se caractériser par « une situation sortant du cadre habituel des incidents connus, avec la nécessité de prendre en urgence des décisions stratégiques et d’organiser. Les enjeux apparaissent comme exorbitants, multiples, et pour la plupart ne se révèlent qu’au fil des temps » Ces derniers auteurs considèrent que la crise n’est que le résultat d’un cumul de dysfonctionnements organisationnels. Il convient donc d’étudier la crise comme un processus global qui prend en considération les différentes variables contextuelles. 2.1.2 Le cycle de vie d’une crise : Il nous parait judicieux d’étudier le cycle de vie d’une crise. Cela nous permettra de mieux comprendre la crise, de l’appréhender et puis de la mieux gérer. Nous pouvons distinguer 7 phases5 : situation préalable, cristallisation, rupture, impacts, cinétique, équilibre, réparation. 5 Didier Heiderich, Plan de gestion de crise, Page19, DUNOD, 2010. Figure 1.1- Phases d’une crise Situation normale : Aussi nommée la précrise (Lagadec, 1991), est caractérisée par un calme apparent. L’organisation est dans cette phase soumise au flux continu de données. Qu’il uploads/Management/ les-consequences-financieres-du-covid19-sur-les-pme-docx.pdf
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- Publié le Mar 16, 2021
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