Recherche a l’organisation Aya mismar / TM S1 1-les méthodes et les téchnique d

Recherche a l’organisation Aya mismar / TM S1 1-les méthodes et les téchnique de quéstionnement : Toutefois, ce type de questions exige d’avoir prévu à l’avance toutes les réponses possibles à la question, ou de recodifier a posteriori les réponses “autres” recueillies. Dans le type qualitatif, on distingue plusieurs sortes de questions. La plus simple de toutes est la question qualitative dichotomique qui accepte comme seule et unique réponse entre deux propositions. Ces propositions pour ce type de questions sont généralement des affirmations ou négations comme « oui » et « non » ou « vrai » et « faux » mais peuvent aussi être en rapport avec des questions signalétiques comme le sexe. Les questions qualitatives à réponse unique multichotomiques se divisent en deux genres : - Le premier est la question qualitative nominale visant à sélectionner une proposition parmi d’autres. La réponse sera une information spécifique (exemple : quelle est votre marque de chocolat préférée?). On pratique généralement une rotation des réponses pour que l’ordre n’influence pas les répondants et qu’ils sélectionnent la mêmevariable. -Les questions qualitatives ordinales sont, elles, des échelles de mesure qui permettent de connaître l’intensité d’un sentiment, d’une opinion, d’un goût… Il est d’usage d’établir un ordre de réponses allant des plus positives au plus négatives (par exemple très satisfait, satisfait, peu satisfait, pas du tout satisfait). LES QUESTIONS QUALITATIVES À RÉPONSES MULTIPLES Les questions qualitatives à réponses multiples peuvent être illimitées ou limitées. Elles permettent une richesse de collecte et une certaine liberté pour le répondant qui peut être à double tranchant s’il cela l’induit à sélectionner des réponses inconnues. Il est important de préciser au répondant le nombre de réponses qu’il peut donner. LES QUESTIONS QUALITATIVES ORDONNÉES Sur la base d’une question qualitative à réponses multiples limitées, il est possible de concevoir un classement hiérarchique qui permet d’ordonner les réponses pour donner au choix un ordre de préférence ou d’importance en instaurant un minimum et un maximum de réponses à fournir. L’usage habituel est de classer les réponses de la meilleure à la moins bonne et d’empêcher les ex-aequo . Source : https://www.soft-concept.com/surveymag/types-de-questions-enquete-par- questionnaire.html 2.L’augmentation du capital : Une augmentation de capital est une opération qui consiste à accroître le montant du capital social d'une société. Une augmentation de capital est une forme de , l'objectif est d'obtenir des fonds supplémentaires pour financer la société. Source : https://creation-entreprise.ooreka.fr/astuce/voir/680507/augmentation-de-capital 3.Le management humaniste : Une entreprise ayant pour but, avant tout, de gagner de l’argent, pourquoi devrait-elle pratiquer un management humaniste ? Il est clair que l’objectif premier d’une entreprise est de gagner de l’argent et de se développer. Mais l’entreprise est aussi un ACTEUR dans la société. Un acteur ayant un rôle important, impactant de nombreux aspects de la vie sociale, sociétale et économique. L’entreprise interagit et impacte fortement son environnement. Elle participe à la structure de cet environnement. Elle négocie avec des partenaires sociaux, contribue (dans des proportions variables) à la formation des individus, elle intervient sur la santé de ses collaborateurs (quelle a le devoir légal de préserver), elle participe à la modification environnementale (et doit théoriquement minimiser son empreinte), elle participe aux modes de relations intergénérationnelles. Elle a un impact sur l’état psychologique (et donc productif) des collaborateurs, selon sa capacité ou non à rassurer, à communiquer une vision, des projets, et à les ancrer dans une stratégie et des actions cohérentes. 4.Mangement socio économique : Le Management socio-économique, créé et expérimenté par Henri Savall, fondateur de l'ISEOR, centre de recherche en sciences de gestion, puis développé par Véronique Zardet et son équipe, est un mode de management global et durable qui s'appuie sur le développement du potentiel humain de l'entreprise pour améliorer sa performance sociale et économique. Il est né du constat que les organisations, trop focalisées vers la recherche de la seule performance économique, n'accordent pas assez d'importance aux personnes. L'école "classique" du management (début XX° siècle) a encouragé les entreprises à plus de hérarchie et plus de spécialisation dans le travail. Mais ces modèles sont aujourd'hui en bout de course puisqu'ils ont progressivement conduit à la déshumanisation du travail, et par ricochet à la démotivation et la déresponsabilisation des équipes. La méthode de management socio-économique inverse, elle, cette tendance, et permet le développement de la créativité individuelle et de la capacité de création collective. Egalement appuyées par les six outils spécifiques du MASE, celles-ci contribuent alors à la réduction durable des dysfonctionnements organisationnels et managériaux, et, par effet de levier immédiat, à l’augmentation de la performance de l’entreprise. Car ces dysfonctionnements sont la source de coûts cachés, seuls coûts que la comptabilité ne fait pas apparaître au bilan financier des entreprises et qui ne sont habituellement pas mesurés. Or ces coûts cachés représentent des trésors d’autofinancement pour les entreprises s’ils sont diminués et convertis en performance globale de l’organisation. On peut alors parler de performance socio-économique, celle, indispensable à son développement et à sa perennité, qui profite à l'entreprise, mais aussi celle qui profite à tous ses collaborateurs, dirigeant, managers et opérateurs, tous considérés avec respect. Source :Sohttps://www.objectifperformance.fr/management-socio-%C3%A9conomique/urce ; 5.Le reengineering des processus : Démarche consistant à réorganiser la séquence et le contenu d’un processus, voire du fonctionnement de l’entreprise dans son ensemble. On précise d’ailleurs parfois « Business process reengineering » (BPR). Cette démarche passe le plus souvent par une remise à plat préalable du mode de fonctionnement de l’entreprise ou du service, dans le but de gagner en productivité. Cette remise à plat implique une identification, une collecte et une gestion de l’information et des modes de transmission et de circulation de cette information dans l’entreprise. Le reengineering peut également s’étendre à la qualité des conditions de travail. Dans tous les cas il ne peut aboutir à des résultats liant innovation et performance que s’il intègre le principe de participation et d’implication de l’ensemble des parties prenantes. 6.Les controles de qualitée organisation : La gestion de la qualité est l'ensemble des activités qui concourent à l'obtention de la qualité dans un cadre de production de biens ou de services. Plus largement, c'est aussi un moyen que se donnent certaines organisations, dans des buts tels que la mise en conformité par rapport aux standards du marché (par exemple certification selon la norme ISO 9001 ou ISO/TS 16949), la recherche de l'efficience, qui est l'efficacité avec économie de ressources (amélioration continue), ou encore pour assurer leur pérennité en s'assurant de la satisfaction de leurs partenaires, des fournisseurs aux clients en passant par les actionnaires, les employés et l'État. On parle alors de qualité totale. Source :https://www.techno-science.net/definition/727.html 7.Le toyotisme : Le toyotisme est une méthode d'organisation scientifique du travail (OST) visant à augmenter la productivité d'une entreprise. Pour atteindre cet objectif, l'entreprise doit suivre des principes strictes afin de faire évoluer tout son système de production. Elle doit chercher à générer des gains de productivité en réduisant ses coûts de productions (gestion des flux et des stocks) et à améliorer l'efficacité de l'appareil productif en diminuant les délais et en évitant la surproduction. Le toyotisme est une technique d'organisation de la chaîne de production mais également de management du personnel. Tous les salariés de l'entreprise doivent être impliqués pour optimiser toutes les étapes de la production (contrôle qualité, délais de livraison, organisation de l'espace de travail...). Cette méthode instaure une culture d'entreprise. Crée par l'ingénieur de chez Toyota, Taiichi Ōno en 1962, les principes du toyotisme sont aujourd'hui appliqués dans de nombreuses multinationales. Cette méthode se veut être une amélioration des 2 autres grandes forme d'organisation scientifique du travail que sont le fordisme et le taylorisme. Source :https://www.centralcharts.com/fr/gm/1-apprendre/9-economie/34-analyse- fondamentale/1068-definition-toyotisme 8.Systémique économique : Un système économique est un mode d'organisation de la société analysé par le prisme économique. Un tel système regroupe l'ensemble des institutions, sociales comme normatives, qui agissent comme une courroie ou un récipiendaire de l'activité économique au niveau micro. Le système forme le niveau macroéconomique de la vie du pays. Les normes du système (via le droit du pays) détermine également la répartition des richesses1. Ce système n'est pas neutre économiquement, dans le sens où ses structures conditionnent l'affectation des ressources et la productivité (production unitaire d'un facteur de production utilisé dans la combinaison productive) des facteurs. Sa modulation joue donc un rôle essentiel dans le cadre des politiques publiques visant à générer de la croissance ou à modifier le niveau d'inégalités1. Les systèmes économiques varient en fonction des régions et des époques. Les pays occidentaux suivent une organisation fondée sur le capitalisme caractérisé par la propriété privée des moyens de production. Le système économique des pays de l'ancien bloc de l'Est était fondé sur le principe de l’économie communiste dont l'objectif est la propriété collective des moyens de production1. Un système économique est lui-même composé d'une multitude de sous-systèmes, plus petits. Les agents qui le composent peuvent y être spécialisés : le système économique vigneron dispose de spécificités face au système économique de l'agroalimentaire auquel il appartient, qui, lui-même, n'est qu'un sous-système d'un ensemble plus grand2 . Source :https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_%C3%A9conomique#:~:text=Un%20syst%C3% A8me%20%C3%A9conomique%20est%20le,sociale%20induite%20par%20le%20syst%C3%A8me. 9.Systémique ressources humaines : la uploads/Management/ recherche-a-l-x27-organisation.pdf

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  • Publié le Dec 16, 2022
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