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Atelier 6 Étape 1 : Explication : Le personnage principal, Nantas, obtient tout

Atelier 6 Étape 1 : Explication : Le personnage principal, Nantas, obtient tout ce qu'il désire depuis son arrivée à Paris. Il a pu gagner la popularité, la richesse et la reconnaissance de grandes personnes au fil des ans grâce à l'accord qu'il a conclu avec Flavie, la fille du baron Danvilliers. Citation : « En dix ans, Nantas venait de conquérir une des plus hautes situations financières et industrielles. […] il avait réalisé rapidement une fortune immense. […] il avait réussi à se faire nommer député, […]. […]tout en ayant en matière de finances des théories personnelles, qui faisaient grand bruit et qu’il savait préoccuper beaucoup l’empereur. » page 11 Étape 2 : Explication : Même si Nantas est allé loin dans la vie par rapport à ses désirs, il montre lui-même qu'il n'est pas heureux, car il ne compte pas l'amour de Flavie présent dans sa vie. Il a tout, sauf l'amour de sa « femme ». Citation : « Chaque fois qu’il montait plus haut, il consultait le visage de Flavie. Est-ce qu’elle était touchée enfin ? […] Et il ne surprenait toujours aucune émotion sur le visage muet de cette femme, et il se disait, en se remettant au travail : « Allons ! je ne suis point assez haut pour elle, il faut monter encore, […] Il entendait forcer le bonheur, comme il avait forcé la fortune. » page 17 Étape 3 : Explication : L'amour que Nantas a développé au fil du temps pour Flavie était si grand que lorsqu'il a « découvert » que Monsieur des Fondettes se cachait dans la chambre, il a abandonné et a décidé de laisser les choses en paix. Il a donc décidé de se suicider. Citation : « En lui, quelque chose venait de se casser ; seul, le mécanisme des muscles et des os fonctionnait encore. Lorsqu’il se retrouva dans son cabinet, il marcha droit à un tiroir où il cachait un revolver. […] Ainsi, dans l’existence, il n’y avait donc que la mort qui ne trompât pas, qui se montrât toujours sûre et toujours prête. […] tout s’était continuellement effondré sous lui, la mort seule restait une certitude » uploads/Philosophie/ 6-atelier.pdf