Histoire de la philosphie Leibniz Cours 2 14 Janvier Paragraphe 8 : La théorie
Histoire de la philosphie Leibniz Cours 2 14 Janvier Paragraphe 8 : La théorie des substances => Concept de substance > a une place déterminante chez Leibniz, bien qu’il est déjà présent chez Descartes et Spinoza voire Platon avec le terme d’ousia La « substance » désigne un sujet logique dont le sujet contient l’infinité de ses prédicats CAD une totalité d’attribut se manifestant dans un processus déterminé Ex : Il appartient à la substance de César qu’il est traversé tel ou tel pont Bref > Il y a un ensemble d’événement pré-déterminé qui appartienne à chaque substance Mais > Leibniz refuse le nécessétarisme de Spinoza Delon Spinoza il y a une illusion de la contingence car nous ignorons les véritable cause de chacune de nos actions Au contraire > Leibniz défend une théorie de la liberté Mais > Cela peut paraître contradictoire avec son concept de substance N.B : Chaque substance est unique et individualisé pour l’infinité de propriété qu’elle possède mais dont nous ignorons la totalité, il n’y a jamais 2 substance identique dans l’univers ! De plus > Chaque substance est en relation avec l’ensemble des substance qui composent l’univers Donc > Dans chaque substance il y une trace infime de la totalité de l’univers et des étant qui le constitue N.B : Chez Leibniz, il n’y a pas de vide dans l’univers Bref > Comme chaque substance est en relation avec le Tout alors elle nous donne accès indirectement au Tout : « chaque âme connaît confusément l’infini » De plus > Certaine substance peuvent témoigner de Dieu, notamment les esprits Paragraphe 9-12 : Rétrospective sur le concept de « substance » en philosophie Contrairement aux prétentions d’un Descartes qui affirme une révolution philosophique, Leibniz s’appuie sur la tradition philosophique du concept de « substance » « Il y a des pépites d’or dans le fumier scolastique » Aristote : distingue forme / matière Repris par Leibniz par le terme de « forme substantiel » Paragraphe 13 : Comment comprendre la liberté selon le concept de substance ? En effet > Nos actes sont libre et en même temps compris dans notre substance ! CAD qu’il y a une inclusion des évènements dans notre substance, qui pourtant relève de quelque de libre ? Il y a une connexion contingente selon la théorie des monde possibles ? Leibniz défend également l’idée de substance individuelle, personne d’autre que cette substance-ci n’aurait pu être cette substance-ci N.B : Arno s’oppose à Leibniz au sujet de la liberté Théorie métaphysique chez Leibniz : Théorie de l’harmonie préétablit Il y a une harmonie entre toutes les substances, chaque changement d’une substance intervient avec le changement d’une autre substance : Harmonie universelle Attention > La théorie de l’occasionnalisme chez Malebranche, diffère de la théorie de l’harmonie universelle chez Leibniz Point commun : - Tout ce qui arrive à une substance provient de la substance elle-même, il n’y a pas d’influence ou de pouvoir causale d’une substance sur une autre - Il n’y ait que Dieu qui soit véritablement cause - Les réalités n’interagissent pas les unes avec les autres Point de divergence : Leibniz => Chaque substance une fois déterminée par Dieu, est doté d’une force propre Malebranche => C’est Dieu qui la cause de toute chose y compris lorsque je lève mon bras N.B : Importance de la force dans la nature chez Leibniz > c’est le premier à établir dans la science une dynamique des forces naturelles De plus > Leibniz s’oppose au dualisme cartésien, en proposant une « substance des corps » plutôt que réduire la matière à une simple étendue Au fond, il n’y ait qu’une réalité et c’est celle de l’esprit, or certaines substance possède l’esprit à très petites échelles Toute substance possède une unité et une force interne En effet > Toute substance véritable doit être pensée comme un esprit qui possède en lui une volonté (appétition) et une perception Bref > chaque organisme vivant forme un tout organique et autonome Leibniz veut rétablir la notion de « forme » en physique moderne Au contraire > Descartes que le concept de « forme » aristotélicien consiste à remettre du spirituel dans ce qui est purement matériel, ce qui ne permet pas de faire une physique convenable Paragraphe 14-16 Chaque substance est un monde fermé sur lui-même qui dépend de Dieu, les substances n’ont pas d’interaction réelles entre elles Paradoxe : 1) Leibniz affirme que mon corps et mon âme n’interagisse pas 2) Mon et mon âme interagisse Mais > ce n’est pas là une contradiction car ça dépend du plan à partir duquel on parle ! N.B : la notion de force dans la matière permet de dépasser le dualisme de Spinoza et Descartes, ainsi que la thèse matérialiste ( provient d’Epicure et Lucrèce) En effet, pour Leibniz, il y a de la finalité dans la nature Paragraphe 19-22 : Théorie de la nature matérielle La réalité en son fond n’est pas matérielle, les manifestations phénoménales n’ont pas autant de réalité que l’esprit Il y a dans la matière ce qui est doté d’esprit, mais c’est alors d’un « esprit affaiblit » qu’il s’agit, comme une force primitive interne à la matière Ainsi > Leibniz établit une science qui admet une cause finale (et non efficiente) contrairement à la physique mécanique post Descartes Il veut rendre compte de la raison derrière l’existence du monde Donc > Il n’y a pas de substance purement matérielle d’un coté, et de substance pensante de l’autre Seuls les esprits sont de véritables substances provenant de Dieu, mais également capable d’y faire retour en cherchant à connaître Dieu (contrairement aux animaux qui sont pourtant doté d’une « âme » chez Leibniz) Paragraphe 23-29 : Théorie sur la modalité fonctionnel de l’esprit humain dans l’appréhension de la vérité ( Théorie de la connaissance) 23-25 : La question de la nature de nos idées 26-29 : D’où nous vienne nos idées ? N.B : Descartes et Hume pensent qu’on ne connaît pas par les concept mais bien par les idées Il n’y a que Dieu qui ait des Idées chez Saint Augustin, tandis que l’homme connaît par les concept Innéisme cartésien => Nos idées sont contenues dans l’esprit sans qu’il y a besoin de recourir à l’expérience, elle naissent avec nous sans avoir une source sensorielle Notamment l’idée de Dieu ou d’infini qui sont l’empreinte du créateur sur sa créature N.B : Leibniz fait la critique de l’entendement humain de Locke (rejette l’empirisme mais en garde le meilleur) L’esprit tire ses propres connaissances de lui-même mais cela ne veut pas dire qu’il est fermé sur lui-même car ses représentations sont ouvertes sur le monde De plus > La volonté humaine est spontanée mais peut être touché par la grâce divine qui amène l’homme a faire le bien (N.B : les philosophes se sont appropriés les thèmes théologiques) Paragraphe 32-37 Il y a une union de l’esprit avec Dieu L’esprit est bien plus dépendant de Dieu que du monde matériel, ce qui en fait une substance supérieur De plus > Les substances n’interagissent pas, mais on peut expliquer ce qui arrive à l’un avec ce qui arrive à un autre, Leibniz n’exclut pas totalement l’explication empiristes des phénomènes naturelle Pour ce qui est de l’union de l’âme et du corps, Leibniz prétend à une théorie originale bien qu’il partage le refus des causes efficientes avec Spinoza et Malebranche Parallélisme Spinoziste Occasionnalisme Malebranche Retour paragraphe 34-35 : Union de l’esprit et Dieu 1) Seuls les espritùs accèdent à la raison 2) Toute substance est immortelles selon sa substance propre CAD que la matière est impérissable mais seule l’immortalité individuelle appartient aux esprits car ils ont une union plus étroite avec eux-mêmes 3) Leibniz reprend l’idée d’une cité ou République des esprits dont Dieu serait le monarque à Saint Augustin, « La cité de Dieu » Bref > Leibniz entreprend ici un discours métaphysique : « science de l’idée ou sciences des 1ers principes ou encore science de l’étant en tant qu étant » => Au contraire un empiriste tel que Condillac pense qu’il est impossible de spéculer sur l’être en tant qu’être mais qu’on peut néanmoins prétendre à une théorie des principes de l’entendement humain ( Leibniz admet également que la le discours métaphysique puisse porter sur l’entendement) Cours du 25 février Article 8-16 : La théorie de la substance Diff entre substance logique, physique et ontique Substance = foyer d’action autonome mais harmonisé ave toutes les autres substances =>Concept de forme pour penser le corps pose problème si le corps est un phénomène et non une substance authentique, car chez Leibniz seul l’esprit est une substance authentique Concept de substance complexe = concerne les personne doté d’un esprit Forme substantiel = corps dépourvu d’âme Est-ce q’il y a un seul concept de substance, un concept systématique et homogène? Tout comme il n’y a qu’un concept de Dieu ? Le concept de substance paraît assez hétéroclite, traversé par des problématique différentes ? Leibniz fait-il une uploads/Philosophie/ histoire-de-la-philosphie-leibni1.pdf
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- Publié le Nov 25, 2021
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