Bibliographie : - Yve Menie, Politique Comparée (ressemble au droit strat mais

Bibliographie : - Yve Menie, Politique Comparée (ressemble au droit strat mais violet): très descriptif, infos très riche et actualisée. - Les démocraties occidentales, Hans Spetter, Kriesi (chez economica, ancien 1994). Plus problématique, rend compte d'un nombre de dynamique de manière relativement fine. - Bertrand Badie et Guy Hermet, la politique comparé chez Armand Colin. 2001. – Ouvrage le plus sophistiqué sur le plan théorique. Comparer est spécifier, confronter et classer ce que l'on étudie dans le but de parvenir a une généralisation. C'est rechercher des singularités et des points commun qu'on essaye ainsi de mieux expliquer. C'est comprendre les dynamiques, l'histoire des phénomènes sociaux, caractériser les formes provisoirement adoptée par ces derniers. La science politique s'est constituer autour de cette méthode et les travaux comparatif forment aujourd'hui une part importante des analyses conduite sur la diversité des phénomènes sociaux politiques. Section I : Comparer en science politique a-t-il a sens? La méthode comparative s'est imposée de manière générale comme un substitut a l'expérimentation. En science sociale on ne peut pas manipuler les éléments sociaux en laboratoires alors on compare des faits sociaux relevant de catégories similaire, dans des situations historique géographique différents. On s'est intéressé aux comportements politiques qui sont devenu les objets de la comparaison entre différent pays au sein même. L'un des comportements politiques que l'on a essayé d'expliquer c'est le vote, et définir les variables explicatives du vote, pourquoi est-ce que zone X vote droite, et Y vote gauche? La comparaison est la méthode de la science politique toute entière. Il est difficile de savoir s'il y'a un objet a la méthode comparée, car ils sont tous susceptible d'être les sujet de la comparaison. Le seul point de départ est de considérer qu'un certain nombre d'objet sociaux appartiennent au même type de catégorie. Boulard a essayer d'expliquer les différence de vote entre les conservateurs et les progressistes des différentes circonscription électorale en France en les reliant au variable qu'est l'impacte du christianisme. Cependant la méthode comparée a des problèmes. L'environnement dans lequel se construit un objet social est d'une complexité extraordinaire, et prend en compte un ensemble de variable diverse, chaque variable étant potentiellement explicative de l'objet et chacun étant difficile a isoler des autres variables. Y'a des variables qui se produisent qu'une seul foi. En science sociale la comparaison ne peut pas servir de simple supplétif a l'impossibilité de l'expérimentation. Parce que deux contextes ne sont jamais identiques on ne pourra jamais les comparer ou isoler les facteurs. Alors on s'arrête d'une certaine manière. A. La crise du comparatisme 1 La méthode comparée est rentrée en crise dans les années 60s du fait que des nombreux nouveaux états vont intervenir dans la scène politique internationale. Ces nouveaux états vont avoir des caractéristiques qui vont ne plus représenter l'œuvre définit par le model occidental. Quand on commence a se dire qu'il ne s'agit plus de comparer le parlement français avec le parlement britannique, mais français/égyptien, vie politique britannique, avec vie politique Burkina Faso – les différences sembles bien trop importante pour qu'elles bénéficient a la science politique. Si on compare la cour constitutionnel marocaine, et la cour suprême des USA, est-ce que ca peut réellement servir? La théorie du developementalisme avait pour ambition de sauver la méthode comparée. L'argument de cette théorie était simple, il stipulait que si la comparaison entre les sociétés extra-occidental était difficile a mettre en œuvre il était plus efficace de postuler que les conditions présentées du fonctionnement étaient finalement comparables, proche du mode de fonctionnement qu'avait connu les sociétés occidental historiquement. Il s'agissait juste d'un léger retard. Robert Dahl considère la polyarchie (la forme moderne de la démocratie). Pour lui c'est les USA des années 60/70s. Robert Dahl considère qu'il s'agit de comparer toutes les sociétés et il calculait un certain nombre d'indicateur. Il considérait aussi le niveau d'éducation comme indicateur. Plus le PNB était élevé plus la modernité politique était en mesure d'être atteinte. Parmi ces théoriciens du developementalisme Karl Dutsch et Daniel Lerner vont procéder par comparaison de niveau de mobilisation sociale. Cela est le degré de déliquescence des allégeances communautaires traditionnelles, les liens au sein des ethnies, au sein des villages, familiaux. C'est la destruction de ces liens qui permet de construire de nouveaux liens autour de l'état; plus ces premières allégeance sont détruit plus la modernité est atteinte. Les développementalistes faisaient échos a une théorie universel, toutes les sociétés changent, vers une modernité unique uniforme assimilable a l'état démocratique occidental. Dans les années 60, la théorie développementaliste a eu un succès énorme car il a été utilisé pour légitimer l'aide au tiers monde. Cela a permit l'importation massive de model occidentaux au sein de pays en voie de développement. Ca légitimise le pouvoir du prince dans les pays en voie de développement avec l'idée que pour moderniser un certain nombre de ces pays il fallait passer par la voie du régime autoritaire qui permettait de mobiliser suffisamment de ressources pour rattraper les retards dans le développement de ces pays. On voit ainsi les dangers du developementalisme. Les différences sont considérées comme des archaïsmes qu'il faut éradiquer par rapport au model unique du développement unique. Hors toute les différences qu'on peut identifier ne peuvent se déduire a des retards ou avancée différentes sur une ligne unique du développement. Il se pourrait ainsi que la théorie développementaliste ai en fait accélérer le mouvement de crise de la méthode de comparaison. B. Le problème de l'universalisme 2 Le developementalisme considère que l'on peut identifier du politique de manière identique dans toutes les sociétés contemporaine, et que lorsqu'on parle de politique autour d'un concept comme la légitimité de pouvoir on fait l'hypothèse de mécanisme fondamentalement identique aux démocraties occidentales. Il ne peut pas y'avoir une science de politique comparée sans un certain nombre de concept applicable a l'ensemble des situations politiques. La culture des sociétés n'interviendrai pas de façon significative dans les catégories d'analyses qui permettent la création des ordres politiques. Hors ce postulat est totalement discutable dans le sens que le politique ne recouvre pas la même chose d'une société a une autre. Les pratiques politiques ont tendance a se diversifier au fur a mesure de l'histoire. A mesure que ces états ont construit leurs vies politiques des processus irréductibles sont apparus. On a mis en évidence des mécanismes d'hybridation des pratiques politique qui ne répond pas aux conditions d'un model universel de développement. On s'organise de plus en plus par rapport a la spécificité de la pratique politique. L'échec en Afrique et en Asie du model occidental. C'est un retour de l'anthropologie politique qui va mettre l'accent sur la grande diversité des scènes/cultures politiques. Sur la base de la vaste déconstruction, ou du comparatisme, c'est bien la définition même du politique qui a fini par poser problème; est-il raisonnable de fonder une science politique sur une définition du politique tellement extensive qu'elle peut s'appliquer a toutes les sociétés contemporaines? On compare dorénavant des modes de définition du politique. Si on définit des concepts de manière relativement abstraite, dégagée de leur contexte spécifique, on peut miser que certain de ces concept peuvent être utilisés comme mode de comparaison d'une société a une autre. On peut penser que les concept de centre politique ou de périphérie, de mobilisation, d'obligation, de domination politique, les concepts de norme sont autant de concept qui peuvent permettre de répondre a cette crise de l'universalisme. Il y'aurai donc des phénomènes sociaux et politique qui transcenderai des cultures qui serait universel, et d'autre qui auraient qu'une valeur locale située dans tel ou tel société. Section 2. Comparer ce qui est comparable 5 démocraties, USA, UK, Italie, Allemagne, la France. On étudiera ces derniers. Ces états ont domine le monde économiquement; ils étaient un levier essentiel pour faire prévaloir leur valeur et organisation politique dans le monde. Les économistes occidentaux, de L'UE ont imposé leur model a ces économie sous le régime communiste (notamment), des reforme judiciaire, administrative, dans le financement etc. Y'a l'Irak qui a vécu l'imposition forcée de la démocratie par les USA. A. de l'état occidental au système politique 3 La spécificité première des société occidentales est l'état moderne. Un espace social différencié au sein de la société avec ses règles propres fonctionnant avec des acteurs spécialisé dans la politique. Le propre de l'état c'est le control de moyen de coercition, police extérieure et intérieure. Weber: l'état est une organisation politique qui gouverne dans un territoire donnée et est capable de mobiliser des moyens coercitifs afin de pouvoir s'imposer. L'une des spécificités de l'état, c'est que ses organes fixent les règles du jeu pour toutes les autres organisations sociales au sein d'un territoire donné. Ce serai sur la base du développement de l'état qu'on peut identifier une identité entre les 5 démocratie qu'on va étudier. Il y'a un même phénomène de centralisation politique, il y'a aussi des différences dans le processus de construction. L'état fort, c'est le model français, l'état faible, le model de l'UK ou USA. 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