Jackson ELIAS Anthropologue américain, 48 ans - Mort le 17 janvier 1925 "Un typ

Jackson ELIAS Anthropologue américain, 48 ans - Mort le 17 janvier 1925 "Un type qui tient une arme dans les mains a déjà perdu sa bataille contre le Mal" AUJOURD'HUI Jackson Elias est un anthropologue reconnu, spécialisé dans les cultes de la mort. Il vient de récolter des informations étonnantes sur l'expédition Carlyle, une expédition qui avait disparu en 1919 au Kenya. Depuis, il se sent menacé. Mais n'ayant aucune preuve, il cherche à en réunir avant d'alerter les autorités. Photographe reconnu, il possède également une petite boutique d'appareils photos. Il est parti à Berlin avec son filleul français Gabriel de Lassieux, pour acheter les tout nouveaux appareils Leica. Il meurt assassiné le samedi 17 janvier 1925 à l'âge de 48 ans. TON PASSE ♦ Quelle est l'histoire de ta famille ? Quels sont les éléments de ton héritage familial qui ont une influence sur ta vie actuelle ? Orphelin, né à Stamford dans le Connecticut en 1877, Jackson Elias a appris très tôt à se débrouiller seul. ♦ Que faisaient tes parents ? Où sont-ils maintenant ? Combien as-tu de frères & sœurs ? Où sont-ils maintenant ? Quelles relations as-tu avec eux ? Jackson Elias est orphelin, il n'a jamais connu ses parents. ♦ Comment s'est passé ton enfance ? Ton adolescence ? As-tu gardé des amis de cette période ? Où sont-ils aujourd'hui ? A l'orphelinat, Jackson Elias a connu les bagarres, la loi du plus fort, et a préféré se battre plutôt que d'être humilié. Il en a gardé un goût certain pour le sport. Il était un excellent Rugbyman, avant que les collèges n'inventent ce sport ridicule appelé Football Américain. Il n'a conservé aucune amitié de l'orphelinat, préférant rompre avec sa vie d'avant. L'armée a été sa vraie famille. En 1899, il a rencontré en France, lors d'une conférence, le Lieutenant de Lassieux, avec qui il a fraternisé. Celui-ci l'a introduit dans sa famille, et lui a même demandé de devenir le parrain de son fils, Gabriel (LE PERSONNAGE DE JEAN-MICHEL). Celui-ci, élevé à la dure par son père, ne réussit pas ses études. A 18 ans, Jackson Elias accepte de le prendre sous son aile à New York. Gabriel traverse l'atlantique sur le Titanic, échappe de justesse au naufrage, et en est marqué à jamais. Jackson Elias recueille un garçon troublé, mais sûr de sa chance incroyable. Il apprend vite, se passionne pour la photo, et devient un bon photographe. Il est devenu le fils adoptif de Jackson Elias. En 1914, malheureusement, Gabriel de Lassieux est rappelé pour faire la guerre en Europe. Il s'en tire bien, devenant photographe des armées. Jackson Elias garde contact avec son filleul. En décembre 1924, Jackson Elias traverse l'atlantique pour visiter les Lassieux et acheter un des tous nouveaux Leica qu'on vend à Berlin. Jackson Elias retrouve son filleul qui boite, mais qui refuse de donner une quelconque raison à ce problème de jambe. La traversée de retour Berlin-New York sera peut-être l'occasion de lui tirer les vers du nez. ♦ Quelle école/formation/parcours as-tu suivi pour obtenir le travail que tu fais aujourd'hui ? En quoi cela a façonné ce que tu es aujourd'hui ? As-tu gardé des amis de cette période ? Où sont-ils aujourd'hui ? Ayant de bons résultats scolaires à l'orphelinat, Jackson Elias a été envoyé en école militaire à Nantucket. Devenu Matelot, il a parcouru le monde grâce à la Navy. Après 5 ans de service, il ne s'est pas rengagé, continuant de parcourir le monde en vendant ses photographies. Il s'est en effet pris de passion pour cette nouvelle technologie. Il a d'ailleurs un petit commerce d'appareil photo dans New York, ce qui lui permet d'avoir un commerce d'appoint si jamais ses livres ne se vendaient plus. Cette passion des voyages l'amène à rencontrer des peuplades indigènes les plus reculés, à découvrir les cultes les plus abominables. Il consigne par écrit ces récits de voyages, et devient un anthropologue reconnu. Rarement, l'anthropologie aura pris autant de risques : Jackson Elias devient vite la référence en matière de cultes de la Mort. (voir ses livres en fin de fiche) T on meilleur ami new-yorkais est Jonah Kensington, le directeur de Prospero Press. C'est ton éditeur. TON PRÉSENT ♦ Comment t'habilles-tu généralement ? Jackson Elias est plutôt élégant. Il aime s'habiller à la mode coloniale anglaise : pantalon de coton, chapeau, rose à la boutonnière. Quand il n'est pas sur le terrain, il déteste les gens mal habillés. ♦ Quelles sont tes couleurs favorites ? Détestées ? Les couleurs criardes lui sont insupportables. Il aime le blanc, le beige, le crème. ♦ Qu'est-ce que tu aimes manger ? Boire ? Il est sociable et ne refuse pas un petit verre de temps à autre. Il fume la pipe. Ce n'est pas un gastronome. L'important, c'est de manger "utile" : ni trop, ni trop peu… ♦ Qu'est-ce que tu détestes ? Les fonctionnaires, les gens qui restent assis sur leur cul à ne rien faire. ♦ Quelle sorte de voix as-tu ? Comment t'exprimes-tu ? As-tu des tics, des expressions favorites ? Jackson Elias a une très belle voix, avec une diction appliquée, à la britannique, il a l'habitude de faire des conférences en public, et il joue à la fois de l'anecdote triviale ou de l'érudition savante. Mais il ne parle jamais de ce qu'il ne connaît pas ou qu'il n'a pas expérimenté lui-même. ♦ As-tu des préjugés, des préférences, quant à la race ou les religions des gens ? Quelles sont tes opinions politiques ? Ayant côtoyé les sectes les plus fanatiques de la planète, Jackson Elias est convaincu de la banalité du Mal : n'importe qui, endoctriné, peut devenir un assassin sanguinaire. Mais ce n'est pas un libéral, il croit que la civilisation occidentale peut amener à moins de fanatisme. ♦ Quelles sont tes valeurs ? Par exemple : honnêteté, cynisme, rejet de la morale bourgeoise, esprit de compétition, etc. ? Courage – Honnêteté intellectuelle –- respect de la parole donnée – Un corps sain dans un esprit sain. ♦ Quel est ton but ultime, ta mission dans la vie ? As-tu des objectifs en vue, des buts immédiats ? Explorer de nouvelles contrées, découvrir de nouveaux cultes sanglants. Mais pour le moment, Jackson Elias a le sentiment d'être épié depuis qu'il s'intéresse à l'Expédition Carlyle. Il hésite à en parler, même à son filleul, tant qu'il n'a de preuves plus précises. ♦ Quels sont les traits de ton caractère qui t'aident à atteindre ces objectifs ? Et ceux qui l'y empêchent ? D'abord, c'est un autodidacte ; il va lui-même sur le terrain, il ne se contente pas de recherches dans des bibliothèques poussiéreuses. Ses travaux de recherche sont très fouillés et s'appuient sur une expérience de première main. Très secret, il ne parle jamais de ses projets avant d'en avoir terminé la rédaction. Ensuite, son domaine de recherche est très spécialisé : ses ouvrages ne décrivent que les cultes consacrés la mort. Mais son souci d'honnêteté interdit à Jackson Elias de parler d'un quelconque sujet tant qu'il n'a pas acquis de certitudes absolue. ♦ Quels sont tes qualités ? Tes défauts ? Fidèle en Amitié - athlétique – beau (pour son âge) / fascination morbide pour ces cultes sanglants ♦ Est-ce que tu as un truc spécial qui te donne un certain avantage ? Est-ce que tu as une bizarrerie qui te handicape ? Non. ♦ Pourquoi es-tu à Berlin ? Pourquoi vas-tu à New York ? Jackson Elias accompagne son filleul parti acheter les nouveaux appareils photographiques Leica. Peut-être lui parlera-t-il de cette menace diffuse ? ♦ DERNIERE QUESTION (Y REPONDRE LORS DE LA PREMIERE PARTIE) : Comment as-tu rencontré le personnage assis à côté de toi (tu viens de le rencontrer parce qu'il s'est assis à la même table, ou c'est ton copain d'enfance ?) Quelle est la qualité (bonne/mauvaise/indifférente) de tes relations avec lui ? Ce dont tu peux parler durant le trajet Berlin-NY : Tous les ouvrages de Jackson Elias expliquent comment les cultes exploitent leurs adeptes. Elias est un sceptique qui n'a jamais découvert de preuves démontrant l'existence des pouvoirs surnaturels, de la magie ou des dieux. Pour lui, les adeptes des cultes de la mort se caractérisent d'abord par leur folie et leur complexe d'infériorité. Ils massacrent des innocents pour se sentir puissants ou élus. Les cultes attirent essentiellement des faibles d'esprit, même si leurs chefs sont généralement très intelligents et manipulateurs. Lorsqu'un culte cesse de terrifier, il disparaît inéluctablement. LIVRES - Des Crânes sur le Fleuve, (1910). Traite du culte des chasseurs de têtes du bassin de l'Amazone. - Les Maîtres des Arts Noirs (1912). Un survol des cultes sorciers à travers l'histoire Le Chemin de la Terreur (1913). Analyse le système de la peur employé par les cultes. Une introduction enthousiaste de Georges Sorel. - Un Cœur Encore Fumant (1915). La première partie traite des cultes de la mort historiques de la civilisation maya, la seconde décrit certains cultes de la mort existant uploads/Religion/ j-elias-lr.pdf

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  • Publié le Jui 26, 2021
  • Catégorie Religion
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