1 Sommaire : Avant-Propos : page : 2 PHASE-1 I/ Notions Préliminaires : page :

1 Sommaire : Avant-Propos : page : 2 PHASE-1 I/ Notions Préliminaires : page : 3 1-A/ Sur la Divinité page : 3 1-B/ Sur la Création page : 5  Le Zodiaque page : 5  La Genèse Biblique page : 5  Les dix Mondes (Sephiroth) page : 8  YHVV (Tétragramme) page : 13 1-C/ Sur les Forces Agissantes de l’Univers page : 14 1-D/ Sur la Loi qui gouverne l’Univers page : 15  Les Lois Naturelles page : 16  Les Lois Morales page : 16  Les Lois Spirituelles page : 16 1-E/ Sur le Monde de l’Homme page : 17  L’Homme page : 17  Le Bien et le Mal page : 17  Le Karma page : 18  La Mort page : 18  Les Démons et Vampires page : 20 PHASE-2 II/ Explication Astrale page : 22 2-A/ Sur les Influences Astrales page : 22  Paramètres (1 à 10) 2-B/ Sur la position cardinale des Signes page : 31 PHASE-3 : Le Journal page : 32 2 Avant-Propos : C’est en toute humilité que j’ai opté pour cette présentation sous forme d’un journal. D’une part parce que je ne détiens pas toute la vérité, et d’autre part, parce que je continue de la chercher. Mon travail a été semblable à celui d’un journaliste qui après plusieurs investigations doit présenter les faits, dans un journal. Autant les trente (30) minutes qui y sont consacrées sont non seulement très peu pour présenter l’intégralité de toutes les informations, mais contraignent aussi tout journaliste à diffuser les informations en fonction de leurs priorités. J’ai été confronté au même problème, puis qu’en un livre, il soit impossible de présenter la synthèse des informations et analyses recueillies sur sept (7) années. J’ai dû aller à l’essentiel en fonction des questions et préoccupations de base de chacun. J’ai lu plusieurs livres et j’en ai fait une synthèse plus claire et plus progressive pour quiconque décide de percer un aspect des vérités fondamentales. Aussi, la trilogie s’impose, à travers trois recueils dont cette première partie s’intitule : Le Journal de Malkuth (pour ouvrir les yeux). Loin de présenter ma vision personnelle des choses, c’est plutôt la synthèse des visions de tout le monde que je présente. Et c’est justement en cela que se trouve l’innovation de mon journal. Ci-dessous une liste des quelques livres lus.  Sefer Yesirah (ou livre de la Création)  Berechith (Houmach avec Rachi)  La Thora « le code chiffré » (le paramètre 1820)  Le Grand Livre des Invocations et des Exhortations (Haziel)  Rituel de Magie Blanche (tome II)  Le livre de la chance (Papus)  Les 22 lettres Hébraïques (Haïa Maruani)  Cahier Zain (Cours de Philosophie Esotérique)  Miroir de Gbekley 3 Phase 1 I/ Notions Préliminaires : 1-A/ Sur la Divinité : La Théologie vient du grec Théo (dieu) et Logos (science) ; c’est donc la science de Dieu. Sachant qu’on y étudie toutes les formes de divinités sur cette terre, elle s’apparente plutôt à la science des dieux. Que signifie réellement D.I.E.U ? = Divinité Immortelle Eternelle Universelle Je m’efforcerai ici de donner une explication simple, sur les principes de base qui conditionnent la vie sur cette terre, de manière claire et compréhensible pour tout le monde, quel que soit sa religion, le Dieu de son cœur, sa croyance ou non croyance.  Chaque culture ou civilisation admet qu’il y’a un dieu (monothéiste) ou plusieurs divinités (polythéistes) ;  La diversité se retrouve dans la nature à travers les races, les espèces quelque soit le règne minéral, végétal, animal, et humain ;  Des choses s’attirent, se repoussent, tout comme les gens s’aiment ou se détestent ;  Toute chose a son contraire (dualité), mais il existe des exceptions à cette règle ;  Tout être vivant doit se nourrir pour vivre ;  Il y’a une loi qui gouverne tout dans l’univers, depuis les structures de la matière (atomes) jusqu’aux mouvements des planètes (gravitation). 4 Aux vues de ces analyses, il est normal de conclure que nous ne pouvons jamais avoir une idée ou opinion commune sur Dieu. La seule vision holistique possible réside dans la recherche des points communs entre toutes les religions. La diversité des cultures implique des modes de pensées diverses, des pratiques et rites variés. C’est en essayant d’imposer à tout le monde un seul mode de pensées que réside la source des querelles. C’est plutôt dans toutes les formes de pensées, toutes les formes de croyances que moi je cherche le discours et la compréhension qui leurs sont communs. C’est dans cette diversité que se trouve la richesse de cette humanité. C’est plutôt dans la complémentarité que réside la solution et surtout la meilleure compréhension. Là où la querelle des religions n’a plus sa raison d’être, c’est que si chacune d’entre elle admet qu’il y’a un Dieu différent, la planète serait donc la conséquence d’une structure en puzzle, où le Bouddha aurait formé l’Inde, le Dragon la Chine, les Totems l’Afrique, Zeus la Grèce, Osiris l’Egypte, Yahvé Israël etc.. Puisqu’il n’en est pas ainsi, nous sommes d’accord sur ce problème dans le FOND, pour ce qui relève de l’existence de Dieu (à l’exception des athées) ; c’est dans la FORME à savoir son interprétation, sa compréhension, ses manifestations et le nom que chaque culture attribue à ce Dieu que débute les conflits. Ceux-ci n’ont pas lieu d’être si chacun faisait preuve de tolérance et d’humilité. A titre d’exemple : il existe plusieurs quiches ; la lorraine, aux épinards ou saumon ; les recettes sont différentes par rapport aux régions ; n’oublions pas qu’il y’a aussi des touches personnelles que chaque cuisinier peut y apporter. Tout comme les salades, la Niçoise, la Lambert etc… Sans jeux de mots, toute cette « salade religieuse » dépend tout simplement des « ingrédients » de chaque doctrine. Mais la culture, les régions et surtout les migrations des populations sont aussi responsables soit des touches 5 personnelles qu’on a pu y rajouter, soit par des déformations glissées dans la transmission, soit par la mauvaise compréhension ou interprétation de leur diffusion. Au lieu de tolérer la différence (l’inconnu qui nous échappe et qui nous diversifie), les gens ont préféré imposer des vérités locales, relatives à leur propre culture pour en faire des vérités nationales ou universelles. Il n’y a là qu’erreur de jugement à répétition. Aucune société ne peut imposer sa culture et les fruits de sa région comme base de référence universelle, elle ne peut pas non plus imposer sa religion et ses croyances aux autres cultures. Si quelque part ce Dieu existentiel a préféré créer cette diversité, il est logique que nous n’aurons que des notions partielles (locale, régionale, ethnique, nationale) de cette Divinité universelle par rapport au mode de pensée propre à chaque culture et surtout, la représentation qu’on s’en fait dans la religion relative à chaque localité ou pays. On aura autant de Dieu différent qu’il y’aura de variétés de pommes différentes dans un même pays où sur un même continent. Une pomme sera toujours une pomme et Dieu restera toujours Dieu. Mais de grâce, que personne ne revendique que la pomme de sa région soit la pomme originelle ! Et l’incident sera clos. Il peut exister des variétés importées de fruits ou d’arbres, là nous nous trouvons dans le cas particulier d’une religion importée. C’est en cela que les Missionnaires ont beaucoup poussé les Africains à tourner le dos à leurs valeurs fondamentales afin de porter haut des idées qu’on leurs a inculquées. C’est la culture qui modifie les croyances et non l’inverse. Or la culture elle- même est conditionnée par le facteur social et démographique. La science seule nous permet de contenir la superstition, quant à la tolérance, elle nous aide à mieux gérer les incompréhensions. La spiritualité quant à elle, nous permet de trouver le noyau commun de toutes les civilisations et religions. 6 Un exemple simple :  certaines religions enseignent qu’il est interdit de boire de l’alcool. Aller dire ça à Moscou, où il fait -40 degré et où boire de la vodka est une nécessité vitale ;  une religion particulière impose à ses membres de marcher pieds nus ; ce qui est acceptable dans un pays au climat clément et tropical. Les gens seront surpris de voir qu’à Paris, ces membres sont bien chaussés et ne retirent leurs souliers qu’à l’entrée de leur temple. Le climat n’étant plus le même ; Si ce qu’une religion interdit dans un pays est permis dans un autre à cause d’un facteur culturel ou climatique ? Alors les doctrines religieuses sont bien conçues dans leurs formes en fonction de l’objectif qu’on veut atteindre et non réellement en fonction de ce qu’un Dieu aurait vraiment voulu. Car un Dieu ne se contredirait jamais d’un pays à l’autre, encore moins sur des futilités pareilles liées aux chaussures et breuvages. Pour le cas particulier de l’athée, il est erroné de uploads/Religion/ journal-de-malkuth-livre.pdf

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  • Publié le Nov 04, 2022
  • Catégorie Religion
  • Langue French
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