IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTEL

IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EX POSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXP OSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOS É : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’ INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE IGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGE EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELL NCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL EXPOSÉ : L’INTELL THEME : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Professeur : M. Diallo Abdoul Razak Année scolaire : 2018-2019 Présenter par : Yao Kouassi Thimotée, Legret Edgar, Kouassi Kouamé Marius, Kouyaté Adaman, Institut Scolaire Secondaire ESSEIGOU AKA 14 BP 2251 Abidjan 14 isseaabidjan@aviso.ci Tél. : 24-48-08-83 / 05-42-97-51 NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. NCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. EXPOSÉ : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. SOMMAIRE. INTRODUCTION ............................................................................................. P1 DEFINITION .................................................................................................... P2 L’HISTORIQUE DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ............................... P2 LES COURANTS DE PENSEE .......................................................................... P3 LES TYPES D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE .............................................. P4 LA CONCEPTION DE SYSTEMES D’IA… ....................................................... P6 LES DIFFERENTES FACETTES DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ...... P6 LES PRECURSEURS ......................................................................................... P7 LES DOMAINES D’APPLICATION ................................................................ P10 LES QUESTIONS SOULEVEES PAR L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE .............................................................................................. P11 CONCLUSION ......................................................................................................... P13 1 INTRODUCTION. L'intelligence artificielle ou informatique cognitive est la « recherche de moyens susceptibles de doter les systèmes informatiques de capacités intellectuelles comparables à celles des êtres humains ». 2 I) DEFINITION. Le terme intelligence artificielle, créé par John McCarthy, est souvent abrégé par le sigle IA. Il est défini par l’un de ses créateurs, Marvin Lee Minsky, comme « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel, l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique ». On y trouve donc le côté « artificiel » atteint par l'usage des ordinateurs ou de processus électroniques élaborés et le côté « intelligence » associé à son but d'imiter le comportement. Cette imitation peut se faire dans le raisonnement, par exemple dans les jeux ou la pratique de mathématiques, dans la compréhension des langues naturelles, dans la perception : visuelle (interprétation des images et des scènes), auditive (compréhension du langage parlé) ou par d'autres capteurs, dans la commande d'un robot dans un milieu inconnu ou hostile. Le robot humanoïde ASIMO Même si elles respectent globalement la définition de Minsky, il existe un certain nombre de définitions différentes de l'IA qui varient sur deux points fondamentaux :  Les définitions qui lient la définition de l'IA à un aspect humain de l'intelligence, et celles qui la lient à un modèle idéal d'intelligence, non forcément humaine, nommée rationalité.  Les définitions qui insistent sur le fait que l'IA a pour but d'avoir toutes les apparences de l'intelligence (humaine ou rationnelle), et celles qui insistent sur le fait que le fonctionnement interne du système IA doit ressembler également à celui de l'être humain ou être rationnel. Cependant qu’elle est son histoire ? II) L’HISTORIQUE DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Historiquement, elle trouve son point de départ dans les années 1950 avec les travaux d'Alan Turing, qui se demande si une machine peut « penser ». Le 3 développement croissant des technologies informatiques (puissance de calcul) et des techniques algorithmiques (notamment l'apprentissage profond ou deep learning) ont permis la réalisation de programmes informatiques surpassant l'homme dans certaines de ses 4 capacités cognitives emblématiques : le jeu d'échecs en 1997, le jeu de go en 2016 et le poker en 2017. L'une des origines de l'intelligence artificielle se trouve probablement dans l'article d'Alan Turing « Computing Machinery and Intelligence » (Mind, octobre 1950), où Turing explore le problème et propose une expérience maintenant connue sous le nom de test de Turing dans une tentative de définition d'un standard permettant de qualifier une machine de « consciente ». Il développe cette idée dans plusieurs forums, dans la conférence « L'intelligence de la machine, une idée hérétique », dans la conférence qu'il donne à la BBC3 programme le 15 mai 1951 « Les calculateurs numériques peuvent-ils penser ? » ou la discussion avec M.H.A. Newman, Sir Geoffrey Jefferson et R.B. Braithwaite les 14 et 23 janvier 1952 sur le thème « Les ordinateurs peuvent-ils penser ? ». L'autre origine probable est la publication, en 1949, par Warren Weaver de son mémorandum sur la traduction automatique des langues qui suggère qu'une machine puisse faire une tâche qui relève typiquement de l'intelligence humaine. On considère que l'intelligence artificielle, en tant que domaine de recherche, a été créée à la conférence qui s'est tenue sur le campus de Dartmouth College pendant l’été 1956 à laquelle assistaient ceux qui vont marquer la discipline. L'intelligence artificielle se développe ensuite surtout aux États-Unis à l'université Stanford sous l'impulsion de John McCarthy, au MIT sous celle de Marvin Minsky, à l'université Carnegie-Mellon sous celle de Allen Newell et Herbert Simon et à l'université d'Édimbourg sous celle de Donald Michie. En France, l'un des pionniers est Jacques Pitrat. Toutefois le sujet de l'intelligence artificielle est un sujet dont les bornes peuvent varier. Par exemple, la recherche d'un itinéraire était considérée comme un problème d'intelligence artificielle dans les années 1950, alors que depuis que des applications sont dotées d'algorithmes pour résoudre ces questions la recherche d'itinéraires n'est plus considérée comme de l'intelligence artificielle. III) LES COURANTS DE PENSEE. La cybernétique naissante des années quarante revendiquait très clairement son caractère pluridisciplinaire (Qui concerne plusieurs disciplines ou domaines de recherche.) et se nourrissait des contributions les plus diverses : neurophysiologie, psychologie, logique, sciences sociales… Et c’est tout naturellement qu’elle envisagea deux approches des systèmes, deux approches reprises par les sciences cognitives et de ce fait l’intelligence artificielle :  une approche par la décomposition (du haut vers le bas),  une approche contraire par construction progressive du bas vers le haut. Ces deux approches se révèlent plutôt complémentaires que contradictoires : on est à l'aise pour décomposer rapidement ce que l'on connaît bien, et une approche pragmatique à partir des seuls élements que l'on connaît afin de se familiariser avec les concepts émergents est plus utile pour le domaine inconnus. Elles sont respectivement à la base des hypothèses de travail que constituent le cognitivisme et 5 le connexionnisme, qui tentent aujourd'hui (2005) d'opérer progressivement leur fusion. . Cognitivisme Le cognitivisme considère que le vivant, tel un ordinateur (bien que par des procédés évidemment très différents), manipule essentiellement des symboles élémentaires. Dans son 6 livre La société de l’esprit, Marvin Minsky, s’appuyant sur des observations du psychologue Jean Piaget envisage le processus cognitif comme une compétition d’agents fournissant des réponses partielles et dont les avis sont arbitrés par d’autres agents. Il cite les exemples suivants de Piaget :  L’enfant croit d’abord que plus le niveau d’eau est élevé dans un verre, plus il y a d’eau dans ce verre. Après avoir joué avec des transvasements successifs, il intègre le fait que la notion de hauteur du liquide dans le verre entre en compétition avec celle du diamètre du verre, et arbitre de son mieux entre les deux.  Il vit ensuite une expérience analogue en manipulant de la pâte à modeler : la réduction de plusieurs objets temporairement représentés à une même boule de pâte l’incite à dégager un concept de conservation de la quantité de matière. Au bout du compte, ces jeux d’enfants se révèlent essentiels à la formation de l’esprit, qui dégage quelques règles pour arbitrer les différents éléments d’appréciation qu’il rencontre, par essais et erreurs. . Connexionnisme Le connexionnisme, se référant aux processus auto-organisationnels, envisage la cognition comme le résultat d’une interaction globale des parties élémentaires d’un système. On ne peut nier que le chien dispose d'une sorte de connaissance des équations différentielles du mouvement, puisqu’il arrive à attraper un bâton au vol. Et pas davantage qu’un chat ait aussi une sorte de connaissance de la loi de chute des corps, puisqu’il se comporte comme s’il savait à partir de quelle hauteur il ne doit plus essayer de sauter directement pour se diriger vers le sol. Cette faculté qui évoque un peu l’intuition des philosophes se caractériserait par la uploads/Science et Technologie/ yale.pdf

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