Christian FLÈCHE DÉCODAGE BIOLOGIQUE DES MALADIES Troisième édition revue et au
Christian FLÈCHE DÉCODAGE BIOLOGIQUE DES MALADIES Troisième édition revue et augmentée L’encyclopédie des correspondances symptômes – émotions Le Souffle d’Or 5 allée du Torrent – 05000 Gap (France) www.souffledor.fr Je dédicace ce livre à tous mes patients du passé, du présent et de l’avenir qui furent, sont et seront sans le savoir mes Maîtres. Vous m’avez appris mon métier et tant d’autres leçons sur l’humanité, sur la Vie et sur moi-même que je vous dois chaque ligne de ce livre. Merci. L Introduction e Décodage Biologique permet de comprendre l’origine d’une maladie quelle qu’elle soit. Selon cette méthode, la localisation corporelle du symptôme indique une émotion refoulée, et une signification associée à un événement, senti comme désagréable, le biochoc. La maladie n’apparaît plus comme un mal ou un problème ; bien plutôt comme un indicateur sur lequel chacun d’entre nous peut compter pour sa transformation. Cela permet de déterminer la cause profonde d’un symptôme récurrent, de prendre conscience de la symbolique qu’elle représente pour le patient, d’identifier l’émotion liée à la gêne ou à la pathologie et de libérer le patient de l’émotion. L’adaptation biologique que constitue le symptôme n’a alors plus lieu d’être, et le symptôme disparaît de lui-même. De toujours comme de jamais… Ce livre, que vous tenez entre les mains, est à la fois ancien et nouveau. Tout comme notre corps ! Issu de milliers d’années d’adaptation à l’environnement, le corps est le témoin de notre survie dans des conditions de stress extrêmement variées : froid, chaud, guerre, famine, changements de tout genre… Notre présence vivante aujourd’hui est le signe incontestable du succès de la dernière version biologique en date qu’est le corps, ce corps inséparable de l’esprit. C’est là tout le thème de ce livre qui est, à la fois, une réédition de la structure et de l’esprit du précédent livre édité en 2001, Décodage biologique des maladies – Manuel pratique, et une œuvre totalement nouvelle, car tout, de fond en comble, a été repris et complété. Devant le succès de cet ouvrage, il m’est apparu indispensable d’offrir un manuel plus complet, enrichi de nouveaux décodages. Rassurez- vous : ce qui fut écrit est toujours valable, les yeux servent toujours à voir, les poumons à respirer, l’eczéma est encore relié à un conflit de séparation. Nonobstant, depuis l’année de sa parution, mes confrères et moi-même avons continué d’écouter biologiquement ! Et de récolter de nouvelles compréhensions des liens maladie – ressenti biologique conflictuel, c’est-à- dire de nouveaux décodages biologiques des maladies. Toutes ces expériences ont constitué un spicilège, un bouquet de fleurs et d’épis lourds de grains. Les voici réunis dans cet ouvrage divisé par appareil tout comme notre corps qui est un assemblage d’appareils : digestif, respiratoire, rénal, cardiaque… Tous ces appareils sont solidaires pour nous maintenir en vie et, dans ce but, assurent une fonction spécifique, unique : digérer, respirer, éliminer… Sources Quant aux sources de ces hypothèses, de ces décodages biologiques, vous trouverez de temps à autre dans le texte le nom de la personne par laquelle ce décodage m’est arrivé. Bien sûr, cela ne lui appartient en aucune façon, elle n’en est pas l’auteur, mais le découvreur. Et, fait curieux, mais pas aussi étonnant que cela, le même décodage m’est parfois arrivé simultanément par deux personnes ne se connaissant pas mais, simplement, ayant la même écoute biologique. Ainsi, le décodage des méninges m’est apparu évident à l’écoute d’une patiente qui avait peur pour son cerveau et voulait le protéger (un des rôles de ces enveloppes que sont les méninges est la protection du cerveau). Surprise, lorsque j’entendis un médecin proposer le même décodage en conférence quelques jours plus tard. Très souvent, je remarque cette synchronicité de découverte. Pour ces raisons, j’ai choisi de ne pas indiquer l’auteur de façon systématique après chaque décodage. D’après moi, le patient, atteint de paralysie, d’asthme ou d’hémorroïdes, et le thérapeute ayant à décoder cela, n’auront que faire de savoir que c’est M. Untel ou Mme Unetelle qui a le premier mis cela en mots. Seuls comptent : entendre, se connaître, changer. Ainsi, le texte ne sera pas alourdi et les egos des découvreurs non plus. Et puis parfois, c’est vrai, j’ai tout simplement oublié comment l’information est arrivée jusqu’à moi. Est-ce durant la consultation qu’est venu un éclair soudain ? Est-ce à la lecture de l’ouvrage de Robert Guinée ? Au cours d’une conversation avec Jean-Jacques Lagardet ou Philippe Lévy ? L’essentiel, au fond est le partage d’expériences ; car je sais par vos témoignages le profit que vous en avez et que vous allez pouvoir en retirer. Les phrases conflictuelles seront des panneaux indicateurs sur votre route. Le but de la quête n’est pas le panneau, ce dernier indique une émotion mais n’en est pas une. Alors, ne vous arrêtez jamais sur un panneau, jamais avant d’avoir revécu ou fait revivre ces émotions, ces ressentis à fond, c’est-à-dire jusqu’à leurs transformations. Allez au bout du chemin. Pour cela, il est préférable d’être deux. « Un malheur partagé diminue de moitié », dit un proverbe suédois. Le choc est un drame vécu seul. La résolution est de revivre ce même drame, mais à deux. « Je vous prête mes oreilles afin que vous puissiez mieux vous entendre » a si bien dit et mis en œuvre Françoise Dolto. Spécificités du Bio-décodage Si, par ailleurs, d’autres ouvrages fort intéressants proposent des causes psychologiques aux maladies, je tiens à vous redire les spécificités du Bio- décodage. Il ne s’agit pas de conflits psychologiques mais de conflits biologiques. Mais qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ? En effet, beaucoup de chercheurs aujourd’hui s’entendent pour dire que la maladie a un sens précis : psychologique, symbolique, métaphysique… Hypothèses toujours passionnantes lorsqu’elles révèlent le malade à lui-même. Jusqu’à Hippocrate lui-même qui affirmait : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». Mais se guérir de quoi ? – De quelque chose de pire que la maladie, forcément ! Sinon cela serait d’une perversité cruelle, illogique. – De quelque chose que nous n’avons pas en conscience bien sûr, sinon tout le monde serait d’accord sur l’origine des maladies ! – De quelque chose dont la maladie serait comme la solution, l’issue de secours. C’est cela que propose le Bio-décodage : la maladie est utile, et parfois vitale ! C’est ce que j’appelle « le sens biologique » des maladies. De quoi s’agit-il ?… Le sens biologique Avez-vous clairement conscience de votre respiration ? Du volume d’air que vous utilisez en ce moment ? De la quantité de poumons que vous sollicitez à chaque respiration ? Savez-vous quel pourcentage de votre capacité respiratoire vous utilisez la plupart du temps ? – 80 % ? – Non. – 50 % ? – Non plus. Environ 9 % (1/2 litre sur 6 litres de capacité pulmonaire). Et le pourcentage de vos capacités musculaires ? Utilisez-vous à fond tous vos muscles à chaque instant ? Non, bien sûr. Et vos capacités cardiaque, digestive, intellectuelle ? Un faible pourcentage. Toujours. Que dire de vos spermatozoïdes, Messieurs, de vos ovules, Mesdames ? Dans une vie, combien ont été utiles ? Comptez vos enfants et vous aurez la réponse. Alors pourquoi ce plus de poumons, ce surcroît de muscles, ce gâchis de spermatozoïdes, d’estomac, de cœur ? Vous pouvez vivre une vie normale avec un seul rein, un seul poumon, et 60 % de vos artères coronaires bouchées ! Étonnant, n’est-ce pas ? Il y a bien un sens à ce supplément d’organes, à cette apparente inutilité : ce sont les situations d’urgence, d’exception. Vous montez l’escalier en courant, vous êtes poursuivi par un chien fou, vous avez loupé le bus et vous courez dans la rue… À ces occasions, vous utiliserez à 100 % vos poumons, vos artères, vos muscles… Ainsi le corps n’entretient la plupart de ses cellules que « pour le cas où ! » Mais si la situation devient encore plus exceptionnelle, alors la réserve de poumons, de cœur, de cerveau, d’intestins, etc., ne sera plus suffisante. Aussitôt, le corps fabrique le surplus nécessaire : face au soleil, il bronze ; le soir du réveillon, il fabriquera davantage de sucs digestifs ; si nous allons en altitude, le corps fabriquera plus de globules rouges ; et le corps, encore lui, créera plus d’os après une fracture, cela en prévision de nouvelles agressions sur cet os, comme le travailleur manuel a, lui, plus de cal sur ses mains qu’un intellectuel. Le corps a donc trois fonctionnements biologiques : — le fonctionnement de base : mes poumons ventilent environ 16 fois un demi-litre d’air par minute, mon cœur se contracte environ 80 fois par minute, mon estomac sécrète par jour 1 l d’acide chlorhydrique, etc. — le fonctionnement modifié : les poumons peuvent ventiler 22 fois 2 litres d’air par minute, mon cœur se contracter 180 fois par minute, mon estomac sécréter 1,5 l d’acide chlorhydrique par jour, etc. — le fonctionnement d’exception : à situation inhabituelle, d’urgence, réaction inhabituelle, d’urgence. Mes poumons fabriquent uploads/Sante/ decodage-biologique-des-maladies-christian-fleche 1 .pdf
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- Publié le Apv 19, 2021
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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