Un jeune couple tente de se suicider en se jetant du haut d’un immeuble Un jeun

Un jeune couple tente de se suicider en se jetant du haut d’un immeuble Un jeune couple tente de se suicider en se jetant du haut d’un immeuble poque poque poque poque poque uelle uelle uelle uelle uelle Quelle Quelle Quelle Quelle Quelle époque ! époque ! époque ! époque ! époque ! L'Echo d'Oran Respecter les valeurs de notre société, défendre notre pays, servir nos compatriotes Q u o t i d i e n national d ' in f o r m a t i o n L'Echo d'Oran Dixième année - Numéro 3311 - Samedi 14 Mai 2011- www.echo-doran.com - Prix 10 DA SIDI BEL ABBÈS Un enfant brûlé au 3e degré dans un incendie décède au CHU d’Oran ARZEW Dramatique incendie à la cité Zabana Un jeune couple gravement brûlé ORAN Un jeune de 20 ans tue son voisin à Petit Lac P . 12-13 P . 12-13 Des jeunes des Castors, des rues Montgolfier, Fernand Forrest et Abou Derham transforment radicalement leurs cités QUAND LA VOLONTÉ L’EMPORTE SUR L’INCIVISME ORAN Cinq fibres avaient été sectionnées accidentellement lors de travaux Le téléphone et l’Internet rétablis à El Barki P . 2 L ’étude du projet est achevée Une double voie pour la corniche à Arzew P . 3 Pèlerinage 2011 - Pour éviter les cas de l’année dernière Une expertise psychiatrique pour les futurs hadjis P . 4 Alors qu’ils sont théoriquement 44 à desservir la ligne Oran-Oued Tlélat 8 taxis seulement assurent la prestation P . 5 AÏN TÉMOUCHENT Pêche et ressources halieutiques Le ministre face à la cherté du poisson P . 9 TISSEMSILT Attribution de locaux commerciaux Le programme avance à pas de tortue P . 10 MOSTAGANEM Implication des régions rurales dans le développement touristique P . 10 BÉCHAR A la suite de la réduction du nombre des vols Air Algérie fait des mécontents P . 11 Se faisant passer pour un illuminé qui guérit toutes les maladies, et attirant à Khadra (Mostaganem) des milliers de naïfs de tout l’Ouest L’obscurantisme a encore de beaux jours P . 7 ...Après Avant... Photo Bensalem H. P . 5 Oran aujourd'hui Samedi 14 Mai 2011 2 Direction - Rédaction - Administration Haï Filaoucène - Résidence « DJEBBARI » - Oran Tél-fax:(041) 27.13.20 - (041) 27.13.25 - (041) 27.13.37 Web:www.echo-doran.com Email : lecho_doran@yahoo.fr Bureau à Alger : Maison de la presse Tahar Djaout Place du 1er Mai - Alger N°Tél-Fax: 021-65-46-09 Les manuscrits, photographies ou tout autre document adressés ou remis à la rédaction ne seront rendus à leurs propriétaires qu'a leur demande et peuvent être conservés par le journal par necessité légale. Reproduction interdite de tous les articles sauf accord de la rédaction. L'Echo d'Oran Respecter les valeurs de notre société, défendre notre pays, servir nos compatriotes. Impression: Ouest S.I.O - Centre S.I.A Distribution: (MPS) Tél: 041 53 81 19 Directeur de la Publication et Directeur général Abdelkader BELALIA L’Echo d’Oran est édité par la SARL MONDE INFOS Président Fondateur Youssef DJEBBARI Directeur technique Mohamed TAOUTI L'Echo d'Oran 32 A 32 A 32 A 32 A 32 A 32 A 32 A 32 A Photos et commentaires Djaziri Ce texte informe les travailleurs qui opèrent sur des lignes électriques à se conférer à certaines mesures de sécurité et à prévenir les passants sur les dangers de ces postes. Si ces avertissements sont toujours d’actualité, il n’en demeure pas moins qu’ils font référence à un décret de 1935, alors que l’Algérie est indépendante depuis 1962. La SDO ne serait-elle pas en mesure d’actualiser ses mises en garde ? Au moment où les responsables déploient des efforts pour la collecte des ordures, et où nous dénonçons à longueur de colonnes l’incivisme des habitants, certains ne se gênent pas pour déposer leurs gravats en pleine rue, comme c’est le cas à la rue des frères Niati, à quelques mètres d’une struc- ture de sécurité. Au cours d’une réunion avec tous les concernés par les travaux du tramway, à Es-Sénia, l’entrepri- se Tramnour vient à peine de commencer à béton- ner les trottoirs, alors qu’elle est censée libérer la rue Khémisti le 1er juin. A cette allure, il est dou- teux que l’objectif soit atteint. Ne s’agit-il pas d’une simple opération pour faire patienter les commer- çants qui ne voyaient rien venir ? Cinq fibres avaient été sectionnées accidentellement lors de travaux Le téléphone et l’Internet rétablis à El Barki D ans notre édition de jeudi passé, nous déplorions l’isolement d’El Barki du fait du sectionnement de câbles de fibre qui a été totalement coupé les liaisons téléphoniques et les connexions internet. En effet, sui- te à des travaux d’aménagement de l’axe central et de création d’un axe urbain reliant El Barki à la cité Djamel Eddine, un engin a acciden- tellement coupé cinq (5) câbles de fibres optiques, selon les déclara- tions qu’a faites jeudi passé la chargée de communication d’Al- gérie Télécom. «Les grands sys- tèmes ont été réparés et à 22 heu- res El Braya a été secouru», dira notre interlocutrice qui précisera que Saint-Rémy, Sidi Chahmi et les autres cités d’El Barki le seront au cours de la semaine, tout en préci- sant que les équipes travaillent en 3 x 8. Effectivement, jeudi vers 14 heures 30, la communication a été rétablie au niveau d’El Barki. Ce genre d’accidents sont fréquents car les entreprises -comme c’est le cas de l’entreprise Benouna qui sous-traite pour la direction des Travaux publics (DTP)- ont des problèmes de disponibilité d’infor- mations sur l’emplacement exact des réseaux. Hakim Djaziri Défaillance de l’éclairage public à la cité Lauriers roses Obscurité et insécurité L es habitants de la cité Lauriers roses, située à côté du quartier Maraval, souffrent depuis plu- sieurs semaines de la dé- faillance de l’éclairage public. La situation n’a pas été réta- blie malgré les doléances adressées par les citoyens aux différents responsables. En effet, plusieurs points lumi- neux sont défaillants et cette situation a été constatée pro- gressivement (lampes grillées). Le retard de l’inter- vention de l’entreprise char- gée de l’entretien a fait que plusieurs pannes se sont ac- cumulées et que la cité est plongée dans l’obscurité. Se- lon les habitants, plusieurs points ont été déjà réparés, mais la mauvaise qualité des travaux d’entretien ont fait que les lampes ne s’allument toujours pas. Pour remédier à cette situation, plusieurs ha- bitants ont placé des lampes dans les entrées des blocs pour éclairer quelques mètres carrés devant chez eux. L’ab- sence de l’éclairage public a fait que le nombre des agres- sions a connu une petite aug- mentation et que la cité con- naît ces derniers temps une prolifération de chiens errants. Un citoyen nous dira : «Les lieux sont devenus encore plus dangereux tant pour les automobilistes que pour les piétons». La situation pousse les résidents de la cité à ré- clamer la réhabilitation de l’éclairage public. Mohamed Hamza Les citoyens pointent du doigt les bus de transport urbain Les embouteillages au centre-ville, un vrai casse-tête L es habitants du centre- ville, ainsi que les autres citoyens, déplorent la si- tuation catastrophique, que créent les embouteillages, ainsi que la façon dont est gérée la circulation automobile. Les ci- toyens pointent du doigt les bus du transport urbain. Quelques- uns ont même proposé que les bus soient retirés du centre-vil- le. En effet, l’exiguïté des rou- tes ainsi que les stationnements des deux côtés, spécialement dans les rues Larbi Ben M’hidi et Khemisti, sont les principales raisons de ces embouteillages. «A partir de 10 heures du matin, la situation devient infernale, les bus de transport urbain sont très nombreux et sont la cause prin- cipale de cette situation», dira un commerçant au niveau de la rue Larbi Ben M’hidi. Le boulevard de l’ALN ne fait pas exception, vu les embouteillages monstres qu’affrontent les automobilistes chaque jour. Cette situation perdure malgré le renforcement de la présence des agents de l’ordre public. Le pro- blème a pris de l’ampleur pour caractériser la plupart des rues et avenues d’Oran, à l’instar de celles de Choupot, St Eugène, Adda Benaouda, Mostaganem et autres. Ourabah Salem Le mûr de clôture du manège est devenu un urinoir Insalubrité et insécurité au quotidien Le mur de clôture qui sépare le parc d’attraction d’El Hamri, du chemin de fer, s’est transformé en urinoir, quasiment. L’insalubri- té est devenue le décor quotidien des lieux et empêche un très grand nombre de citoyens de passer par ce chemin. En effet, en plus des déchets ménagers que les habitants jettent quotidienne- ment, ce mur qui s’étale sur une longueur de 600 mètres est une preuve concrète de l’incivisme des citoyens qui ont fait de ce mur, une toilette publique. Résultats, des odeurs nauséabondes à lon- gueur de la journée et une image désolante qui offre une véritable atteinte à la ville, étant donné que le parc d’attraction est un endroit très sollicité par les citoyens d’Oran et ses visiteurs. Cette situa- tion a fait que plusieurs citoyens évitent d’emprunter cette route, ce qui l’a rendue un endroit privilégié uploads/Sante/ journal.pdf

  • 14
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager
  • Détails
  • Publié le Jui 17, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
  • Taille du fichier 2.2060MB