« On me dit que je n’ai rien… Mais je sens bien que j’ai quelque chose ! » Chèr

« On me dit que je n’ai rien… Mais je sens bien que j’ai quelque chose ! » Chère lectrice, cher lecteur, « On me dit que je n’ai rien… Mais je sens bien que j’ai quelque chose ! » C’est une pensée qui revient souvent. C’est une intuition si forte que vous n’avez aucun doute. Il y a quelque chose qui cloche. Peut-être êtes-vous plus fatigué que d’habitude… Ou alors vous vous sentez lourd, morose, dérangé… Vous attendez de votre médecin qu’il vous donne une réponse – qu’il mette des mots sur votre mal. Mais quand il vous ausculte, surprise : aucun symptôme… donc, aucun diagnostic. Vos symptômes ne répondent à aucun diagnostic ? Dans le pire des cas, il vous dira que c’est dans votre tête… et il vous renverra chez vous. S’il est consciencieux, il vous enverra faire une prise de sang. Mais la prise de sang sera probablement normale et on vous dira « tout va bien »… Cela ne change rien : vous vous sentez toujours mal, dérangé, comme si quelque chose ne tournait pas rond sans que vous puissiez mettre le doigt dessus – comme si un mal grandissait en secret. Vous finirez par vous demander si ce n’est pas dans votre tête que ça se passe… Si vous vous reconnaissez dans cette histoire, vous devez absolument savoir ceci : ce n’est pas vous qui avez un problème ! En fait, la pire faiblesse de la médecine conventionnelle, ce sont les diagnostics. Il faut vous rappeler que les médecins ont 15 minutes pour vous ausculter alors que vous passez 24h/24 avec vous-même. De plus, les bilans sanguins ne sont pas l’exact reflet de votre santé. Ce sont surtout les maux graves qu’on y détecte, et pas l’inconfort quotidien – qui peut vous empoisonner la vie, et qui mérite qu’on le corrige ! Certaines pathologies peuvent passer inaperçues pendant longtemps, et n’être visibles que quand il est trop tard… Alors, si vous sentez que quelque chose ne va pas, il faut à tout prix comprendre de quoi il s’agit. 14 façons d’espérer prévenir la maladie avant qu’il ne soit trop tard C’est l’objet de ma lettre d’aujourd’hui : vous aider à déchiffrer les signaux que vous envoie votre corps, et qu’il est souvent difficile de lire. La médecine conventionnelle ne tient pas assez compte de ce que ressent le patient, et ne se fie qu’aux symptômes visibles – ce qu’on peut lire sur une prise de sang, sentir au toucher ou voir à une IRM. Le problème, c’est qu’à ignorer les signes avant-coureurs de la maladie, la médecine moderne vous condamne à l’urgence… et commet de nombreuses erreurs de diagnostic ! Beaucoup de maladies graves pourraient être évitées si on les repérait à temps. Et il existe des moyens naturels pour savoir si votre corps essaie de vous prévenir que quelque chose de grave est en train d’apparaître. Voici quelques-uns des points que vous devriez connaître pour être capable de lire les signaux de votre corps :  Savez-vous à quoi correspondent des ongles striés ?  Connaissez-vous les 3 façons d’estimer votre vitalité globale ?  Faites-vous attention à l’état de votre langue ?  Connaissez-vous votre profil hormonal ?  Adaptez-vous votre alimentation à votre constitution hippocratique ? Ce sont quelques-unes des questions auxquelles je vais répondre, en vous présentant les 14 tests de naturopathes grâce auxquels vous pourrez :  Déchiffrer les signaux qu’envoie votre corps  Découvrir quelle hygiène de vie est la meilleure pour vous  Optimiser votre vitalité  Espérer anticiper et prévenir les maladies Comprenez-moi bien : il ne s’agit pas de faire un contre-diagnostic, mais d’anticiper le mal, et vous donner les clés pour comprendre comment votre corps communique avec vous. Vous aider à savoir comment vous vous portez, quels organes sont à surveiller, si vous avez des carences, comment adapter votre hygiène de vie à vos besoins… …voire même mettre le doigt sur une maladie bien avant qu’il ne soit trop tard. Notre corps nous envoie une multitude de signaux à chaque minute qui passe. Il suffit de savoir les reconnaître et de ne pas les ignorer. Pourquoi les médecins font-ils des erreurs de diagnostic ? Pour comprendre les erreurs de diagnostic, vous devez savoir une chose à propos des médecins – c’est lié à leur formation. Un médecin est un chercheur de lésions, c’est-à-dire de blessures. Il a appris à reconnaître des milliers de lésions pendant ses études, et il essaie de les retrouver chez ses patients pour leur indiquer le traitement adapté. Vous l’avez sans doute remarqué : avant de vous dire « ce que c’est », un médecin vous dira « ce que ça n’est pas ». Un médecin n’est pas un spécialiste de la santé; c’est un spécialiste de la maladie, et d’un type bien précis de maladies : celles qui sont connues, comprises et enseignées sur les bancs des facultés. Mais certaines pathologies ne sont pas accompagnées de lésions… Il existe des « cancers sourds », qui grossissent en silence et ne sont détectés que quand il est trop tard ou presque… Alors que certains signes pourraient vous mettre sur la piste du cancer beaucoup plus tôt. Certaines lésions restent incomprises, voire inconnues de la médecine conventionnelle – je pense aux maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson, pour lesquelles il n’existe AUCUN traitement efficace. Enfin, les lésions sont le stade avancé de la maladie, et certaines maladies couvent pendant des années alors qu’il faudrait agir dès le premier signe de déséquilibre dans votre corps, avant la blessure ! Ma lettre d’aujourd’hui traite de tous ces sujets. À la fin de celle-ci, vous saurez :  Repérer les signes avant-coureurs de la maladie avant qu’elle n’apparaisse  Prendre les bonnes précautions pour régler ces dysfonctionnements et rester le plus loin possible des maladies  Faire la différence entre « bonne santé » et « absence de maladie »  Adapter votre hygiène de vie à votre constitution propre, et à vos besoins personnels Vous l’aurez compris : mon message d’aujourd’hui est différent des autres. Il s’agit d’une présentation complète des outils les plus utilisés en santé naturelle pour anticiper au mieux les maladies à venir et personnaliser les solutions selon votre constitution. Dans cette lettre, je vous donnerai tous les outils de test et de bilan qui font le succès de la naturopathie, de la médecine traditionnelle chinoise ou de l’ayurvéda… et je vous apprendrai à vous en servir. Vous pourrez d’ailleurs en parler avec votre médecin Mais d’abord, j’aimerais vous donner un exemple concret de ce que ces outils formidables peuvent faire pour vous. La dépression qui n’en était pas une "Vous faites une dépression. Une dépression assez grave." Le jour où Marie comprit que quelque chose n’allait pas, elle se décida à voir son médecin. Après plusieurs rendez-vous où il n’expliquait pas sa prise de poids, ses insomnies et son désespoir permanent, il lui a diagnostiqué une dépression. "C’est évident, avait-il dit. Et il n’y a que ça qui colle." "Ne vous inquiétez pas, avait-t-il ajouté. La dépression, c’est surtout une question de chimie. Si vous allez mal, c’est parce que votre taux de sérotonine dans le sang est trop faible. Et on peut le faire remonter." Sur son conseil, Marie a donc pris des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS) [3] pendant plusieurs mois. Les ISRS (Prozac, Paxil, Celexa) sont les antidépresseurs les plus communs ; ils servent à faire remonter le taux de sérotonine dans le sang. Pourtant, alors que ses taux de sérotonine remontaient en flèche, Marie n’allait pas mieux. En fait, avec le temps, les choses avaient empiré. Elle avait repris du poids et ne dormait toujours pas. Elle restait amorphe et n’avait plus goût à rien. Déprimée, isolée et incapable de travailler, elle avait dû mettre un terme à son activité d’auxiliaire de vie. Pour ceux qui connaissent la dépression, vous savez que c’est une maladie qui s’autoalimente. Ses conséquences (isolement social, prise de poids, négligence de soi, problèmes de sommeil, absence de joie et de motivation) deviennent ses causes, et entraînent les malades dans une spirale infernale dont il est très compliqué de sortir. Mais la chance finit par sourire à Marie. À quelques mètres de son appartement, qu’elle ne quittait presque plus, s’ouvrit un cabinet de naturopathie, tenu par mon ami Nicolas Wirth (naturopathe et rédacteur en chef de Solutions Naturopathie) qui débutait alors dans la profession. Un peu par hasard, Marie prit rendez-vous avec Nicolas quand elle comprit que les antidépresseurs n’avaient AUCUN effet sur elle. La victoire des plantes sur les antidépresseurs Après une anamnèse, une analyse sanguine (résumé des antécédents) et un questionnaire détaillé, Nicolas se posa une question que le médecin de Marie ne s’était jamais posée : et si c’était la dopamine ? Ce n’était pas un problème de sérotonine. En fait, ses taux de sérotonine étaient même au-dessus de la moyenne, comme en attestaient chacune de ses prises de sang. C’était un déficit important en uploads/Sante/ messages-du-systeme-nerveux-pdf.pdf

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  • Publié le Nov 02, 2021
  • Catégorie Health / Santé
  • Langue French
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