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1 Vaccins Quelques avis significatifs de médecins et de scientifiques Ce document est une ébauche. Si vous souhaitez contribuer à l’améliorer, écrivez-nous. Jean-Luc Guilmot – jlg911(at) gmail.com - Version du 13/10/09 Ce recueil de brèves citations vise à sensibiliser le public sur la question de la vaccination – ce concept si bien ancré dans les esprits, notamment par des expressions populaires comme « majeur et vacciné ». Pourtant le principe de la vaccination continue à diviser le monde médical. Et il existe des raisons de croire que ses bases scientifiques ne sont pas aussi solides que ce que l’on serait en droit d’attendre. A l’heure où l’on évoque une campagne de vaccination sans précédent au niveau mondial, avec de surcroît un vaccin expérimental préparé dans l’urgence, cela donne à réfléchir. "Primum non nocere" « Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. » Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971). « C’est dans les sociétés libres que l’invisible police de l’esprit est le plus efficace précisément parce qu’on croit qu’elle n’existe pas. » B. Cassou, M. Schiff, dans : Qui décide de notre santé ? (1998). « Il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins ». Dr Jean-Michel DUBERNARD, Député, chirurgien et docteur honoris causa de l’Ulg, dans la conclusion d’une table ronde qu’il présidait au Sénat français en 2007 en présence des représentants de l’industrie « Les vaccins en France : quels enjeux pour l'industrie pharmaceutique et la recherche ? » Comptes rendus de l'office parlementaire d'évaluation des politiques de santé. http://www.senat.fr/bulletin/20070604/sante.html « Aucun historien des sciences digne de ce nom ne conteste le fait que Pasteur s’est trompé sur de très nombreux points. Aucun ne conteste non plus son opportunisme, les nombreuses entorses à la méthode qu’il professait, ou encore le pillage d’autres chercheurs. […] Il est évident que l’engouement pour l’aventure vaccinale est très largement mercantile, car les vaccins sont à l’origine de profits fabuleux. Cela tient sans doute au formidable crédit de son idée de base : la maladie vient de l’extérieur. » Dr Jacques LACAZE, dans la préface de : En finir avec Pasteur, 2005, du Dr Eric Ancelet. En médecine actuellement, la Cochrane collaboration […] a pour objectif de « préparer, tenir à jour, et diffuser les revues systématiques sur l'efficacité des thérapeutiques et des stratégies thérapeutiques ». Quoique ses évaluations – en principe indépendantes – ne soient pas forcément au-dessus de toute critique, elles sont largement tenues comme parmi les plus fiables en matière de médicament. Précisément […], la Cochrane collaboration a récemment publié une série assez systématique d’évaluations concernant les vaccins antigrippaux : en toute logique et compte tenu de ce qui vient d’être rappelé, celles-ci devraient d’autant plus valoir pour le dernier mot sur la question qu’elles sont extrêmement récentes – peu susceptibles, à ce titre, d’avoir été rendues obsolètes par des investigations méconnues. Or, comparées à l’activisme promotionnel implacable des autorités sanitaires, leurs conclusions sont accablantes. […] Bien sûr, personne n’est réputé avoir le monopole de la vérité. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que par leur exhaustivité (toutes les études publiées sur une période de 40 ans), la transparence de leur méthodologie, la convergence de leurs résultats – pour ne point parler de la déférence accordée, par principe, aux évaluations de la Collaboration Cochrane –, ces revues tranchent avec l’assertivité expéditive des administrations sanitaires ou des « experts » quant au bénéfice – voire à l’ardente nécessité – d’une vaccination antigrippale. Depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le minimum de preuves suffisantes quant à l’efficacité de leurs vaccins antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées par l’éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou, tout simplement, chez les sujets en bonne santé. Les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n’ont jamais exigé des fabricants ce minimum de preuves. Que, malgré une telle carence de preuves, lesdits vaccins soient autorisés au remboursement et qu’ils fassent même l’objet d’une promotion de plus en plus intensive (notamment chez l’enfant) place les responsables de ce remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation patente de conflit d’intérêts : on n’attend pas d’elles qu’elles reconnaissent rétrospectivement qu’elles ont promu et payé des médicaments dont le rapport bénéfice/risque) serait à ce point problématique18. Dr Marc GIRARD, Sept. 2009, dans "Vacciner ou pas ?" en ligne (et vivement recommandé) sur www.roloandsimion.org 2 Les rares médecins restés fidèles à la Tradition, qui s’évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide, et épais comme les dogmes : le mythe pastorien de l’origine bactérienne des maladies. […] Désormais figées dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi le chemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l’ennemi partout, le tuent à l’arme antibiotique ou le trompent par ruse vaccinale. Dr Jean ELMIGER, Lausanne, dans la préface de : En finir avec Pasteur, 2005, du Dr Eric Ancelet. « Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent quand même à le vendre. » Dr Anthony MORRIS – virologiste, anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis. « Nous disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer que les vaccins sont en grande partie responsables de nombreuses maladies, comme l’autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde, l’asthme, le rhume des foins, les infections chroniques de l’oreille, le diabète de type 1, et bien d’autres maladies encore. » Dr Léonard G. HOROWITZ, dans : H5N1 : Un conflit sans guerre, 2007. « C’est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination, sinon des coïncidences. La vérité est que des enfants sont agressés par les vaccinations ». Dr Bernard RIMLAND (1928 – 2006), Fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego, http://www.autism.com « La présence d’un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante... Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie » Dr Jane ORIENT, médecin, directrice de l’Association des Médecins américains et des chirurgiens. « Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. » Pr R. SIMPSON de l’American Cancer Society « « C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui". [Les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du système immunitaire et causer] « des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, un plus grand nombre d’organes vitaux et une moindre possibilité de résorption spontanée ». Dr Richard MOSKOWITZ, http://sites.google.com/site/doctorrmosk/curriculum- vitae « Dans plusieurs pays en voie de développement, on s'était imaginé qu'avec une seule campagne de vaccination, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu'à quintupler depuis la vaccination.» Pr LEPINE, dans Médecine praticienne, n°467 « Nous estimons que 1000 bébés au minimum meurent chaque année de ce vaccin (DTP : Diphtérie – Tétanos - Polio), alors que 12.000 enfants deviennent des handicapés à vie. » « Nos chiffres n’ont jamais été contestés par l’establishment médical... Ce programme se poursuit tous les jours, des centaines de bébés en parfaite santé sont ainsi transformés en êtres déficients : retardés mentaux, aveugles, sourds, épileptiques, infirmes, instables, futurs délinquants, criminels avérés. Tout ceci peut paraître terriblement exagéré ; il s’agit cependant de conclusions tout à fait sérieuses et modérées essentiellement basées sur les preuves accumulées dans les pages qui suivent. […] Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. […] Si quelqu’ennemi étranger avait infligé pareils dégâts au pays, une déclaration de guerre s’en serait immédiatement suivie. » « Qu’est-ce là pour une "science" qui inflige des dégâts neurologiques à des centaines de milliers d’enfants chaque année ? » « Aujourd’hui, la société paye un lourd tribut en maladies et en décès pour le monopole qui fut accordé à la profession médicale dans les années 1920. En fait, la situation ressemble singulièrement à celle de 1830, époque à laquelle les médecins avaient recours à la saignée, aux médicaments mercuriels et à la quinine, bien qu’ils en connaissaient le caractère intrinsèquement nocif. Ce sont précisément les uploads/Sante/ vaccins-quelques-avis-significatifs-de-medecins-131009.pdf
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- Publié le Jul 08, 2022
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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