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IGlol (Jtz) Georges JLahhovshg POUR RESTER JEUNE 100 ANS Cette brochure est exclusivement réservée aux biologistes, membres du Corps médical et aux étudiants en médecine. eôfimm POUR A \UTEUR RESTER JEUNE 100 ANS GEORGES LAKHOVSKY POUR RESTER JEUNE A 100 ANS LA SPERMATOTHÉR.APIE ÉDITIONS S. A. C. L. 25, rue des Marronniers PARIS IL A ÉTÉ TIKÉ DE CET OUVRAGE SOO EXEMPLAIRES SUR PAPIER ÉDITA PRIOUX TOUS HORS COMMERCE Droits de reproduction et de Iraduction réservés pour tous les Des extraits dans la presse sont autorisés, sous réserve de la citation d’origine. Copyright 1939, by Georges Lakovsky, CHAPITRE PREMIER L’OSCILLATION CELLULAIRE, LA RÉSONANCE ET LA MATÉRIALISATION Tous les physiologistes, histologistes et cytologistes ont fourni une importante contribution à la découverte des divers processus de la vie, depuis la formation du premier germe de l’être jusqu’à sa mort. Ils nous ont décrit minutieusement l’histologie des cellules sexuelles, leur naissance, leur croissance, leur accouplement et la formation de l’être vivant, mais personne ne nous a jamais montré la force invincible qui préside'à cette création perpé¬ tuelle qu’est la vie. Nous allons étudier comment se forment d’abord les subs¬ tances sexuelles, comment arrivent à se matérialiser deux êtres complets, qui reflètent chacun toute la personnalité de l’indi¬ vidu : le spermatozoïde et l’ovule. Je vais montrer maintenant comment s’est formée cette matière vivante, source de notre vie. Dans mon ouvrage l’Origine de la Vie, j’ai formulé en 1926 le principe de l’Oscillation cellulaire : « La vie est née de la radiation, « Entretenue par la radiation, « Supprimée par tout déséquilibre oscillatoire. » Ce principe a été, depuis douze ans, vérifié et confirmé par de nombreuses recherches biologiques, thérapeutiques et cliniques entreprises dans beaucoup de pays. LA SPERMATOTHÉRAPIE Comme j’ai déjà exposé dans le détail l’oscillation cellulaire au cours de mes divers ouvrages, je n’y reviendrai ici que très succinctement. L’Oscillation Cellulaire. L’oscillation cellulaire est la cause même de la vie. Nous savons, en effet, que chaque être vivant est constitué par une multitude de cellules. Ainsi, on n’en compte pas moins de 200 quintillions environ dans le corps humain. Chaque cellule vivante est une petite boîte remplie de liquide dans lequel nagent, comme dans une sorte d’aquarium, des quantités de petits filaments ultramicroscopiques qui ressem¬ blent à des anguilles minuscules. On les nomme, suivant leur grosseur et leur fonction, chromosomes et chondriomes. Pour vous donner une idée de leurs dimensions, je vous dirai que la grandeur d’une cellule, très variable d’ailleurs, est, en moyenne de 15 à 20 microns (millièmes de millimètre). Les chromosomes, qui sont les plus grands de ces éléments, n’ont guère que 5 à 6 microns de longueur. Toutes ces anguillules, chromosomes et chondriomes, sont en fait de petits tubes de matière isolante, cholestérine, plastine, remplis d’un liquide, sorte de sérum, contenant en dissolution les éléments minéraux de l’eau de mer, et conducteur de l’électricité. Chacun de ces tubes constitue donc un circuit électrique oscillant, doué de self-induction et de capacité, analogue à un résonateur de Hertz. Mais comment peut-on imaginer que ces circuits élémen¬ taires puissent vibrer électriquement? Ce phénomène est dû à la résonance et à la matérialisation, comme je vais vous le montrer. La Résonance. Vous savez ce qu’en physique on appelle la résonance : c’est une sorte de phénomène de sympathie, qui apparaît entre deux éléments égaux. LA SPERMATOTHÉRAPIE Ainsi, lorsque dans une pièce contenant deux pianos, vous frappez sur le clavier une note quelconque, un sol par exemple, l’autre piano se mettra à vibrer instantanément sur la même note, sol, de la même octave, à l’exclusion de toutes les autres notes. De même, si vous accrochez au mur deux pendules de même grandeur et que vous fassiez osciller l’un d’eux, l’autre ne tardera pas se mettre en mouvement et à osciller lui aussi à la même fréquence, et cela même si les deux pendules sont séparés par quelque^mètres de distance? Ce phénomène physique est d’ailleurs très général et trouve de nombreuses applications. Selon moi, tout ce qui existe dans l’univers est la conséquence de phénomènes de résonance. La comparaison la plus frappante que nous puissions trouver avec les circuits cellulaires est celle des appareils de T. S. F. En tournant le bouton d’un de ces récepteurs, on règle les circuits sur la longueur d’onde de l’émission choisie, ce qui permet d’entendre par exemple un concert de Rome sur 420 mètres, de Paris P. T. T. sur 431 mètres environ et ainsi pour chaque station que vous désirez écouter. On peut se demander comment chromosomes.et chondriomes, ainsi que tous les éléments de la cellule et de notre organisme, depuis l’atome même et l’électron, peuvent trouver leur fréquence de vibration dans le milieu ambiant. Pour qu’un circuit électrique, en effet, puisse osciller, il est indispensable qu’il trouve un rayonnement, qui vibre sur sa longueur d’onde propre. Or, précisément, toutes les fréquences possibles se trouvent dans l’immense gamme des vibrations, qui pénètrent tout l’univers et que, pour cette raison, j’ai dénommée l’universion. Dans un ouvrage, qui porte ce nom, j’ai démontré que l’uni¬ vers est, en effet, rempli par une substance immatérielle, véhicule de toutes les radiations et siège de toutes les forces, présente partout et en tout, et que l’on peut considérer comme la cause de tout ce qui existe dans l’univers. C’est elle qui fait LA SPERMATOTHÉRAPIE mouvoir aussi bien les atomes et les électrons que les astres du firmament sur leurs immenses trajectoires. La Matérialisation. Or, dans l’univers, tout est radiation. Chaque matière, chaque substance, chaque être même émet un rayonnement spécifique. Et, inversement, comme je l’ai longuement expliqué dans mon ouvrage La Matière, chaque rayonnement est suscep¬ tible de se matérialiser. Pour prouver la matérialisation, on peut invoquer cette expérience classique. Dans un ballon en verre ou dans une boîte de Pétri, on ensemence, sur de la gélose stérilisée, une colonie d’une espèce quelconque de microbes : staphylocoque ou colibacille, par exemple. Cette colonie de microbes, contenant comme tout être vivant, la plupart des corps chimiques, renferme, sup¬ posons, I millionième de milligramme de fer et de phosphore. Or, au bout de quelques jours, à une température optimum convenable, 37° C., par exemple, on trouvera dans la boîte de Pétri des millions de colonies de microbes contenant un million de fois plus de minéraux, c’est-à-dire quelques milli¬ grammes de fer et de phosphore. D’où peuvent donc provenir ce fer et ce phosphore que ne renferment ni le verre, ni la gélose? Ils proviennent effective¬ ment de la matérialisation des rayonnements ambiants, qui présentent des radiations de tous les minéraux de la chimie et de toutes les substances. Ainsi ces microbes, qui se sont déve¬ loppés sur la gélose, se sont matérialisés par résonance. J’ai longuement exposé cette thèse dans de nombreux ouvra¬ ges, auxquels je prierai le lecteur de se reporter. CHAPITRE II CARACTÈRES SPÉCIFIQUES DU GERME Je viens de vous donner un bref aperçu des principes essen¬ tiels de la physique, de la biologie et de l’oscillation cellulaire. Sur cette triple base, je vais essayer de vous montrer ce qu’est la vie, comment elle se forme, comment elle naît et se développe, et pourquoi elle disparaît. Vous savez que tout ce qui vit, naît un jour d’un germe, animal ou végétal. C’est là un point commun à l’histoire de tout être vivant. Peu importe d’ailleurs la forme que revêt ce germe, ainsi que les éléments mâle et femelle dont l’union l’a créé. Dans le végétal, c’est la fécondation de l’oosphère par le pollen qui donne le germe qu’on retrouve dans le grain de blé, dans le haricot, dans le gland, dans le pépin de la pomme et dans le noyau de la cerise. Chez l’animal, c’est la fécondation de l’ovule de la femelle par le spermatozoïde du mâle, qui produit la première cellule embryonnaire, cet œuf caractéristique que pond la femelle ovipare et qui se développe dans le sein de la femelle vivipare. Pourquoi chaque être vivant provient-il d’un germe bien défini et de celui-là seulement? Pourquoi le germe de chaque animal ou végétal produit-il toujours un être de la même espèce, c’est-à-dire un produit absolument spécifique? Ainsi, un grain de blé donnera toujours du blé, une graine de haricot donnera toujours des haricots. 10 LA SPERMÀTOTHÉRAPIE Pour répondre à ces questions, nous examinerons d’abord les conditions du développement biologique du germe. Car le germe reproduit non seulement l’espèce, au sens biologique du mot, mais encore la variété et les qualités spéci¬ fiques. Par exemple, un grain de blé dur et barbu donnera du blé dur et barbu. D’un noyau de mirabelle sortira un mirabellier qui, à son tour, produira des mirabelles. Je viens de vous démontrer qu’un germe donne toujours un produit spécifique. Mais cela ne veut pas dire d’ailleurs que tous les germes d’une même espèce sont identiques. Vous savez que sur les deux milliards d’hommes qui peuplent la terre, il n’y en a pas deux qui soient rigoureusement semblables. De même parmi les innombrables quintillions de grains de blé qu’on récolte chaque année dans le monde, il n’y uploads/Sante/biusante-86201x14.pdf

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  • Publié le Nov 22, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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