Chap 2 : Quelle est l'action de l'école sur les destins individuels et sur l'év
Chap 2 : Quelle est l'action de l'école sur les destins individuels et sur l'évolution de la société ? 1- le rôle de l'école dans les sociétés démocratiques 1.1 L'école transmet des savoirs – But Ecole : transmettre connaissances indispen : (lire), savoir faire : intégration sociale à la collectivité – transmettre des connaissances communes : langue, l'histoire.. pr partager les mêmes normes/ valeurs – Intégration culturelle à la nation → renforcer la cohésion sociale – former citoyen éclairé : compétences suffisantes pr exercer son esprit critique : intégrat° démocratique – donner une qualification nécessaire pr une activité professionnelle (diplômes) : intégration personnelle 1,2 L'école vise à favoriser l'égalité des chances (l'école garantit en principe l'égalité des chances) Egalité des chances : accès aux positions sociales valorisés pas lié à l'origine sociale / autres carac : sexe, âge. → L'origine soc ps d'influ sur destin soc : la posit° soc finale atteinte par l'indvdu + l'école doit lui permettre de passer d'un statut social hérité à acquis (atteint en accédant taff) : l'école peut être un moteur d'ascension soc. Les valeurs républicaines du 20e s ont ouvert l'école aux enfants de toutes origines sociales → droit aux enfants des classes populaires de poursuivre des études sup, sur un principe démocratique de méritocratie. Méritocratie : principe selon lequel chacun est récompensé selon son mérite (son taff, ses efforts...) Démocratie : société ds laquelle il y a un processus d'égalisation des droits, chances + positions sociales. 1959 : scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans 1965 : Création du baccalauréat technologique 1985 : bac professionnel Loi Haby : donne le même apprentissage à tout le monde : création du collège unique décrire une évolution : On peut voir une aug globale du taux de scolarisation entre 1985 et 2005. C'est surtout vrai pour les + de 18 ans. Le taux de scolarisation des filles est + élevé que celui des garçons Taux scolarisation : nb d'élève d'un âge déterminé inscrit dans un établissement / nb total de jeunes de cet âge conclu : transmettre savoir + favoriser égalité des chances 2. L’Ecole s'est-elle démocratisée depuis les années 1950 ? 2.1 Depuis les années 1950, l’Ecole française connaît un processus de massification… Le processus de massification est un processus par lequel : • de + en + d'élèves ont accès aux études secondaires/ sup (= ↑ scolarisation / taux d'accès à un diplôme) • allongement généralisé de la durée des études taux d'obtention : part d'élève qui obtiennent un diplôme / part des élèves inscrit à l'examen Voir massification sco, il faut regarder : (en Fr il y a un procéssus de massification sco grâce aux réformes) • si ↑ durée des études • si ↑ scolarisation 2.2 La massification scolaire n'entraîne pas une réelle démocratisation de l'école Démocratisation scolaire : processus par lequel l'accès à une fillière ou un niv de diplôme ne dépend plus de l'origine soc d'un individu, on parle de démocratisation qualitative pr distinguer la quantitative (massificat°). La démocratisation sco correspond aussi à l'objectif de l'égalité des chances que s'est donné l'école L'égalité des chances n'existe réellement car le milieu social détermine les chances d'accès au diplôme. Mais il y égalité des chances par : • massification scolaire : enfants des classes pop ont + accès aux lycée, aux études sup et longues. Le choix des filière au lycée ou le choix des études sup est inégalitaire selon l'origine soc : • les enfants issu de caté aisé font + d'études que les autres (+ longue, + prestigieuses) • les enfants issu de catégo populaire font – d'études que les autres (- longue, - prestigieuses) Pas d'égalité des chances pr l'accès aux diplômes les + valorisés entre H/ F, les inégalités de réussite sco st genrés. On peut parler de démocratisat° quantitative de l'école (massification), ms pas de démocratisation qualitative car l'égalité des chances est loin d'être garantit : l'origine soc et le genre continuent d'influencer le destin scolaire. 3. La multiplication des facteurs d'inégalités de réussite sco (qui s'expliquent par:) ▪3.1 Le rôle de l'école et du capital culturel ▪3.2 Le rôle des investissement familiaux ▪3.3 Les effets des stratégies des ménages ▪3.4 Le rôle de la socialisation selon le genre 3.1 Le rôle de l'école et du capital culturel Facteur d'inégalités de réussite sco : • Ecole ne valorise pas autant le K culturel des enfants en fonction de leur origines soc. K culturel (P Bourdieu) : ensemble des ressources culturels (ex de def pr l'intro). Le K culturel peut prendre 3 formes :(Puis pour dans la dissert) • « incorporé » : N/V intériorisés par socialisa (langage, rapport culture, capacité d'abstract° : yaourt à • « objectivité » : ensemble des B culturels possédés (livres, ordi, jeux de société...) • « institutionnalisé » : diplômes des parents → détermine un comportement diff par les parents. Socialisation : processus d'intériorisation de N et V Les Mécanismes : • Enfants ont ts K culturel transmis lors de leur socialisat° faite par : miff + médias (diff selon les mileux) • K culturel transmis est diff selon le milieu soc (K d'un cadre est pas ↑ à celui d'un ouvrier ms diff). Ms à l'école, K culturel des mileux favorisés est valorisé (ex : lecture, confrontation à la culture : musée pièce de théâtre...) = culture des cadres valorisée : règles de comportement, langage, capacité d'argumentation. • L'Ecole reproduit des inégalités en considérant les élèves égaux face à la culture car + les parents ont un K culturel légitimé par l'école, + les enfants ont de chance de réussir (à l'école) Ecole créer inégalités : elle ne valorise pas le mérite personnel des élève → que K culturel des milieux favorisés. 3.2 Le rôle des investissement familiaux Exemple d'investissement familiaux (incitation parentale) favorable à la réussite sco : • socialisation précoce (aller à l'école tôt), inciter les enfants à écrire (lettres), parler d'école • faire attention au temps des devoirs, avoir des rythmes familiaux régulier, une autonomie • emmener les enfants à la bibliothèque + leur lire des histoires La réussite sociale des enfants peut être diff selon l'intensité des investissement familiaux Inves familiaux : action + ou – intentionnelle des membres de la miff (entourage familiale) qui vise la réussite sco 3 Mécanismes : • Peut importe l'origine soc des parents s'ils valorisent l'école et incitent leurs enfants à la réussite sco ça va ↑ leur chance de réussite à l'école. Ces inv familiaux peuvent être sous formes : • d'actions visant à mieux s'approprier les N/V de l'école → famille fait une socialisation anticipatrice : l'acquisition de N et V d'un grp de réf qui serait + valorisé socialement que le grp d'appartenance. • transmission de comportement + variés comme l'autonomie, l'anticipation, le respect des horaires. Tte la miff a un rôle dans les inv familiaux : rôle des configuration familiales (ex : une sœur qui fait des études) « trajectoires improbables » dû aux inv familiaux diff → enfants peuvent connaître des destins sociaux qui ne st pas ceux que laissait prédire leur milieu soc d'origine (ex :des enfants d'ouvrier qui réussissent TB scolairement) 3.3 Les effets des stratégies des ménages : partir des décisions familiales pr expliquer les diff choix « rationnels » fait en matière de choix d'orientation (qui eux même vont expliquer des inégalités soc) a. Les stratégies d'évitement de la carte scolaire La carte scolaire : système d'affectation des élèves ds une école etc public situé dans un secteur géographique où ses élèves sont domiciliés dans le but de garantir la mixité sociale. Les motivations des stratégies d'évitement : • mauvaise fréquentation, éviter les classes populaires, réputation de l'école • meilleure discipline Les stratégies pour contourner la carte sociale : • s'installer dans un quartier proche d'un bon collège ou prendre école pv • « parcours scolaire particulier » : prendre une option spécifique → créateur d'inég sco : renforce les intérêts individuels, empêche mixité « ghettos sco » ds les quartiers populair. b. L'influence de l'origine sociale sur les stratégies d'orientation au collège et au lycée Même lorsqu'ils ont une moyenne entre 8 et 10, la part des enfants cadres voulant aller en 2nd G est + grd que celle des ouvriers → les enfants issus de milieux défavorisés ft + d'études courtes. Les parents de milieux favorisés vt poussé leurs enfants à poursuivre en filière G car ils savent que + rentable. c. Selon le sociologue R.Boudon, le choix d’orientation seraient les résultats d'un calcul coût-avantage. Chaque famille définit le statut légitime que son enfant veut obtenir, il est supérieur à celui des parents : un instituteur sera content que son fils devienne professeur ms pas le cas d’un prof d’université. A chaque étape de l’orientation sco les familles vt calculer le rapport entre le bénéfices et les coûts anticipés. Ils vont décider une stratégie d'orientation rentable selon leur objectif, chance de réussite. (famille d’ouvrier estime que leur enfant va peu réussir études longue, vu leur €, il est + logique de uploads/Societe et culture/ socio-chap-2.pdf
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- Publié le Mai 07, 2021
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