Clara voit passer les bateaux

Clara voit passer les bateaux contrepoint pour vaincre la solitude Sourds impératifs presque humains L ? un après l ? autre ils dé ?lent dans ses yeux Le mer immense est le temps Et le temps se cache dans les crevettes Clara leur arrache leurs costumes Et apura en silence son enfance marine Mon c ?ur est un champ de riz Géants indolents presque humains Les bateaux tropiezan dans ses yeux Elle enfunda avec des mots son c ?ur de débutante Mon c ?ur est un champ de riz Vaste solitaire Depuis la rive elle atisba la vie Les bateaux Ne transporte pas de poissons les bateaux n ? attrapent pas de camarones C ? est du sang d ? immigrants sur la cubierta Mon c ?ur est un champ de riz Vaste solitaire Gardant ton c ?ur Des mouettes a ?amées graznidos d ? immigrants Le sel la prévient le monde est son propre paradoxe Et tu seras courageuse parce que tu auras peur ? Mon c ?ur est un champ de riz Vaste solitaire Gardant ton c ?ur Ton c ?ur est une sphère tournant autour du soleil Les bateaux s ? arrêtent ils ottent taciturnes Clara dénoue les doigts elle écrit de la pénombre Et son univers se couvre d ? écailles Mon c ?ur est un champ de riz Vaste solitaire Gardant ton c ?ur Ton c ?ur est une sphère tournant autour du soleil Le soleil noir de la pénombre La pénombre est un soleil qui n ? illuminent pas Les villes acantilados le visage de son père Caché dans les immenses cartes célestes Mon c ?ur est un champ gardant CTon vaste c ?ur solitaire Précipité en moi Géante impérative presque humaine La douleur navigue dans son corps Clara voit passer les bateaux Et l ? amour s ? arrête en son c ?ur En moi C

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