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Expose 2023 03 05T164219 940

C La Nature L ?Homme et la Nature La Nature univers de symboles essentielle aux correspondances verticales La dimension sacrée de la Nature Baudelaire et la Nature La Ville Place de la ville dans le recueil et la vie artistique de l ?époque Le paysage urbain Regard sur la ville C La Nature Selon Baudelaire la Nature détient le pouvoir de transporter l esprit et les sens de l homme L ? Homme et la Nature La Nature qui entoure l ?Homme est symbole L ?Homme est invité à traduire ces symboles pour comprendre le monde qui l ? entoure Cette Nature est accueillante envers lui L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers ? vers et de Correspondances Les Fleurs du Mal C La Nature univers de symboles essentielle aux correspondances verticales Ex dans les Correspondances la Nature prend la forme de forêt lieu impénétrable par excellence lieu de secrets lieu de mystères lieu de symboles donc Dans une ténébreuse et profonde unité ? vers Forêt comparée ensuite à un temple lieu privilégié de correspondance entre notre existence et l ? au-delà L ?arbre est le trait d ?union entre la terre o? s ?implantent ses racines et le ciel vers lequel s ?élèvent ses branches lien entre monde sensible et insensible C La dimension sacrée de la Nature Ex dans les Correspondances la Nature est comparée à un temple vers La Nature est un temple o? de vivants piliers ? le mot nature prend une majuscule Nature ? et pas le mot homme ? dont on parle pourtant au sens universel la Nature est sacralisée C Baudelaire et la Nature Baudelaire la hait dans son poème Obsession extrait des Fleurs du Mal il la peint comme une horreur Nature dont les symboles sont incompréhensibles Elle serait responsable du Mal entre les Hommes alors que le Ciel serait à l ? origine du Bien D ?un autre côté il l ? apprécie car elle permet les correspondances verticales Baudelaire renvoie donc peut-être à la pythie de Delphes dont les propos étaient obscurs interprétation des symboles de la Nature pour le commun des mortels mais compréhensibles par les prêtres poètes qui les traduisaient à destination des ?dèles lecteurs CGrands bois vous m'e ?rayez comme des cathédrales Vous hurlez comme l'orgue et dans nos c ?urs maudits Chambres d'éternel deuil o? vibrent de vieux r? les Répondent les échos de vos De profundis Je te hais Océan Tes bonds et tes tumultes Mon esprit les retrouve en lui ce rire amer De l'homme vaincu plein de sanglots et d'insultes Je l'entends dans le rire énorme de la mer Comme tu me plairais ô nuit Sans ces étoiles Dont la lumière parle un langage connu Car je cherche le vide et le noir et le nu Mais les ténèbres sont elles-mêmes des toiles O? vivent jaillissant de mon ?il par milliers Des êtres disparus aux regards familiers Obsession Les Fleurs du Mal CConclusion Même si