Devoir de controle n03 lycee pilote francais bac sciences exp 2010 2011 mr yahyaoui 2

Année scolaire Lycée Pilote de Monastir Classe ème sciences Marouane Yahyaoui Devoir de contrôle n I- Etude de texte points - a- Après avoir traversé Rouen dans quel état d ? ? me les soldats étaient-ils Justi ?ez votre réponse pt b- Relevez et expliquez un procédé d ? écriture utilisé par Maupassant pour mettre l ? accent sur les sentiments qu ? ils éprouvaient pt - a- Un évènement a suscité la colère des soldats Lequel pt b- Quelle décision ont-ils pris alors Justi ?ez par deux indices textuels précis pts - Pourquoi à la ?n du texte le narrateur était-il très touché pt II- Langue et vocabulaire points - Les Prussiens n ? étaient pas loin ? a- Identi ?ez le temps et le mode du verbe dans cette phrase puis dites quel sens le choix de ce mode donne-t-il à la phrase pt b- Mettez le même verbe au conditionnel présent puis dites quel changement de sens cela introduit dans la phrase pt - Faites à partir de ces deux propositions indépendantes une phrase complexe par subordination qui exprime un rapport de conséquence pt On ne reconnaissait plus les chefs On m ? aurait fusillé moi-même - Il me considérait en dessous avec un air humble ? a- Réécrivez cette phrase de façon à remplacez le mot souligné par un autre de même sens pt b- Composez une phrase personnelle o? le verbe considérer aura un sens di ?érent de celui qu ? il a dans le texte pt III- Essai points Parlant de ses soldats le narrateur chef de bataillon dit Ils eurent soudain ce frisson de colère furieuse et bestiale qui pousse les foules au massacre ? ils tiraient sur lui avec acharnement de brutes se battaient pour avoir leur tour ? Pensez-vous que la guerre déshumanise les soldats et les transforme en monstres Développez votre point de vue dans un texte argumentatif illustré par des exemples précis CAnnée scolaire Lycée Pilote de Monastir Classe ème sciences Marouane Yahyaoui Devoir de contrôle n Texte C ? était pendant la guerre de Nous nous retirions vers Pont- Audemet après avoir traversé Rouen L ? armée vingt mille homme environ ? On fuyait vite les Prussiens n ? étaient pas loin ? Et nous autres plus robustes nous allions toujours glacés jusqu ? aux moelles avançant par une force de mouvement donné dans cette nuit dans cette neige dans cette campagne froide et mortelle écrasés par le chagrin par la défaite par le désespoir surtout étreints par l ? abominable sensation de l ? abandon de la ?n du néant J ? aperçus deux gendarmes qui tenaient par le bras un petit homme singulier vieux sans barbe d ? aspect vraiment surprenant Ils cherchaient un o ?cier croyant avoir pris un espion Le mot espion ? courut aussitôt parmi les tra? nards et on ?t cercle autour du prisonnier Une voix cria faut le fusiller ? Et tous ces soldats qui tombaient d ? accablement ne tenant

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