Correction devoir type brevet n01

CORRECTION devoir type brevet N Henri Barbusse le Feu journal d ? une escouade - La tranchée est décrite dans cet extrait à travers quatre de nos cinq sens En e ?et nous pouvons tout d ? abord constater que l ? auteur s ? appuie sur le toucher à travers les termes mouillé suintant ? ligne ou encore une couche visqueuse ? ligne Par la suite c ? est la vue qui est évoquée notamment à travers les verbes on distingue ? ligne ou encore Je vois ? ligne C ? est ensuite l ? odorat qui intervient par le biais des expressions sent mauvais ? l puent ? et l ? urine de la nuit ? ligne En ?n l ? ou? e est évoquée à travers de nombreux termes parmi lesquels nous pouvons citer les onomatopées Tac Tac Pan ? l ainsi que les verbes entend ? et écoute ? à la ligne C ? est ce dernier sens qui est le plus représenté on peut e ?ectivement constater qu ? un paragraphe entier lui est consacré des lignes à L ? ou? e est très présente parce que le bruit est incessant dans les tranchées et n ? oublions pas que les soldats s ? ils ne voyaient pas tout ce qui se passait autour de la tranchée pouvaient parfaitement l ? entendre Ce sens est donc primordial et sans cesse sollicité dans les tranchées - Plusieurs éléments du récit permettent de le rendre vivant et donnent au lecteur l ? impression d ? assister à la scène décrite Dans un premier temps citons l ? utilisation d ? onomatopées à la ligne Tac Tac Pan ? qui a pour but de nous donner à entendre le bruit de tirs et ainsi nous aide à partager les sensations des soldats Dans un second temps nous pouvons relever la présence de discours direct un dialogue aux lignes et Encore une nuit ? encore ? qui nous permet d ? avoir l ? impression d ? assister à cet échange et ainsi de mieux comprendre les relations entre les membres de l ? escouade ce qui rend le récit bien plus vivant pour le lecteur Nous pouvons aussi ajouter à cela l ? utilisation de la première personne du singulier et du pluriel je vois ? l et nous sommes ? l qui inclut le lecteur dans le texte tout comme le présent il ne pleut pas l qui nous immerge dans le texte - Le groupe de soldats est désigné par le pronom personnel nous ? comme nous pouvons le constater aux lignes Nous sommes ? et Au-dessus de nous ? Paradis et le narrateur s ? interpellent en utilisant respectivement les expressions mon pauv ? vieux ? l et ?ls ? à la ligne Ces deux éléments nous permettent de constater que les membres de la troupe se considèrent comme une famille Ils partagent les mêmes journées les mêmes craintes les mêmes conditions de vie di

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